LES VACCINS QUI ALTÉRENT l'ADN HUMAINE :
UNE CAMPAGNE DE VACCINATIONS POUR RENFLOUER LES CAISSES DE BIG PHARMA :
Sous le couvert de la prévention de la maladie, les vaccins sont des porteurs idéaux pour toutes sortes de gènes qui seraient incorporés de façon définitive dans la structure ADN humaine.
L'énorme propagande au sujet des vaccins et les lois obligatoires qui en résultent, qui imposent la vaccination, les gènes synthétiques injectés aux milliards d'êtres humains formeraient une grande expérience pour créer une espèce altérée.
Les vaccinés seront soumis à une surveillance continue pour évaluer les résultats.
Sur divers prétextes, les membres de ces groupes seront amenés dans des cliniques pour des examens et des tests, pour découvrir les marqueurs qui révèlent les réponses de leurs corps aux altérations génétiques.
Ces personnes sont-elles plus fortes ou plus faibles ?
Présente-t-il des signes de maladie ?
Rapporte-t-on des changements de comportement ?
Bien sûr, il n'y a pas de consentement éclairé. Les cobayes humains n'ont aucune connaissance de ce qui leur est fait.
Et quels seraient les objectifs de ce programme de recherche ?
Sur un plan simplifié, créer des êtres plus faibles et plus dociles et plus obéissants et plus dépendants.
De l'autre côté, créer des humains plus forts et plus sains et plus intelligents et plus talentueux.
Évidemment, certaines de ces recherches seront menées à l'intérieur de l'armée.
Le secret est plus facile à maintenir et le but de produire de meilleurs soldats est un objectif de longue date du Pentagone et l'agence de recherche, DARPA.
Ceux qui tombent malades ou meurent peuvent être déclarés comme ayant souffert de diverses maladies et troubles qui n'ont rien à voir avec les vaccins, pour protéger le cartel médical.
Le système médical américain a déjà tué 2,2 millions de personnes par décennie, à la suite de médicaments approuvés par la Food and Drug Administration (F.D.A.) et les mauvais traitements dans les hôpitaux.
Les grands médias et les dirigeants gouvernementaux, conscients de ce fait, n'ont rien fait.
Le biologiste moléculaire américain, Lee M. Silver, auteur du livre Remaking Eden ; donne une vision sur la façon dont les généticiens importants pensent à un futur ingénieux.
Avec des vaccins qui altèrent en permanence la composition génétique humaine à l'horizon, et compte tenu du penchant de ces entreprises et des organismes gouvernementaux pour le secret, nous vivons déjà le Nouvel Ordre Mondial.
Toute innovation génétique vise à nous rapprocher d'un monde stimulant et plus éloigné de la liberté.
C'est pourquoi la défense de la liberté devient de plus en plus vitale.
Est-ce que chaque être humain est simplement et seulement un système qui attend d'être réorganisé ?
Marcella Piper-Terry, Independent Researcher M.S. : "Notre système immunitaire a été créé pour fonctionner parfaitement.
La manipulation de ce système immunitaire par des virus, des bactéries, des toxines va à l’encontre du plan de la Nature.
Nous voulons et devons garder notre corps le plus pur possible.
Nous refusons de le polluer en lui injectant de l’aluminium, du mercure, du formaldéhyde, du tissu fœtal de bébés avortés.
Nous ne voulons pas nous faire injecter de l’ADN animal, de l’ADN d’insectes."
“En délivrant des gènes synthétiques dans les muscles des singes [expérimentaux], les scientifiques sont essentiellement en train de remodeler les animaux pour résister à la maladie.”
"Le ciel est la limite" : a déclaré Michael Farzan, immunologue chez Scripps et auteur principal de la nouvelle étude.
“Le premier essai chez l’homme basé sur cette stratégie – appelé immunoprophylaxie par transfert de gènes, ou I. G. T.- est en cours, et plusieurs autres sont planifiées.”
Si vous voulez altérer les humains, par exemple, pour les rendre plus dociles et faibles, pour imposer des nouvelles lois ou restructurer la société...
Le caducée d’Hermès représentant les deux serpents entrelacés rappelant l’origine reptilienne des démons et satan dans le jardin d’Eden et aussi la structure de l’ADN .
Le symbole des serpents entrelacés, que nous employons toujours aujourd’hui pour représenter la médecine et la guérison, la biologie existe depuis la nuit des temps.
Ce symbole est aussi celui de l’ADN, la spirale double de l’ADN.
Les vaccins contiennent en plus des métaux lourds et autres poisons :
- Cellules de fœtus HUMAINS avortés
- Sérum sanguin de fœtus de veau avorté
- Cellules provenant de chenilles légionnaires
- Cellules de reins de singes
- Cellules de reins de chiens
- Cerveau de souris
- Embryons de poulet
- Gelatine de porc
Beaucoup de vaccins contiennent des produits nocifs, comme le mercure, l’aluminium, et le formaldéhyde.
Certains de ces produits ont effectivement un effet potentiellement nocif, tout comme le monoxyde de dihydrogène.
Ce dernier est pourtant largement ignoré du grand public, alors qu’il cause la mort de nombreuses personnes chaque année, et que la population mondiale y est fortement exposée à chaque instant.
- Pour une maladie comme le tétanos, par exemple, il ne peut y avoir d’épidémie puisqu’il s’agit d’un microbe provenant du sol, donc non contagieux entre individus (pour rappel : 10 cas par an en France par an, 3 décès de personnes âgées).
- Pour la coqueluche on sait que l’immunité conférée par le vaccin est très faible.
- Pour l’hépatite B, la transmission par voie sexuelle ou sanguine ne peut être que limitée chez les jeunes enfants.
En outre la protection conférée par le vaccin chez ces jeunes enfants pose des problèmes d’immunité post-vaccinale une fois ces enfants arrivés à l’adolescence. - Cette profession de foi de la couverture vaccinale s’applique donc surtout à la rougeole. La ministre l’a répété à outrance, en disant qu’il est : "inadmissible que des enfants meurent encore de la rougeole et l’on est dans une situation d’urgence et que la France doit atteindre les objectifs fixés par l’OMS, soit une couverture vaccinale de 95%"
Un article d’un groupe de médecins britanniques publié dans le British Medical Journal en 1959, faisait le point sur les épidémies de rougeole en ces termes : "La rougeole est une maladie bénigne, probablement la plus commune au monde. Il y a peu de complications et il ne vaut pas la peine d’essayer d’en éviter la contagion."
Les premières campagnes de vaccination débutèrent donc à partir de 1966-67, et l’incidence de la maladie diminua fortement, jusqu’au milieu des années 1980 où de nouvelles épidémies éclatèrent.
On s’aperçut alors qu’une majorité de cette première génération de vaccinés avait perdu son immunité
- Si bien qu’en 1984, le Dr Levy affirmait déjà : "La première bataille d’élimination du virus sauvage a été remportée, il ne s’agit que d’un succès à court terme, étant donné la diminution de l’immunité des vaccinés."
Face à cette situation, l’on introduisit en 1989 une deuxième dose du vaccin, afin de renforcer son effet.
Malgré cela, la durée de l’immunité ne cessa de décliner par la suite de sorte que l’immunité de la population vaccinée devint de plus en plus courte.
En somme, plutôt que de les protéger, la vaccination massive a finalement augmenté le risque pour les populations les plus fragiles.
Normalement, les enfants devraient être moins susceptibles de développer des cancers car leurs cellules n’ont pas accumulé autant d’anomalies que les personnes âgées. Pourtant on sait que les enfants de moins de 7 ans sont plus atteints que les adultes par la leucémie, une susceptibilité au cancer existe donc bien dans les premières années de vie. Aucune étude de cancérogénicité sur le moyen ou le long terme n’a été effectuée sur la composante inflammatoire des vaccins anciens et nouveaux. Par exemple pour le cas de l’Infanrix Hexa, l’agence européenne du médicament précise : "L’absence de données sur la mutagénicité et la cancérogénicité est justifiée par le fait que le produit est un vaccin et aucun des ingrédients actifs ou excipients ne sont nouveaux ou connus pour induire des effets mutagènes ou cancérogènes."
Mais le développement tumoral ne se limite pas à la présence de cellules mutées ; il nécessite aussi un environnement inflammatoire. La vaccination induit une inflammation exacerbée qui n’est plus physiologique mais médicale. Si la fonction de stimulation de la production d’anticorps protecteurs peut être achevée par ce biais, la conséquence est aussi la formation d’un micro environnement inflammatoire pro tumoral artificiellement induit. La vaccination est par essence un acte inflammatoire exacerbé induit sur des nourrissons présentant un taux de cellules en division bien plus important que les adultes et donc potentiellement plus sensibles à mutations.
Normalement, ces cellules mutées vont être éliminées par l’organisme ou entrer en dormance. L’hypothèse selon laquelle, confrontées à l’inflammation vaccinale, elles pourraient se révéler redoutables et devenir incontrôlables, générant par exemple des leucémies, mériterait d’être étudiée, et ce d’autant plus que le mécanisme est connu de tous les immunologistes. L’inflammation vaccinale déclenche la production de substances par certaines cellules qui modifient l’activité et la fonction d’autres cellules, ce sont les cytokines inflammatoires qui sont aussi pour certaines des facteurs de croissance de cellules cancéreuses.
Inflammation vaccinale et cancers chez l’enfant ?
On peut s’inquiéter lorsque l’on voit une augmentation de 13% des cancers de l’enfant entre les années 80 et les années 2 000 et que, parallèlement, le taux de vaccination a explosé permettant aux compagnies pharmaceutiques de tripler leurs bénéfices durant cette période comme le précise l’OMS : "Depuis 2000, le marché mondial de ces produits a presque triplé avec plus de 17 milliards de recettes mi-2008, ce qui en fait l’un des secteurs de l’industrie dont la croissance est la plus rapide", lorsque l’on voit le rapport parlementaire italien qui établit un lien entre cancer et vaccins, lorsque l’on voit l’incidence de cancer du foie être multiplié par 4 en France depuis la mise en place de la vaccination de l’hépatite B entre 1980 et 2015, ou l’augmentation du risque du cancer du col de l’utérus qui a doublé chez les femmes de 20 à 24 ans entre 2007 et 2015 depuis l’introduction du vaccin anti HPV (human papillomavirus).
Comment nos académies des sciences, de médecine, de pharmacie ou d’agriculture, pourtant si promptes à dénoncer les critiques vaccinales expliquent-elles cette augmentation dramatique ? Serait-ce uniquement les pesticides ou pollutions diverses ?
Pourquoi ne pose-ton jamais la question sur les vaccins alors qu’ils ont la particularité d’être injectés directement dans le corps et d’être conçus pour déclencher une inflammation généralisée, contrairement aux autres éléments toxiques externes qui passent tout une série de filtres biologiques (peau, poumons...). On est en droit de demander un arrêt immédiat de la politique d’obligation vaccinale et la mise en place de tests de tumorigénicité non plus liés exclusivement à la génotoxicité (toxicité provoquant des mutations) mais incluant l’inflammation vaccinale protumorale des vaccins et à leurs effets secondaires sur la gestion de l’inflammation.
L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».
La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.
L’idée derrière tout cela est de créer des pilules intelligentes qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique.
Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.
Fin janvier et début février, le ministère de la santé, conscient de la faiblesse des stocks d’État, n’a décidé de commander qu’une très faible quantité de masques, malgré des alertes internes. Le matériel a de surcroît mis plusieurs semaines à arriver.
Le gouvernement a caché cette pénurie pendant près de deux mois et, en fonction des stocks, a adapté ses consignes sanitaires sur le port du masque. Fin février, le directeur général de la santé préconisait un masque pour toute personne en contact avec un porteur du Covid. Un mois plus tard, la porte-parole de l’exécutif déclarait que c’était inutile…
Le gouvernement a caché cette pénurie pendant près de deux mois et, en fonction des stocks, a adapté ses consignes sanitaires sur le port du masque. Fin février, le directeur général de la santé préconisait un masque pour toute personne en contact avec un porteur du Covid. Un mois plus tard, la porte-parole de l’exécutif déclarait que c’était inutile…
Le 24 janvier, quelques heures avant la confirmation de trois cas européens (et français) de coronavirus, la ministre de la santé Agnès Buzyn se veut rassurante à la sortie du Conseil des ministres : "Les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles."
Alors que le coronavirus met des millions de travailleurs au chômage et que les multinationales font face à des perturbations économiques dues à leur trop grande dépendance envers ces chaînes d’approvisionnement, ces sociétés sont confrontées à des pressions politiques locales pour renationaliser certaines activités au risque de devoir sacrifier leur rentabilité au bénéfice de l’intérêt des leaders oligarchiques : GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft).