LES FUSÉES FORMENT UNE PARABOLE ?
POURQUOI LES ANTENNES PARABOLIQUES POINTENT VERS LA MÊME DIRECTION :
Tous les lancements de fusées de la NASA et autres agences spatiales ne vont jamais tout droit vers le haut.
Toutes les fusées forment une courbe parabolique, atteignent leur niveau maximum et commencent inévitablement à retomber sur la Terre.
Les lancements qui sont déclarés "couronnées de succès" sont ceux dont les fusées n’ont pas explosé ou ont commencé à tomber trop tôt mais rendues hors de portée de vue des spectateurs avant de s’écraser dans les eaux interdites et d’être récupérées.
Communément appelées, les antennes paraboliques de télévision satellites sont presque toujours placées à un angle de 45° vers la tour de relais basée au sol la plus proche. Si les antennes de télévision captaient effectivement les signaux des satellites à plus de 160 km dans l'espace, la plupart des antennes de télévision devraient être orientées plus ou moins droite vers le ciel.
Le fait que les antennes satellites (paraboles) ne sont jamais en position verticale et presque toujours positionnées à un angle de 45° prouve qu'elles captent un signal de tour basée au sol (comme le principe des antennes relais) et non pas des satellites dans l’espace.
Certaines personnes prétendent même voir les satellites à l’oeil nu, mais cela est absurde, étant donné qu'ils sont plus petits qu'un autobus et seraient prétendument à plus de 1 600 km ; Il est impossible de voir quoi que ce soit de si petit d’aussi loin.
Même en utilisant des télescopes, personne ne revendique le fait de distinguer la forme des satellites, mais décrit plutôt la vision de vagues lumières se déplaçant qui pourraient facilement être des avions, des drones, des étoiles filantes...
Mark Sargent a dit : "Au début de 2015, il a publié une série de vidéos YouTube intitulée Flat Earth Clues (Preuves de la Terre plate), qui plongent dans la possibilité que notre civilisation humaine est en réalité à l’intérieur d’une sorte de Truman show, et comment cela a été caché au public depuis 1956."
Lorsque la fusée emmène les astronautes vers la station spatiale, on les voit consulter un manuel d'instructions.
Pourquoi faire ?
Puisqu'ils ne peuvent absolument pas intervenir eux même sur la trajectoire de l'engin, c'est beaucoup trop complexe, il y a beaucoup trop de paramètres qui interviennent.
C'est un système de guidage dans la fusée qui détermine la position de la fusée à partir d'accéléromètres et de gyromètres, couplés à des ordinateurs de bord.
Si la trajectoire réelle de la fusée n'est pas bonne, le système de pilotage de bord modifie cette trajectoire en agissant sur l'orientation des moteurs fusées, sur la poussée de ceux ci et sur le temps de combustion.
Ce ne sont pas les astronautes qui le font.
LA NOUVELLE TECHNOLOGIE, LES HOLOGRAMMES 7D :
La NASA prétend que l'on peut observer la Station Spatiale Internationale (ISS) passer au-dessus de nos têtes, prouvant son existence, mais l'analyse de la station spatiale vue par les zooms des caméras prouve que c’est un certain type d’hologramme, et non pas une base spatiale flottante.
La projection d’images holographiques dans le ciel sera utilisée pour simuler (projet Blue Beam) la venue de la fin des temps parmi les nations.
Les peuples seront témoins de scènes représentant les prophéties et les évènements que chaque croyant a toujours eu connaissance.
Ces images seront projetées depuis des antennes relais, à une centaine de kilomètres au-dessus de la Terre, une gigantesque mise en scène spatiale à l’aide d’hologrammes optiques et sonores en 4D voire 7D, une projection laser d’images holographiques à divers endroits du monde.
Chacun recevra une image en accord avec la foi dominante de son pays. La nouvelle ‘voix de Dieu’ parlera toutes les langues et chacun l’entendra avec les mots de son langage culturel et religieux.
Le but de ces représentions holographiques est de faire apparaître aux yeux du monde un nouveau Christ (Antichrist), pour l’établissement de la nouvelle religion mondiale (Nouvel Ordre Mondial). Cela aura un caractère d’authenticité suffisant pour faire plonger le monde dans la mystification. Même les plus futés seront trompés.
Le projet Blue Beam dispose d’un stratagème si perfectionné qu’il plongera un nombre considérable de personnes dans un état de ravissement total.
LES SATELLITES C.G.I. ET LES RETOUCHES PHOTOSHOP :
Le satellite Hubble flotte selon eux dans la thermosphère, couche atmosphérique terrestre qui se situe entre la mésosphère et l'exosphère.
Si la Terre était une sphère entourée entre 1 500 et 20 000 satellites étrangement ces pannes de réceptions devraient pas se produire si régulièrement dans les zones de campagne rurale.
Comment font nos satellites pour ne jamais subir d'impact de météorites ou les radiations ?
Comment évitent-ils les milliers de débris dans l'orbite terrestre ?
Comment se fait-il qu'aucun débris ne soit sur la photo durant la prise de notre planète par les satellites ?
Voici les 3 compositions d'un satellite avec le point de fusion des métaux :
- OR fond à 1064°C
- TITANIUM fond à 1668°C
- ALUMINIUM fond à 660°C
Comment résiste-t-il dans une atmosphère qui avoisine entre 600° et 2000°C ?
Les prévisions de la météo ne sont captées que par des radars à haute portée au sol.
En ce qui concerne les signaux radios ou audio rebondissent sur l'ionosphère et sont transmis via des paraboles et des antennes-relais.
Notre tel portable se connecte grâce aux antennes-relais qui eux, sont connectés à des câbles terrestres.
COMMENT FONCTIONNE LE GPS ET SAT NAV ?
Il s’est avéré que les communément appelés 'téléphones satellites' ont des problèmes de réception dans des pays comme le Kazakhstan ayant très peu de tours de téléphonie cellulaire. Si la Terre était un globe entourée de 20 000 satellites et plus, ces pannes ne devraient pas se produire si régulièrement dans les zones de campagne rurale.
Trois antennes réseaux triangulent votre position, c'est de la géolocalisation par triangulation.
Pour les zones avec une mauvaise réception, il place un amplificateur mais il y a moins d'antennes dans les régions reculées.
Si la Terre pivotait vraiment constamment vers l'Est à plus de 1 609 km/h, des hélicoptères et des ballons à air chaud devraient être en mesure de simplement planer au-dessus de la surface de la Terre et d'attendre que leurs destinations viennent à eux.
Il est impossible pour les fusées ou tout autre type de moteurs à réaction de travailler dans la non atmosphère présumée du vide spatial, parce que sans air/atmosphère pour pousser contre, il n'y a rien pour propulser le véhicule vers l'avant.
Au lieu de cela les fusées et les navettes seraient envoyées dans toutes les directions en tournoyant de manière incontrôlable autour de leur propre axe, comme un gyroscope.
Il serait impossible de voler vers la lune ou d'aller dans quelque direction que ce soit, particulièrement si la gravité était réelle et vous aspirait constamment vers le corps le plus proche et le plus dense.
Si la Terre était vraiment un globe, il n'y aurait aucune raison d'utiliser des fusées pour le vol dans l’espace, car de toute façon le simple fait de piloter un avion en ligne droite à n’importe quelle altitude assez longtemps, devrait et voudrait vous envoyer dans l’espace.
Pour empêcher leurs avions de voler tangents au globe, les pilotes devraient corriger constamment la trajectoire vers le bas, ou bien en l’espace de quelques heures, l’avion de ligne commercial moyen se déplaçant à une vitesse de 805 km/h se trouverait perdu dans l'espace. Le fait que cela ne se produit pas, que les horizons artificiels restent au niveau des altitudes voulues par le pilote et que les ajustements vers le bas ne sont pas requis, prouve que la Terre n'est pas un globe.
Tous les lancements de fusées de la NASA et autres agences spatiales ne vont jamais tout droit vers le haut.
Toutes les fusées forment une courbe parabolique, atteignent leur niveau maximum et commencent inévitablement à retomber sur la Terre.
Les lancements qui sont déclarés 'couronnées de succès' sont ceux dont les fusées n’ont pas explosé ou ont commencé à tomber trop tôt mais rendues hors de portée de vue des spectateurs avant de s’écraser dans les eaux interdites et d’être récupérées.
Il n'y a aucune altitude magique où des fusées ou toute autre chose peuvent simplement monter, monter, monter et puis soudain commencer à flotter librement dans l'espace.
LA PISCINE GÉANTE DE LA NASA :
Les scènes visiblent dans ces photos ci-dessous, se déroule au N.B.L. (Neutral Buoyancy Lab) à Houston aux États Unis, où des astronautes plongent dans le plus grand bassin intérieur du monde.
Avec ses 23 millions de litres d'eau, cette piscine accueille une réplique partielle de l'ISS destinée à l'entraînement des astronautes lors de sorties extra-véhiculaires.
Il n'est pas rare que les astronautes passent jusqu'à six heures dans leurs scaphandres à 12 m de profondeur. Ils sont assistés dans leurs tâches par des plongeurs.
Les combinaisons des astronautes et les pièces immergées contiennent des poids qui les maintiennent à un état de flottabilité neutre et évitent qu’elles n’émergent ou ne coulent.
De même, pour permettre aux astronautes de se familiariser avec le système de communication, leurs combinaisons incorporent des récepteurs qui ressemblent à ceux utilisés au cours de la mission.
Or, dans la piscine du NBL, la friction de l’eau freine les mouvements.
LA FORCE DE PROPULSION (FORCE-G) QUASI ABSENTE DURANT LE DÉCOLLAGE :
Les astronautes durant leur voyage, vont subir des accélérations. Tout d'abord celle du à leur masse, mais aussi celle dû à l’accélération de la fusée.
En effet le sol de la fusée va exercer une force sur le corps de l'astronaute.
Cette force va lui donner une accélération supplémentaire ; la force qui en résulte plus la force gravitationnelle va donner le poids de l'astronaute.
Le G est une mesure d’accélération. 1 G correspond à l’accélération subit par un astronaute au sol (fusée au sol).
Donc si un astronaute subit une accélération de 3G par exemple, il aura un poids trois fois supérieur qu'au sol.
Ce tableau montre les effets de l’accélération sur un astronaute en vol.
Force-G Effets sur le corps humain 2 G Sensation de peser sur son siège, masse double.
3 G Douleur intense du corps.
4 G Apparition du voile gris traduisant une diminution de la luminosité et du champ visuel.
5 G C'est le voile noir, le champ visuel se rétrécit peu à peu, le pilote ne voit plus rien, mais il entend encore.
6 G Perte de connaissance avec un déplacement des tissus mous vers le bas, une diminution du débit cardiaque malgré l'accélération du rythme cardiaque, une difficulté de mouvement, et une compression des vertèbres.
De plus les fonctions mentales sont altérées tant que dure l'accélération .
Pour contrer ce problème des scientifiques auraient mis en place une innovation qui est la combinaison anti-G.
Le principe de fonctionnement des premières combinaisons anti-G était d'installer un sanglage aux membres inférieurs du corps pour éviter que le sang ne s'y accumule. Pour réaliser ce système, la NASA s'inspira du réseau sanguin de la girafe. Car la veine du cou de la girafe possède des valvules qui orientent le sang vers le cœur.
Celles-ci bloquent le retour afin d’éviter que le sang descende brusquement dans le cerveau lorsqu’elle baisse la tête.
Plus tard les scientifiques auraient amélioré le fonctionnement des combinaisons anti-G, en s'inspirant cette fois-ci du réseau sanguin des libellules.
La libellule lors de son vol saccadé subit des forces G d'une amplitude de 30 G qu'aucun humain n'aurait pu supporter.
L'inclinaison du siège de l'astronaute peut faire varier les effets.
En effet, une certaine inclinaison du siège permet de limiter la distance du cœur au cerveau et donc de mieux supporter les accélérations. Ces sièges-là sont formés de deux pièces d'acier plat recouvertes d'un coussin peu épais ce design un peu particulier est fait aussi pour mieux supporter les forces auxquelles seront soumises les astronautes en cours de vol.
Pourtant, lorsqu’on observe les astronautes durant un décollage, nous n’observons aucune déformation du visage, ni perte de conscience - mais pire, nous les voyons discuter entre eux, sourire, voire même lire des soi-disant manuels… sans en plus, être plaqué sur le siège dû à la force d'accélération, comment est-ce possible ?