LA FRANC-MAÇONNERIE :
L'ORIGINE ET LA NAISSANCE DE LA FRANC-MAÇONNERIE :
De nombreuses autres autorités maçonniques reconnaissent que les origines de la maçonnerie remontent aux sociétés secrètes des cultures païennes antiques, comme celles de l’Égypte antique et de la Grèce.
Les symboles sont très importants dans la maçonnerie. Les maçons révèlent la véritable signification de leur philosophie à leurs membres par l’allégorie.
Un maçon, qui avance étape par étape à travers les 33 degrés de la hiérarchie maçonnique, apprend de nouvelles significations pour chaque symbole à chaque étape.
De cette façon, les membres s’immergent progressivement dans les profondeurs de la philosophie maçonnique.
L’idée commune pour la plupart des historiens est que les origines de la Franc-Maçonnerie remonteraient au temps des croisades.
En réalité, bien que la maçonnerie n’ait été établie et reconnue officiellement en Angleterre qu’au début du XVIIIème siècle, les racines de cette organisation remontent aux croisades au XIIème siècle.
On trouve au cœur de cette chronique bien connue l’ordre des croisés, les Chevaliers du Temple ou les Templiers.
Peu importe l’insistance de certains à dire que les croisades étaient bel et bien des expéditions militaires entreprises au nom de la foi chrétienne ; fondamentalement, elles étaient motivées par l’obtention de richesses matérielles.
A une époque où l’Europe connaissait une pauvreté et une misère extrêmes, la prospérité et la richesse de l'Orient, particulièrement du monde musulman au Moyen Orient, attira les européens.
Ce penchant revêtit un aspect religieux et s’orna des symboles du Christianisme, bien, qu’en réalité, les croisades trouvaient leur origine dans l’appât du gain.
Le fondateur des croisades a été le Pape Urbain II.
Il convoqua le Concile de Clermont en 1095, au cours duquel l’ancienne doctrine pacifiste des chrétiens fut abandonnée.
Un appel à la guerre sainte fut lancé dans le but d’arracher les terres saintes des mains des musulmans.
Suivant le concile, une armée gigantesque fut formée, composée à la fois de soldats de carrière et de dizaines de milliers de conscrits.
Les historiens pensent que le projet d'Urbain II était poussé par son désir de contrecarrer la candidature d’un rival à la papauté.
En outre, alors que les rois, les princes, les aristocrates européens et d’autres accueillirent l’appel du Pape avec enthousiasme, leurs intentions étaient prosaïques.
Comme l’indique Donald Queller de l’université d’Illinois :
"les chevaliers français étaient en quête de terres. Les marchands italiens espéraient étendre leur commerce aux ports du Moyen-Orient... Un grand nombre de pauvres rejoignirent les expéditions seulement pour échapper aux difficultés de leurs vies."
En chemin, cette masse cupide massacra de nombreux croyants (musulmans et juifs), dans l’espoir de trouver de l’or et des joyaux.
Les croisés ouvraient même le ventre de leurs victimes pour y trouver l’or et les pierres précieuses que celles-ci auraient pu avaler avant de mourir.
La cupidité des croisés était si grande qu’ils n’eurent aucun scrupule à mettre à sac la ville chrétienne de Constantinople (de nos jours Istanbul) pendant la Quatrième Croisade, où ils arrachèrent même les feuilles d’or des fresques chrétiennes de la basilique Sainte Sophie.
Les templiers ou, sous leur nom complet, les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon, furent fondés en 1119, c’est-à-dire 20 ans après la prise de Jérusalem par les croisés.
Les fondateurs de l’ordre étaient deux chevaliers français, Hugues de Payns et Geoffroy de Saint-Omer.
Au départ, l’ordre comptait neuf membres, mais s’agrandissait régulièrement.
Leur nom fait référence au Temple de Salomon, car ils choisirent pour base la montagne du temple où se trouvaient les ruines de ce dernier.
Sur ce même emplacement se trouvait le Dôme du Rocher.
Les templiers se nommèrent pauvres chevaliers, mais en peu de temps, ils devinrent très riches.
Les pèlerins chrétiens, venus d’Europe jusqu’en Palestine, étaient entièrement sous le joug de cet ordre, et c’est grâce à leur argent qu’ils s’enrichirent.
De plus, ils établirent pour la première fois un système de chèques et de crédit, semblable à celui d’une banque.
D’après les auteurs britanniques, Michael Baigent et Richard Leigh, ils établirent une sorte de capitalisme moyenâgeux, et pavèrent le chemin pour le système banquier moderne avec leurs transactions à intérêt.
Les templiers furent les principaux responsables des attaques des croisés et du meurtre des musulmans.
C’est pourquoi, le commandeur suprême musulman Saladin, qui vainquit l’armée des croisés en 1187, à la bataille de Hattin, et qui plus tard délivra Jérusalem, exécuta les templiers pour les meurtres qu’ils avaient commis, alors même qu’il avait pardonné un grand nombre de chrétiens.
Malgré la perte de Jérusalem et les nombreux morts et blessés déplorés, les templiers existaient toujours.
De plus, malgré la diminution progressive de la présence chrétienne en Palestine, leur puissance en Europe se renforçait, et en commençant par la France, puis dans d’autres pays, ils devinrent un état dans l’état.
Il va sans dire que leur puissance politique inquiétait les monarques européens.
Mais un autre aspect des templiers mettait également mal à l’aise le clergé : l’ordre s’était progressivement éloigné de la foi chrétienne, et lors de son séjour à Jérusalem, avait adopté des doctrines mystiques étranges. Des rumeurs racontaient qu’ils organisaient d’étranges rites pour donner forme à ces doctrines.
Ainsi, en 1307, le Roi de France, Philippe Le Bel, décida de faire arrêter tous les membres de l’ordre.
Certains réussirent à s’échapper, mais la plupart d’entre eux furent arrêtés.
Le pape Clément V se joignit également à cette purge. S’ensuit une longue période d’interrogatoires et de procès, au cours desquels de nombreux templiers reconnurent avoir nourri des croyances hérétiques, rejeté la foi chrétienne et insulté Jésus dans leurs messes.
Enfin, les responsables des templiers, appelés "grands maîtres", à commencer par le plus important d’entre eux, Jacques de Molay, maître du Temple élu en 1293, furent exécutés en 1314 par ordre de l’Église et du roi.
La majorité d’entre eux furent emprisonnés, et l’ordre dispersé et officiellement dissous.
Certains historiens ont tendance à présenter le procès des templiers comme un complot ourdi par le Roi de France et à considérer les chevaliers innocents des accusations portées.
Mais, cette interprétation échoue bien sous plusieurs aspects.
Nesta H. Webster, la célèbre historienne britannique aux connaissances approfondies sur l’histoire occulte, analyse ces aspects dans son livre, Secret Societies and Subversive Movements.
D’après elle, la tendance à absoudre les templiers des hérésies qu’ils confessèrent pendant les procès est injustifiée.
Premièrement, au cours des interrogatoires, malgré les allégations habituelles, tous les templiers ne furent pas torturés.
Les auteurs de The Hiram Key ne furent pas les seuls à trouver des preuves de ces fouilles.
L’historien français Gaétan Delaforge soutient la même théorie : "Les neuf chevaliers avaient pour véritable mission d’entreprendre des fouilles de la zone dans le but d’acquérir certains manuscrits et reliques, renfermant l’essence des traditions secrètes du Judaïsme et de l’Égypte antique."
A la fin du XIXème siècle, Charles Wilson des Royal Engineers entama des fouilles archéologiques dans Jérusalem.
Il en vint à la conclusion que les templiers étaient entrés dans Jérusalem pour étudier les ruines du temple.
Wilson découvrit des traces de fouilles et d’excavation sous les fondations du temple et en déduit qu’elles avaient été faites avec des outils appartenant aux templiers.
Ces objets sont toujours dans la collection de Robert Brydon, détenteur d’archives complètes sur les templiers.
Dans un magazine maçonnique intitulé Mason Dergisi, une publication distribuée aux maçons turques, il est énoncé que les racines de la Franc-Maçonnerie remonte à ce type d’ordre ésotérique et une mention spéciale est faite des prêtres égyptiens :
"A mesure que la pensée se développe chez les êtres humains, la science progresse et à mesure que la science progresse, le nombre de secrets augmente au sein de la tradition d’un ordre ésotérique.
Au cours de ce développement, cette organisation ésotérique, qui apparut d’abord en Orient, en Chine et au Tibet, puis s’étendit à l’Inde, la Mésopotamie et l’Égypte, forma la base d’un savoir sacerdotal pratiqué pendant des milliers d’années et à la base du pouvoir des prêtres en Égypte."
Ceux qui n’ont aucune morale religieuse ne craignent pas Dieu, ni ne Le respectent, et lorsque Dieu n’est pas craint, les êtres humains ne s’intéressent qu’à leur propre réussite.
Lorsque les gens pensent que leurs propres intérêts sont en jeu, ils ne peuvent pas exprimer le vrai amour, la loyauté et l’affection.
Ils ne montrent amour et respect qu’à ceux qui pourraient leur être utiles.
Car, d’après leur conception erronée, ils ne sont sur cette terre qu’une seule fois, et par conséquent, ils doivent en tirer le maximum de profit.
En outre, d’après cette fausse croyance, aucun châtiment n’existe pour la malhonnêteté ou le mal qu’ils commettent sur terre.
La littérature maçonnique regorge de sermons moraux qui tentent de masquer ce fait. Mais, en réalité, cette morale sans religion n’est rien d’autre qu’un simulacre de rhétorique.
L’histoire regorge d’exemples qui montrent que sans l’autodiscipline que la religion confère à l’esprit humain, et sans la loi divine, la vraie morale ne peut en aucun cas être établie.
La forme du carré (grâce à l'équerre) et du cercle (grâce au compas) est liée au problème d’Euclide 47 'La quadrature du cercle', déclaré être l’objectif principal de l’artisanat maçonnique.
La quadrature du cercle, cependant, dans ce cas ne se réfère pas à un problème mathématique : C’est une référence spirituelle à la quête instinctive de l’homme pour harmoniser ses natures physiques et spirituelles.
Depuis l’Antiquité, le carré a représenté le corps physique. Le cercle, d’autre part, a toujours représenté l’âme.
L’Équerre et le Compas symbolisent ainsi l’état de l’homme comme une âme éternelle se manifestant dans un corps temporaire.
Le cercle est notre côté spirituel qui ne peut être vu, entendu, touché, goûté ou senti.
C’est notre soi réel, de l’intérieure et parfait, la partie que nous ressentons lorsque nous fermons les yeux et de penser 'moi'.
Penser à un carré de quatre côtés dont la façon nous expérimentons la nature à quatre :
- Les Quatre Points Cardinaux : le Nord, le Sud, l'Est et l'Ouest
- Les Quatre Saisons : l'hiver, le printemps, l'été et l'automne
- Les Quatre Eléments : la terre, l'air, l'eau et le feu
- Les Quatre Etats de la matière : le solide, le liquide, le gaz et le plasma
"Le compas, comme Symbole des cieux, représente la partie spirituelle de cette double nature de l’humanité... et l’équerre, comme symbole de la Terre, sa matière, sensuelle, la plus basique."
- Albert Pike, Morals & Dogma 1871
Après le 3ème degré, pour évoluer dans la Franc-Maçonnerie à travers les différents degrés menant jusqu’au 33ème, l'adepte avance de degré en degré.
Pourtant chacune de ces degrés reste fermée aux Francs-Maçons qui n’atteignent pas les degrés supérieurs.
Par exemple, on lui explique, dans le 1er degré, la signification de l’équerre et du compas de cette manière.
Il est dit : "L’équerre, pour cadrer nos actions ; le compas, pour nous circonscrire et nous maintenir dans les limites de l’humanité, mais plus particulièrement avec un frère Franc-Maçon."
Célèbre Franc-Maçon et vénéré encore aujourd’hui, élevé au 33ème degré, Albert Pike, n’est autre que l’un des fondateurs du Ku Klux Klan.
Ce général confédéré US avait comme titre, ancien grand commandeur souverain du suprême conseil des grands souverains, inspecteur général du 33ème degré.
Il était chef de la justice du KKK, est toujours admiré par les Francs-Maçons.
Pike s’est même fait virer de son poste d’officier en 1840, à la suite des massacres qu’il a commis contre les Indiens.
En 1871, Pike aurait écrit une lettre à Giuseppe Mazzini (Grand Franc-Maçon), dans laquelle il aurait évoqué trois guerres mondiales, la troisième impliquant une confrontation entre l’occident sioniste et les pays musulmans.
Si Dieu s'en prenait aux gens pour leurs méfaits, Il ne laisserait sur cette Terre aucun être vivant.
Mais Il les renvoie jusqu'à un terme fixe.
Puis, quand leur terme vient, ils ne peuvent ni le retarder d'une heure ni l'avancer.
Coran sourate 16 verset 61
LES MÉTHODES DE CHANTAGE :
Les Francs-Maçons entre eux n’hésitent pas à se piéger les uns les autres, notamment grâce aux partouzes au cours desquelles des photos sont prises à l’insu de la cible, partouzes dans lesquelles on peut aussi trouver des mineurs : Plusieurs maçons ont évoqué devant Ottenheimer et Lecadre les méthodes dignes des pires séries noires, utilisées par certains frères pour compromettre leurs honorables associés : l’utilisation de lieux de partouze avec des miroirs sans tain permettant de prendre des photos.
Selon Richard Spence, Aleister Crowley était même un agent des services secrets anglais.
Il aurait par exemple joué un rôle dans l’attaque du Lusitania en 1915, qui a amené l’entrée en guerre des États-Unis.
Honoré de Balzac disait : "Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, et l'Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des évènements, une Histoire honteuse."
Et il savait de quoi il parlait, lui qui était fils et petit-fils de Francs-Maçons.
PLANIFICATION EN 3 ÉTAPES :
- La 1ère Guerre Mondiale devait permettre de renverser le pouvoir des Tsars en Russie.
- La 2ème Guerre Mondiale devait être causée en jouant sur les divergences entre fascistes et sionistes politiques.
Cette guerre devait permettre la destruction du nazisme et accroître la puissance du sionisme politique de façon à ce que l’État souverain d’Israël put s’établir en Palestine.
- La 3ème Guerre Mondiale doit être causée grâce aux divergences que les agents des Illuminati attiseront entre sionistes politiques et dirigeants du monde musulman.
On doit diriger la guerre de façon à amener la destruction de l’Islam (le monde arabe y compris).
Ils sont nombreux à quitter la Franc-Maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le dire.
C’est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé d’une soixantaine d’années.
Il a passé 24 ans au sein d’une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France).
Son livre J’ai frappé à la porte du Temple, sous-titré 'Parcours d’un Franc-Maçon en crise spirituelle' est le témoignage passionnant des années que l’auteur a passé dans la Franc-Maçonnerie.
Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir.
Le processus de son retour à la foi a été long et semé d’embûches.
Quand avez-vous commencé à prendre conscience de ses aspects dérangeants ?
Serge Abad-Gallardo : "Au début, certaines paroles du rituel maçonnique (rite écossais ancien et accepté) m’ont fait reconnaître des liens entre la Franc-Maçonnerie et l’Église.
À titre d’exemple, dans le rituel d’initiation on retrouve des phrases comme : 'Cherchez et vous trouverez' ou 'Frappez, et l’on vous ouvrira' qui sont extraites des Évangiles. Mais, petit à petit, je me suis rendu compte que le sens que l’on donnait à ces versets n’avait plus rien à voir avec l’esprit du Nouveau Testament. J’ai entendu aussi des expressions très anticléricales. Cela ne m’a pas plu, mais je me suis adapté car j’étais éloigné de la foi, et surtout de l’Église.
En outre, dans la franc-maçonnerie on parlait beaucoup de fraternité, mais j’ai pris conscience que derrière cette apparence de fraternité, les petits arrangements et les luttes pour le pouvoir étaient bien réels. Enfin, quand je suis revenu à la foi, j’ai compris que le catholicisme et la Franc-Maçonnerie étaient incompatibles."
Comment s’est déroulé ce processus de conversion ?
Serge Abad-Gallardo : "Il a duré près de neuf ans ! Je crois que Dieu m’a laissé si longtemps dans l’erreur de la Franc-Maçonnerie (24 ans, jusqu’à devenir Vénérable Maître et accéder aux plus hauts grades) afin qu’aujourd’hui aucun maçon ne puisse me dire – comme certains ont tenté de le faire, en toute mauvaise foi – que je n’ai rien compris. Je suis passé par divers stades.
Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, j’ai pris conscience de la présence du Christ à mes côtés. Cela a débuté en 2002, quand j’ai rencontré un prêtre franciscain près d’Aix-en-Provence. Ses paroles m’ont paru maçonniques et m’ont plu parce que je pensais qu’il existait des liens entre la Franc-Maçonnerie et le catholicisme, mais j’ai compris au fur et à mesure que le sens de ses paroles était fondamentalement différent."
Que s’est-il passé ensuite ?
Serge Abad-Gallardo : "En 2012, j’ai expérimenté ce que l’on peut appeler 'le Mal absolu'. J’ai vu jusqu’où va la noirceur de l’âme humaine. Par la sorcellerie et la magie, j’ai constaté la présence du diable et son œuvre maléfique dans une vie. Cela peut paraître incroyable et je n’ai pas d’autre choix que de raconter les choses telles qu’elles se sont passées. Le monde s’est refermé sur moi.
En quelques mois, j’ai perdu mon emploi, un bon salaire, la maison où nous habitions, mon voilier de 12 mètres, ma voiture de sport, mes amis… Je me sentais totalement perdu et ne trouvais plus de repères dans la franc-maçonnerie. Personne ne vous y explique pourquoi le mal existe dans le monde par exemple. Ni comment le combattre. L’idée m’est venue de faire une retraite quelques jours à l’abbaye de Lagrasse. Là bas, devant le Christ en croix, je me suis mis à pleurer et me suis rendu compte que ce Christ pleurait avec moi.
Cet amour fut comme une lumière. J’ai passé une semaine avec les moines, et mon cœur s’est ouvert totalement à l’amour du Christ."
A-t-elle réellement le pouvoir que lui prête sa légende ?
Serge Abad-Gallardo : "Oui, ce pouvoir, elle l’a ! En France, depuis 2012, une majorité de ministres du gouvernement sont maçons. Les grands maîtres du Grand Orient, du Droit Humain ou de la Grande Loge veulent changer la société. Des lois comme l’avortement, l’euthanasie ou le mariage homosexuel correspondent aux idées maçonniques d’émancipation de l’individu qui n’en réfère plus qu’à lui-même, sans autre limite morale que celle qu’il se fixe. Un grand maître de la Grande Loge de France, Pierre Simon, a avoué que toutes ces lois étaient pensées et mûries en loges avant même d’être débattues par les députés."
Notez comment Léonard de Vinci dessine l’Homme de Vitruve (est un célèbre dessin annoté, réalisé vers 1490 à la plume, encre et lavis sur papier) à l’intérieur d’un cercle et du carré : il a compris les implications de la doctrine maçonnique.
De Vinci n’était pas le seul artiste célèbre pour créer un Homme de Vitruve, ni le seul artiste à associer à la fois un cercle et un carré.
Le cercle est son âme éternelle. Le carré est son corps temporaire, il le sait ; il est illuminé dans sa Gnose (connaissance).
Le Seigneur dit : Quand ce peuple s'approche de moi, Il m'honore de la bouche et des lèvres ; Mais son coeur est éloigné de moi,
Et la crainte qu'il a de moi N'est qu'un précepte de tradition humaine. C'est pourquoi je frapperai encore ce peuple Par des prodiges et des miracles ;
Et la sagesse de ses sages périra, Et l'intelligence de ses hommes intelligents disparaîtra.
Malheur à ceux qui cachent leurs desseins Pour les dérober à l'Eternel, Qui font leurs oeuvres dans les ténèbres,
Et qui disent : Qui nous voit et qui nous connaît ?
Bible Esaï 29 verset 13 à 15
On observera que la littérature maçonnique présente constamment ses propres idées comme étant visionnaires tout en accusant les personnes religieuses d’être rétrogrades.
Cependant, il s’agit seulement d’un jeu de mots. La notion de spectre de la réaction est une chose à laquelle les personnes religieuses sincères s’opposent aussi, mais que les maçons exploitent pour viser la vraie religion dans leur tentative d’en éloigner les gens.
En outre, il faut à nouveau souligner que la philosophie matérialiste humaniste adoptée par les maçons est en réalité un système d’idées superstitieuses, dépassées, un héritage des civilisations païennes de l’Égypte et de la Grèce anciennes.
C’est pourquoi, l’utilisation par les maçons de termes tels que visionnaire et dépassé ne repose en réalité sur aucune base.
Cette utilisation est sans fondement car le conflit entre les maçons et les personnes religieuses n’est rien de plus que la perpétuation du conflit entre deux idées qui ont existé depuis les tout premiers temps de l’histoire.
C’est la religion qui proclame la première de ces idées : que l’humanité a été créée par la volonté de Dieu et que les êtres humains ont le devoir de Le vénérer.
L’idée opposée, que les êtres humains n’ont pas été créés, mais vivent des existences vaines et sans but, est celle proposée par ceux qui nient l’existence de Dieu.
Lorsqu’on comprend bien, on voit que leur utilisation des termes superficiels de 'dépassés' et 'visionnaires' ne repose sur rien.
FACE CACHÉE DE LA RÉVOLUTION DE 1789 :
Un exemple frappant à ce sujet fut la Révolution française de 1789.
Les maçons, qui fomentèrent la révolution, brandirent des slogans réclamant les idéaux moraux de Liberté, Égalité, Fraternité.
Et des dizaines de milliers d’innocents furent envoyés à la guillotine et le pays plongé dans le sang.
Même les leaders de la révolution ne purent échapper à cette barbarie et furent envoyés à la guillotine l’un après l’autre.
Au XIXème siècle, le socialisme naquit de la notion de la possibilité d’une morale sans religion, avec les résultats encore plus désastreux qu’on connaît.
Le socialisme demandait, soi-disant, une société juste et équitable dans laquelle l’exploitation n’existerait pas et, à cette fin, proposait l’abolition de la religion.
Toutefois, au 20ème siècle, dans des régions comme l’Union Soviétique, le bloc de l’Est, la Chine, l’Indochine, plusieurs pays d’Afrique et d’Amérique centrale, le socialisme soumit les peuples à une atroce misère.
Les régimes communistes assassinèrent un nombre incroyable de personnes ; le nombre total avoisine les 120 millions de personnes.
En outre, contrairement à ce qui a été dit, la justice et l’égalité ne furent jamais établis dans aucun régime communiste ; les leaders communistes à la tête de l’état étaient composés de l’élite uniquement.
D’autre part, aujourd’hui, lorsqu’on examine la maçonnerie elle-même, qui proclame continuellement ses idées de service à la société et de sacrifice pour l’humanité, on ne trouve pas un dossier très propre.
Dans de nombreux pays, la maçonnerie a été le centre d’attention dans des affaires de biens matériels mal acquis.
Au cours du scandale de la Loge maçonnique (P2) en Italie dans les années 1980, il a été dévoilé que les maçons maintenaient une relation étroite avec la mafia et que les directeurs de la loge étaient impliqués dans des activités telles que la contrebande d’armes, le commerce de la drogue ou le blanchiment d’argent.
Il a également été révélé qu’ils agressaient leurs adversaires et ceux qui les avaient trahis.
Au cours du scandale du Grand Orient de France en 1992 et de l’opération mains propres en Angleterre, rapportée dans la presse anglaise en 1995, les activités des loges maçonniques dans des affaires de profits illégaux devinrent évidentes.
L’idée maçonnique d’une morale humaniste n’est qu’une imposture.
Il est donc inévitable que de telles affaires surgissent car, comme nous l’avons dit au début, la morale est seulement établie dans la société par la discipline morale de la religion.
Le fondement de la morale repose sur l’absence d’arrogance et d’égoïsme, et les seules personnes susceptibles d’atteindre cet état sont ceux qui comprennent la responsabilité qu’ils ont vis-à-vis de Dieu.
Grâce à cette responsabilité, l’homme est sauvé de son propre égoïsme, des passions matérielles, de l’ambition et de la préoccupation de se faire aimer des autres.
Pour cette raison, dans une société sans amour ni crainte de Dieu ou de foi en Lui, la morale ne peut exister.
Étant donné que rien ne peut être déterminé formellement, chacun détermine ce qui est bon et mauvais d’après ses propres envies.
D’ailleurs, l’objectif premier de la morale philosophique séculière et humaniste de la maçonnerie est non pas d’établir un monde moral, mais un monde séculier.
Autrement dit, les maçons n’embrassent pas la philosophie de l’humanisme, car ils accordent une grande importance à la morale, mais seulement pour transmettre à la société la notion que la religion est inutile.
La Franc-Maçonnerie va connaître à l'aube de la Révolution Française, un énorme succès en France.
Comme pouvait l'écrire Marie-Antoinette à sa mère, l'Impératrice d'Autriche : "Tout le monde en fait partie."
Ce sont les hauts grades Francs-Maçons donc, qui ont préparé la révolution, comme le rapporte Albert Lantoine, dans 'La Franc-Maçonnerie et la Révolution Française.'
Le 4 août 1789, le Duc d'Aiguillon, qui faisait partie depuis 1786 de la Société Olympique qui ne comptait que des francs-maçons qui, avec le Vicomte de Noailles, va proposer la suppression des privilèges. Louis-Marie de Noailles avec son parent La Fayette, qui lui aussi était maçon.
Les caisses du 'Grand Orient de France' sont pratiquement vides, et le grand maître Philippe d'Orléans a voté la mort du roi.
Il est inutile de rappeler tous les excès de la terreur, et le nombre de victimes de la guillotine, qui porte le nom d'un célèbre maçon, le Docteur Joseph Ignace Guillotin.
Mais parmi les victimes, Jean-Marie Gallot, Franc-Maçon de la loge de l'Union de Laval, qui, ayant refusé le serment de la Constitution Civile en 1791, est emprisonné, et le tribunal lui ayant proposé de jurer fidélité à la République, il refusa et le Président lui a dit : "Sois sûr que tu vas être guillotiné."
Le peuple a brisé une chaîne en 1789, mais il n’est pas encore sorti de sa prison. Le peuple à remplacer ces chaines par des prisons dorées.
Les élites bourgeois, commerçants et industriels ont installé un pouvoir centralisé et ramifié par des régions, département, communes qui sont contrôlé pour grande partie par la caste des bourgeois, commerçants et industriels, et accessoirement Franc Maçons.
C’est la fin de la monarchie et du clergé.
Les nouveaux dogmes sont ‘Libérté, Égalité, Fraternité’.
Mais se sont aussi, le libéralisme et l’élection, sorte de mascarade démocratique qui dure depuis plus de 200 ans ou la haute bourgeoisie patronale a toujours gouvernés sans partage.
LA MAIN CACHÉE SYMBOLE MAÇONNIQUE :
La plupart des personnes qui utilisent ce signe sont des membres de la Franc-Maçonnerie. Considérant la grande importance de ce geste dans les rituels maçonniques, et le fait que toutes les élites faisaient soit partie de la franc-maçonnerie, soit la connaissaient, il est tout simplement impossible que la récurrence de ce signe puisse être le fruit du hasard.
La main cachée peut, en effet, être trouvée dans les rituels du degré de l'Arche Royale de la Franc-Maçonnerie, et les dirigeants mondiaux qui utilisent ce signe disent subtilement à d'autres initiés de l'ordre : "C'est ce dont je fais partie, c'est ce en quoi je crois, et c'est ce pour quoi je travaille."
Malcolm C. Duncan, Duncan's Masonic Ritual and Monitor :
Mes mots sont Sem, Japhet, et Adoniram, mon signe est le suivant : (mettant sa main dans son sein), c'est à l'imitation de celui donné par Dieu à Moïse, quand il lui ordonna de mettre sa main dans son sein, et, lorsqu'elle est sortie, elle est devenue blanche comme la neige.
Ma parole d'exhortation est explicative de ce signe, et se trouve dans les écrits de Moïse, à savoir, le quatrième chapitre de l'Exode :
"L'Éternel lui dit encore : Mets ta main dans ton sein. Il mit sa main dans son sein ; puis il la retira, et voici, sa main était couverte de lèpre, blanche comme la neige."
Ce geste de la main est dit être inspiré de l'Exode chapitre 4 verset 6. Dans ce verset biblique, le coeur (le sein) signifie ce que nous sommes, la main ce que nous faisons.
Il peut donc être interprété ainsi : Ce que nous sommes, c'est ce que nous finissons par faire.
Et quand on leur dit : "Ne semez pas la corruption sur la Terre",
ils disent : "Au contraire nous ne sommes que des réformateurs !"
Certes, ce sont eux les véritables corrupteurs, mais ils ne s'en rendent pas compte...
Quand ils rencontrent ceux qui ont cru, ils disent : "Nous croyons" ; mais quand ils se trouvent seuls avec leurs diables,
ils disent : "Nous sommes avec vous ; en effet, nous ne faisions que nous moquer d'eux."
Coran sourate 2 verset 11 à 14
La signification symbolique de ce geste pourrait expliquer la raison pour laquelle il est si largement utilisé par les maçons célèbres.
La main cachée permet aux autres initiés de savoir que la personne représentée fait partie de cette Fraternité secrète, et que ses actions ont été inspirées par la philosophie maçonnique et ses croyances.
En outre, la main qui exécute les actions est cachée derrière un vêtement, ce qui peut symboliquement faire référence à la nature secrète des actions maçonniques.
Voici quelques-uns des hommes célèbres qui ont utilisé ce signe de la main.
Adam Weishaupt, grand maitre de la secte maçonnique de l'ordre des illuminés de Bavière :
"détruire la religion, abolir la propriété, détruire la famille, complété par la destruction de toute morale, travail obligatoire pour tous, impots fortement progressifs"
- Loi française sortie des loges maçonniques - B. Nicolaïevski et O. Maenchen-Helfen, Karl Marx, éditions Gallimard 1937
Le cours de l’Histoire a-t-il été dirigé par un petit groupe de personnes ayant des intérêts communs ?
Les tableaux et les photos des grands hommes des siècles passés révèlent un fil conducteur qui les relie.
Est-ce un hasard si beaucoup d’entre eux cachaient une de leurs mains quand ils posaient pour un portrait ?
Cela semble peu probable. Nous examinerons l’origine maçonnique de la main cachée, et les hommes puissants qui ont utilisé le signe dans des portraits célèbres.
33ème DEGRÉ VS 33ème PARALLÈLE :
La ville américaine de Phoenix en Arizona a connu en août 2015 la plus importante tempête de sable de son histoire.
Poussé par des vents de plus de 100 km/h, un énorme nuage de poussière de 96 km de largeur s’est brutalement abattu sur la ville, plongeant ses habitants dans le noir et la terreur apocalyptique pendant de longues heures.
Certains en imputent l’origine à une série d’expérimentations climatiques réalisées dans le cadre du Projet H.A.A.R.P.
Les rapports officiels n’ont fait état d’aucune victime. Mais les services d’urgence ont été saturés en raison du nombre extraordinairement élevé d’A.V.C. et de crises cardiaques dont un bon nombre auraient été directement imputables à la panique provoquée par cet incident.
La ville de Phoenix, qui avait déjà tristement défrayé la chronique en raison des massacres en série qui y furent perpétrés à plusieurs reprises au cours des dernières années, est située sur le 33ème Parallèle Nord, où se trouvent également Bagdad (guerre du Golfe), mais aussi Dallas, où John F. Kennedy fut assassiné pour avoir dénoncé les Illuminati durant un discours au Waldorf-Astoria Hotel à New-York le 27 Avril 1961.
Le 33ème parallèle traverse également Tripoli (chaos en Libye), Kaboul (chaos en Afghanistan), Damas (chaos en Syrie), les territoires palestiniens occupés par les colons israéliens, et le centre du triangle des Bermudes.
S’agit-il pour autant d’une latitude maudite ?
On observe en tout cas une certaine répétition du phénomène et d’événements tragiques sur cet axe, dont certains moins connus que d’autres, mais tout aussi horribles.
Ainsi, Le soulèvement de Jeju désigne une insurrection qui commença le 3 avril 1948 sur l’île de Cheju-Do en Corée du Sud, elle aussi traversée par le 33ème parallèle.
De 50 000 à 80 000 personnes périrent au cours des affrontements.
La répression de l'insurrection par l'armée sud-coréenne fut d’une brutalité et d’une sauvagerie inouïe, avec la destruction de 170 villages.
Au Japon, le [33] est d’ailleurs un nombre censé porter malheur car il se dit [sar-zan] qui signifie 'malheur sans issue'.
Sur cette ligne géographique on trouve également Alamogordo, où le premier test nucléaire de l’histoire de l’humanité fut réalisé le 16 juillet 1945, tout comme Hiroshima et Nagasaki où les premières bombes atomiques furent larguées quelques jours plus tard !
Deux exemples retiennent particulièrement l’attention. Il y a d’abord le cas de la centrale nucléaire américaine au nom prédestiné de Diablo Canyon qui possède deux réacteurs à eau pressurisée de 100MWe chacun construits en plein sur le 33ème parallèle selon une technologie assez proche de celle des réacteurs de Fukushima au Japon.
Les deux réacteurs produisent ensemble 18 millions de mégawatt-heure (MWh) d'électricité tous les ans, ce qui permet de répondre aux besoins de 2,2 millions d'habitants de la Californie.
Or ces deux réacteurs sont situés au bord de l’Océan Pacifique, comme ceux de Fukushima , et à quelques kilomètres seulement de la fameuse faille de San Andreas, dont les Californiens redoutent qu’elle ne devienne l’épicentre du prochain 'big one', c’est-à-dire du plus grand séisme et du plus grand tsunami de tous les temps !
D’importantes lacunes dans les systèmes de résistance ont déjà été relevées sur le site, et le fonctionnement de cette centrale a déjà plusieurs fois dû être interrompu pour des raisons de sécurité.
Autre exemple : celui du gigantesque barrage des Trois-Gorges construit sur le Yangtsé en Chine.
Achevé en 2003, ce barrage est déjà fissuré de toutes parts et menace à présent de s’écrouler - Il provoque des glissements de terrain à répétition et une pénurie d'eau en Chine centrale, une pollution monstrueuse, un amoncellement d’ordures colossal et une prolifération gigantesque d’algues vertes en amont.
On parle déjà de catastrophe écologique majeure.
La plupart des bâtiments des villes et des villages alentour sont aujourd’hui craquelés et fissurés - Et comme le gouvernement chinois ne veut évidemment pas reconnaître ses erreurs, on semble se diriger vers une catastrophe majeure.
Après que la construction du barrage ait entraîné le déplacement sous la menace de 2 millions de riverains, son effondrement pourrait maintenant provoquer la mort de dizaines de millions de personnes !
MARIANNE, L'ÉFFIGIE DE LA RÉPUBLIQUE ET LA FRANC-MAÇONNERIE :
Les prénoms Marie et Anne étaient très répandus au XVIIIème siècle parmi la population féminine catholique. Une autre hypothèse fait référence à Marie-Antoinnette, reine tombée lors de la révolution française.
Durant la révolution française, les premiers bonnets phrygiens apparurent sur la tête des français, quelques mois après la prise de la Bastille.
Les plus anciens vestiges de ce bonnet appartiennent à Mithra, la divinité iranienne du soleil.
Symbole de liberté, le bonnet phrygien était porté par les esclaves affranchis de l'empire romain, devenant ainsi citoyens de l'empire.
Ce bonnet se retrouve aussi chez les esclaves grecs. Sous l'influence des Jacobins, le bonnet rouge devient un emblème important de la révolution.
Les bustes de Marianne dont le premier fut sans doute conçu à l’initiative de Lamartine, ne se répandront pourtant qu’à partir de 1848, où le nom devient peu à peu synonyme de la république.
La Marianne maçonnique, un modèle spécial paré d’un cordon avec compas et équerre, n’est pas connue avant 1880.
De cette époque, toutes Obédiences et Orients confondus, date la coutume si fréquente de faire trôner dans les loges un buste de la Marianne maçonnique.
Rappelons simplement ici ce que tout le monde devrait savoir : ce n’est pas la maçonnerie qui a inventé cette devise pour la donner à la république, mais l’inverse et cela, officiellement du moins, pas avant 1848.
C’est alors que peu à peu et timidement elle a fait son apparition dans les rituels maçonniques - aussi bien au rite français qu’au rite écossais.
Elle porte un bonnet phrygien pour valoriser le caractère révolutionnaire, qui est parfois critiqué comme un appel à la désobéissance.
Le bonnet est donc remplacé par une couronne, pour donner un caractère plus sage à Marianne.
La devise Liberté, Égalité, Fraternité - qui est aussi celle de la (Ière à la Vème) République a été adoptée par le Grand Orient de France en 1849.
Les trois couleurs : bleu, blanc, rouge - nous auront été apportés des Amériques par le Franc-Maçon, le général Lafayette pour manifester la concordance de nos révolutions soumises à l’empire britannique.
Claude Joseph Rouget, le célèbre auteur de la Marseillaise a appartenu à la loge maçonnique Frères Discrets.
Il a composé le chant dans la nuit du 25 au 26 avril 1792 à la suite de la déclaration de guerre à l'empereur d'Autriche. La Marseillaise est déclarée chant national le 14 juillet 1795.
Un élément indispensable au décor d’une loge maçonnique est la double colonne dans l’entrée.
Les mots Jachin et Boaz y sont gravés, imitant les deux colonnes à l’entrée du temple de Salomon.
Mais en réalité, les maçons ne destinent pas ces colonnes en mémoire à Salomon ; elles sont l’expression de ces insinuations malpropres contre Salomon.
L’origine de ces colonnes remonte à nouveau à l’Égypte antique. Dans l’article intitulé Allégorie et symboles de nos rituels, le magazine Mimar Sinan explique :
"Par exemple, en Egypte, Horus et Set sont deux architectes jumeaux et soutiens des cieux. Même Bacchus à Thèbes en était un, lui aussi.
Les deux colonnes de nos loges tirent leurs origines de l’Egypte antique. Une de ces colonnes était dans le sud de l’Egypte dans la ville de Thèbes; l’autre dans le nord à Héliopolis.
Dans l’entrée du temple Amenta voué à Ptah, le grand dieu d'Egypte, se trouvaient deux colonnes comme dans le Temple de Salomon.
Dans les plus anciens mythes associés au soleil, les deux colonnes sont mentionnées, appelées intelligence et puissance, érigées devant le portail de l’entrée vers l’éternité."
Un autre symbole marquant de la maçonnerie est un élément autrefois important dans l’architecture égyptienne : l’obélisque.
Un obélisque est une tour haute et verticale couronnée d’une pyramide en son sommet.
Les obélisques étaient gravés de hiéroglyphes égyptiens et enterrés pendant des siècles jusqu’à ce qu’ils furent découverts au XIXème siècle et emportés dans les villes occidentales, comme New York, Londres et Paris.
L’obélisque le plus grand fut envoyé aux États-Unis. Cette exportation fut organisée par les maçons.
Ceci, parce que les maçons revendiquent comme leurs propres symboles les obélisques, tout comme les pictogrammes égyptiens inscrits dessus.
Mimar Sinan affirme ceci à propos de l’obélisque haut de 21 mètres à New York : "L’exemple le plus frappant de l’utilisation symbolique de l’architecture est le monument appelé 'l’Aiguille de Cléopâtre', donné en cadeau aux Etats-Unis en 1878 par le gouverneur égyptien Ismail. Ce monument se trouve à présent à Central Park. Sa surface est couverte d’emblèmes maçonniques. Ce monument fut à l’origine érigé au XVIème siècle avant JC à l’entrée d’un temple du dieu soleil, un centre d’initiation à Héliopolis."
Une idée symbolique importante chez les maçons est celle de la veuve. Les maçons s’appellent les enfants de la veuve, et des images de veuves apparaissent souvent dans leurs publications.
D’où vient cette idée ? Et qui est cette veuve ?
A l’examen des sources maçonniques, on découvre que le symbole de la veuve provient à l’origine d’une légende égyptienne.
Cette légende est un des plus importants mythes de l’Égypte antique, l’histoire d’Osiris et Isis.
Osiris était un dieu de la fertilité et Isis sa femme. D’après la légende, Osiris fut victime d’un crime passionnel qui fit d’Isis une veuve. La veuve maçonnique est donc Isis.
Un article de Mimar Sinan explique ainsi ce fait : "La légende Osiris-Isis est le sujet de nombreux articles et cours et le mythe de l’Egypte antique le plus proche des maçons.
L’examen pour devenir prêtre du temple d’Isis est l’initiation maçonnique elle-même.
Il serait assommant d’avoir à le répéter. Là, la lumière était un des éléments les plus importants ; afin d’être enterré dans l’obscurité de l’orient, le soleil levant commence à descendre l'après-midi et assume les tâches d’Osiris chaque jour, comme Horus, qui plus brillamment prit la place de son père assassiné.
Donc, la veuve dont nous sommes les enfants n’est personne d’autre que la veuve d’Osiris, Isis."
Parmi les symboles les plus courants de la maçonnerie, on retrouve le compas surimposé sur un carré.
Si vous leur demandez, les maçons vous expliquent que ce symbole représente les concepts de science, ordre géométrique et pensée rationnelle.
Toutefois, le compas et le carré ont en réalité une signification bien différente.
Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos de Dieu, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant.
Et quand on leur dit : "Suivez ce que Dieu a fait descendre",
ils disent : "Nous suivons plutôt ce sur quoi nous avons trouvé nos ancêtres."
Est-ce donc même si le Diable les appelait au châtiment de la fournaise !
Coran sourate 31 verset 20 - 21
Un livre écrit par l’un des plus grands maçons de tous les temps nous l’explique.
Dans son livre, Morales et Dogmes, Albert Pike écrivit ce qui suit sur le compas et le carré : "Le carré (...) est un symbole approprié et naturel de cette terre... La figure hermaphrodite est le symbole de la double nature anciennement attribuée à la Déité, comme générateur et producteur, comme Bram et Maya chez les Ariens, Osiris et Isis chez les Egyptiens. Le soleil étant masculin, la lune était féminin."
Ceci signifie que le compas et le carré, le symbole le plus célèbre de la maçonnerie est un symbole du paganisme arien qui remonte à l’Égypte antique ou avant l’avènement du Christianisme.
La lune et le soleil, dans le passage cité de Pike, sont des symboles importants dans les loges maçonniques et ne sont rien d’autres qu’un reflet des fausses croyances de ces anciennes sociétés païennes qui vénéraient la lune et le soleil.
Une autre expression des principes superstitieux de la maçonnerie et de son matérialisme, c’est la notion de la mère nature.
Nous la trouvons dans des films documentaires, des livres, des magazines et même des annonces publicitaires.
Lorsque ces mots furent prononcés en 1902, une série de lois votées en France élargirent la portée de l’opposition religieuse.
3 000 écoles religieuses furent fermées et il fut interdit de donner toute éducation religieuse dans les écoles.
De nombreux membres du clergé furent arrêtés, quelques-uns exilés et les personnes religieuses commencèrent à être considérées comme des citoyens de deuxième ordre.
C’est pourquoi, en 1904, le Vatican rompit toute relation diplomatique avec la France, mais cela ne changea pas l’attitude du pays.
Il fallut la perte des vies de centaines de milliers de français contre l’armée allemande lors de la 1ère Guerre Mondiale avant de dompter l’arrogance du pays et qu’il reconnaisse à nouveau l’importance des valeurs spirituelles.
Voilà l’objectif ultime de la maçonnerie. Ils souhaitent détruire complètement la religion et établir un monde humaniste fondé sur le caractère sacré de l’humanité.
C’est-à-dire qu’ils souhaitent établir un nouvel ordre d’ignorance, dans lequel les hommes rejettent Dieu qui les a créés et se considèrent divins... Cet objectif est la raison d’exister de la maçonnerie.
Pour étendre davantage cet objectif, les maçons travaillent sans relâche dans de nombreux pays à travers le monde.
L’organisation maçonnique est influente dans les universités, d’autres institutions éducatives, dans les médias, dans le monde des arts et des idées.
Elle ne cesse jamais ses efforts pour disséminer sa philosophie humaniste dans la société et discréditer les vérités de la foi à la base de la religion.
En outre, ils ambitionnent de construire une société qui ne mentionne même pas le nom de Dieu ou de la religion, mais satisfait uniquement au plaisir, désirs et ambition matérielle des humains.
Dans cette culture de l’ignorance, il n’y a pas de place pour la crainte ou l’amour de Dieu, obéir à Sa volonté, pratiquer des actes d’adoration, ni pour des réflexions sur l’au-delà.
En fait, ces idées sont considérées comme étant vieillottes et propres aux gens non instruits. Ce message est asséné dans les films, les bandes dessinées et les romans.
Les maçons jouent un rôle leader dans cette vaste supercherie. Mais, de nombreux autres groupes et individus sont également impliqués dans la même tâche.
Les maçons les acceptent en tant que maçons honoraires, et les considèrent comme leurs alliés car ils partagent la même philosophie humaniste.
Cette lutte continuelle contre la religion repose sur deux arguments ou justifications de base : la philosophie matérialiste et la théorie de l’évolution de Darwin.