LA COMMISSION TRILATÉRALE :

UNE IDÉOLOGIE OCCULTE POUR LA MAINMISE MONDIALE :

La commission trilatérale, organisation élitaire, a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l’industrie et de l’économie, donc des nations trilatérales – des Etats-Unis, du Japon et de l’Europe de l’Ouest – pour créer de force et une fois pour toutes le Nouvel Ordre Mondial.
Elle offre à l’élite venant d’horizons divers de la Franc-Maçonnerie la possibilité d’une collaboration secrète à l’échelle mondiale.
Elle doit aussi permettre aux Bilderberg d’élargir leur influence en leur donnant une base politique plus large.

La plupart des membres européens ont, depuis longtemps, des contacts avec les Rockefeller.
La Commission trilatérale se compose de 200 membres environ qui sont, contrairement aux membres de Bilderberg, permanents.
A ses débuts, seul le Japon représentait la face asiatique de la Trilatérale.
Il est remarquable de constater l’évolution de celle-ci, qui inclut maintenant la Chine, un régime considéré comme communiste traitant avec des entités considérées capitalistes.
On retrouve le même paradoxe dans l’opposition de façade de la guerre froide et des réunions discrètes de représentants des deux blocs tenues avant la chute du mur de Berlin.

The Trilateral Commission Commission Trilatérale Bilderberg Rockefeller

La Commission Trilatérale a été fondée en 1973 par David Rockefeller.
Elle rassemble 200 membres à travers le monde, dont environ 77 Américains. Il n’y a pas nécessairement de double adhésion : par exemple, Frederick Weyerhaeuser - grand industriel de la filière bois - faisait partie de l’Ordre des Skull & Bones, mais son fils fut membre de la Commission Trilatérale sans appartenir à l’Ordre.
Pareillement, Robert Taft Jr est membre de la Commission Trilatérale mais non pas de l’Ordre, même si son grand-père comptait parmi ses cofondateurs et que huit Taft en ont été membres. Le lien entre l’Ordre et la Trilatérale est insaisissable.

  • J. Richardson Dilworth, au 3 600 Rockefeller Plaza, et directeur général et financier du groupe de la famille Rockefeller et de ses associés, est membre de l’Ordre.
  • Percy Rockefeller (initié en 1900) était un membre de l’ordre, mais aucun autre Rockefeller n’apparaît sur les listes de membres.

Il se peut que la Commission Trilatérale ne soit qu’une initiative strictement personnelle de David Rockefeller, plutôt qu’un moyen trouvé par un pouvoir occulte d’asseoir plus largement sa puissance.
Cette organisation secrète fut créée en juin 1972 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski, notamment parce que les organisations bien établies, telles que les Nations unies, n’allaient pas assez vite pour mettre en place le gouvernement mondial unique.
La Commission trilatérale contrôle avec les membres du C.F.R. toute l’économie des États-Unis, la politique, l’appareil militaire, le pétrole, l’énergie et le lobby des médias.
Ses membres sont, entre autres, des patrons de konzerns, des banquiers, des agents immobiliers, des économistes, des politologues, des avocats, des éditeurs, des dirigeants syndicalistes, des présidents de fondations et des éditorialistes.

Zbigniew Brzezinski Karol Wojtyla B’naï B’rith cardinal König

Zbigniev Brzezinski, homme de l’ombre américain, conseiller de plusieurs présidents de tous bords - il est le chef des B’naï B’rith de Pologne :
Le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le Franc-Maçon cardinal König.
Pendant ses dix premiers jours de sa présidence, Barack Obama a nommé 11 hauts fonctionnaires issus de la Commission trilatérale à des postes clés de son administration, introduisant ainsi une puissante force extérieure dans le leadership de son gouvernement, mais avec un agenda de base qui porte plutôt préjudice aux citoyens des États-Unis.

Outre ces nominations, Obama a appelé à la Maison-Blanche plusieurs membres illustres de la Commission Trilatérale, dont Zbigniew Brzezinski, son principal conseiller en politique extérieure.
Brzezinski est cofondateur de la Commission avec David Rockefeller.

La Commission trilatérale a une grande responsabilité dans l’état actuel du monde.
Elle fut constituée en 1973 comme un forum mondial de penseurs, devenus les artisans du tournant multinational pris par le capitalisme dans le sens d’une radicalisation du courant de pensée keynésien le plus classique de l’économie : rôle de l’État, intensification de l’exploitation mondiale du travail, hégémonie militaire mondiale des pays les plus riches de la planète et de leurs compagnies transnationales.

Selon sa liste officielle, la Commission Trilatérale compte 424 membres, dont 87 seulement sont américains.
Ainsi, au cours de ses deux premières semaines à la Maison-Blanche, le nombre de représentants gouvernementaux désignés par Obama constitue 12% de la représentation des États-Unis à la Commission.

Il entretient bien d’autres liens avec la Trilatérale, comme par exemple la présence en qualité de membre permanent de William Jefferson Clinton, le mari de la Secrétaire d’État, Hillary Clinton.
On compte parmi les patrons des grands médias de nombreux membres de la Commission trilatérale, et ils peuvent détourner les informations pertinentes mais dérangeantes :

  1. David Bradley, président d’Atlantic Media Company.
  2. Karen Elliot House, ex-vice-président senior de Dow Jones & Company, et éditrice du Wall Street Journal, qui appartient à Rupert Murdoch.
  3. Richard Plepler, coprésident de HBO.
  4. Charlie Rose, de PBS, Service public de radio et télévision des États-Unis.
  5. Fareed Zakaria, rédacteur du Newsweek
  6. Mortimer Zuckerman, président de l’U.S. News & World Reports.

Il est admis, à la Commission trilatérale, que les États-Unis sont beaucoup plus prêts à jouer le jeu de la mondialisation que les deux autres parties.
C’est au capitalisme familial (et non, par exemple, aux investissements et spéculations sur les devises) que l’on reproche les malheurs actuels des pays asiatiques.
De la même manière, les systèmes européens de sécurité sociale sont considérés comme des boulets qui entravent la compétitivité.
Tout à fait logiquement, leur rencontre de 1999 aboutit donc à la recommandation suivante : "L’Europe doit devenir plus compétitive en déréglementant les marchés du travail et en refondant ses systèmes encombrants d’assistance sociale."

Stephen Gill Commission trilatérale capitalisme mondialisation

Selon l’analyste politique Stephen Gill, les forces économiques représentées à cette commission déterminent le sens des politiques nationales et internationales adoptées par ses membres responsables politiques : "Les intérêts économiques représentés, souligne-t-il, sont principalement ceux de l’internationalisation des mouvements de capitaux. Ses membres industriels sont facilement identifiables : directeurs ou sous-directeurs de firmes transnationales, de mégabanques ou de compagnies agro-industrielles ou commerciales." Les petites entreprises à vocation plus nationales en sont exclues et les organisations de travailleurs sont sous-représentées. Les entreprises membres de la Commission trilatérale "disposent d’un accès privilégié à la croissance phénoménale des marchés de l’euro et peuvent emprunter des fonds à de meilleurs taux que leurs concurrents plus faibles – la grande majorité de leurs investissements dans les années 1970 et 1980 concernaient l’intensification capitaliste ou la technologie.
En conséquence, leur expansion n’a pas généré d’effets notables sur l’emploi."

En résumé, ces firmes sont du même type que celles qui travaillent au sein des lobbies industriels (tels que l’ERT) à la libéralisation accélérée du commerce et de l’industrie.

Obama Bush Clinton Trump