LES SATELLITES, HOLLYWOOD ET PHOTOSHOP :
SOFIA LE SATELLITE HUBBLE :
S.O.F.I.A. (Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy) les premières images de ce satellite aérien ont été réalisées en conditions de vol réel pour démontrer la stabilité du télescope et sa capacité à pointer une cible sans bouger.
L'ingénieur Brian Mullin : "comment l'ISS, le télescope Hubble et les satellites pourraient même exister dans la thermosphère, où la plage de température de 1 500° à 2 500°C, en utilisant la physique, les connaissances en astronomie et la thermodynamique. Ils défient les lois de la thermodynamique."
SOFIA était déjà venu en Nouvelle-Zélande au début de l'été 2015 pour étudier l'atmosphère, le climat, les étoiles...
William Cooper : "L’exploration lunaire s’est arrêtée parce qu’il était impossible de poursuivre le canular sans être découvert. Et bien entendu ils se sont trouvés à court d’épisodes pré-filmés. Personne n’est monté plus haut que 500 km, au maximum, au-dessus de la surface terrestre... Personne n’a jamais été mis en orbite, n’a jamais aluni ou marché sur la lune dans un quelconque programme spatial rendu public."
Des télescopes toujours plus puissants, implantés pour certains au sol (VLT, ALMA, IRAM), embarqués pour d'autres à bord de satellites (Hubble, Herschel), et dans des domaines de longueurs d'onde différents : visible, infrarouge, radio.
Un Boeing 747 pourvu d'un télescope de 2,5 mètres de diamètre opérant dans l'infrarouge lointain.
Les trois miroirs du télescope (le primaire, le secondaire et le tertiaire) sont installés à l'arrière du fuselage du Boeing 747SP, une trappe coulissante s'ouvrant en vol.
L'électronique et les instruments sont, eux, installés au centre de l'appareil dans un compartiment pressurisé, là où travaillent l'équipage et les scientifiques.
Il fallait s'assurer que le vent qui s'engouffre dans le compartiment où il est logé ainsi que les soubresauts du Boeing ne créent pas des vibrations capables de perturber les observations et compromettre le pilotage voire endommager la structure de l'avion.
L'avion vole entre 12 et 14 km d'altitude, au-dessus des couches atmosphériques qui absorbent la majorité du rayonnement infrarouge.
L'instrument s'affranchira ainsi des turbulences qui limitent les performances des télescopes terrestres observant dans l'infrarouge.
Situé au-dessus de plus de 99% de la vapeur d'eau contenue dans l'atmosphère terrestre, Sofia captera 80% de plus de lumière infrarouge qu'un télescope au sol.
SOFIA est le fruit d'une fructueuse collaboration entre la NASA et le centre d'études spatiales allemand ; il a besoin de voler à très haute altitude pour être efficace.
HOLLYWOOD ET PHOTOSHOP :
La NASA prétend que l'on peut observer la Station Spatiale Internationale (I.S.S.) passer au-dessus de nos têtes, prouvant son existence, mais l'analyse de l'ISS vue par les zooms des caméras prouve que c’est un certain type d’hologramme / drone, et non pas une base spatiale flottante.
Cela est une illusion de science-fiction créée par des câbles, des écrans verts, des piscines sombres, quelques cheveux permanentés et des avions Zéro-G (Zéro Gravité).
La NASA et autres agences spatiales ont été pris sur le fait maintes et maintes fois dans leurs prises de vues officielles de l’espace montrant des bulles d'air se formant et flottant dans un coin.
Les astronautes ont également été pris sur le fait, utilisant un équipement de plongée sous-marine-spatiale, donnant des coups de pied avec leurs jambes pour se déplacer, et l'astronaute Luca Parmitano s’est même presque noyé lorsque l'eau a commencé à remplir son casque dans une prétendue 'sortie dans l’espace'.
Il est admis que les astronautes s’entraînent dans des installations sous-marines, comme le Laboratoire de Flottabilité Neutre de la Nasa pour leurs sorties dans l’espace, mais ce qui ressort de façon évidente de leurs bulles spatiales et autres erreurs, c’est que toutes les séquences officielles des sorties dans l’espace sont également truquées et filmées sous l’eau.
L’analyse de nombreuses vidéos de l’intérieur de la Station spatiale internationale ont montré l'utilisation d’effets de caméra, tels que des écrans verts, des harnais et même des cheveux permanentés d’une manière extravagante, pour obtenir un effet de type zéro gravité.
Les vidéos des astronautes flottant apparemment en apesanteur dans leur station spatiale est impossible à distinguer de celles prises à bord de 'comète vomi', l’avion Zero-G.
En volant avec des manoeuvres paraboliques, cet effet flottant Zero-G peut être réalisé encore et encore, puis les séquences sont assemblées au montage. Pour de plus longs plans en version intégrale, la NASA a été prise sur le fait, utilisant de simples câbles et la technologie des écrans verts.
Le terme 'satellite de communication géostationnaire' a été créé par le Franc-Maçon auteur de science-fiction Arthur C. Clarke, et il est devenu théoriquement un fait scientifique juste une décennie plus tard. Avant cela, les systèmes de radio, télévision et navigation comme LORAN et DECCA étaient déjà bien établis et fonctionnaient bien, utilisant les technologies basées au sol seulement.
Aujourd'hui, d'énormes câbles de fibres optiques se connectent à l'internet à travers les océans, des tours cellulaires gigantesques triangulant les signaux GPS et la propagation ionosphérique permet aux ondes radio de rebondir sans l'aide du best-seller de la science-fiction connu sous le nom de satellites.
Des analystes professionnels en photographie ont disséqué plusieurs images de la Terre émanant de la NASA et trouvé la preuve indéniable de l'édition sur ordinateur.
Par exemple, des images de la Terre qui aurait été prises depuis la lune se sont avérés être copiées et collées, comme en témoignent les coupures rectangulaires trouvées dans le fond noir autour de la Terre, en ajustant les niveaux de luminosité et de contraste.
S’ils étaient vraiment allés sur la lune et que la Terre était vraiment un globe, il n'y aurait pas besoin de truquer les photos de la sorte.
Lorsque les images de la NASA sont comparées les unes aux autres, la coloration des terres, des océans et la taille relative des continents sont systématiquement si radicalement différentes les unes des autres, que cela en fait une autre preuve, hors de tout doute raisonnable, que les photos sont toutes fausses.
Dans le documentaire 'A Funny Thing Happened on the way to the moon' (Une drôle de chose s’est produite en chemin vers la lune), vous pouvez voir des images officielles de la NASA montrant les astronautes d'Apollo 11 : Buzz Aldrin, Neil Armstrong et Michael Collins pendant presque une heure, ayant recours à l'utilisation de transparents et d’effets de caméra pour simuler la rotondité de la Terre !
Ils communiquent par audio avec le contrôle à Houston sur la façon d’organiser la prise de vues avec précision, et quelqu'un prodigue ses encouragements sur la façon de manipuler efficacement l'appareil afin d’obtenir l'effet désiré.
D'abord, ils ont noirci toutes les fenêtres, sauf une circulaire vers le bas, sur laquelle ils ont braqué la caméra à plusieurs mètres de distance.
Cela a créé l'illusion d'une Terre en forme de globe entourée par la noirceur de l'espace, alors qu'en fait c’était simplement une fenêtre ronde dans leur cabine sombre.
Neil Armstrong avait prétendu à ce moment-là être à plus de 209 170 km de la Terre, à mi-chemin vers la lune, mais lorsque les effets de caméra ont été achevés, les spectateurs ont pu voir par eux-mêmes que les astronautes n’étaient pas plus loin que quelques quinzaines de kilomètres au-dessus de la surface de la Terre, probablement volant dans un avion de haute altitude !
Les gens prétendent que Google Earth prouve en quelque sorte le modèle sphérique de la Terre, sans se rendre compte que 'Google Earth' est tout simplement un programme gérant les images composites prises à partir d'avions à haute altitude, et au niveau de la rue, avec des voitures caméras, le tout en surimpression sur un modèle de globe généré par ordinateur (CGI).
La même chose pourrait être tout aussi facilement modelée sur une Terre carrée ou de toute autre forme, et donc par conséquent ne peut pas être utilisé comme preuve de la rotondité de la Terre.
LES BALLONS SONDES MÉTÉOROLOGIQUE ?
Le mythe des satellites en orbite s'effondre et les partisans de la NASA peuvent désormais utiliser leur mouchoir pour effacer la tristesse qui les envahisse...
La vérité des pseudos satellites sont en réalité des ballons envoyé dans la haute atmosphère !
Adam Cudworth, une jeune étudiant britannique âgé de 19 ans, a impressionné son petit monde en lançant son propre satellite pour photographier la Terre.
Le jeune homme a ainsi envoyé au début du mois de septembre son appareil artisanal, baptisé 'HABE 5' pour High Altitude Balloon Experiments, soit, en français "expériences de ballon en haute altitude".
Composé d'une boîte en polystyrène, d'un appareil photo acheté sur eBay, de capteurs de température, d'un système de GPS, de panneaux solaires, mais aussi d'un microprocesseur, l'engin est monté grâce à un ballon gonflé d'hélium jusque dans la basse stratosphère à 33 592 m, survivant à une température de -63° Celsius.
Le satellite lancé par l'étudiant en ingénierie de l'Université de Nottingham et évalué à 250 € lui a permis de prendre des photos dignes d'un satellite coûtant plusieurs millions d'euros.
Il n'a par ailleurs eu qu'à parcourir une cinquantaine de kilomètres pour retrouver le dispositif.
LES CABLES SOUS-MARINS ET INTERNET :
Le monde Internet se passe sous les mers et les océans : des milliers de kilomètres de câbles sous-marins qui assurent les communications intercontinentales, qu'il s'agisse d'Internet ou de la téléphonie.
Dans le monde, il y aurait environ 430 câbles sous-marins en service, selon le centre de recherche Telegeography. Ces autoroutes de fibre optique, qui s'étirent sur des milliers de kilomètres sous les océans, constituent le lien indispensable entre les réseaux de télécommunications terrestres.
Entre la croissance du nombre d'internautes, l'explosion de la vidéo ou la multiplication des terminaux et autres objets connectés, le spécialiste américain des réseaux Cisco juge que le trafic Internet mondial aura triplé en 2020 par rapport à 2015
Autre domaine dans lequel les câbles sous-marins sont devenus essentiels : celui des transactions financières internationales.
C'est, logiquement, lorsque des incidents surviennent sur ces câbles qu'on mesure leur importance.
En 2008, l'Égypte a ainsi perdu plus de la moitié de son réseau Internet pendant plusieurs jours, après la coupure de deux câbles sous-marins.
L'Arabie saoudite et l'Inde ont également été affectées. Même si elles sont difficilement chiffrables, les conséquences économiques ont été lourdes.
Ainsi, les marchés financiers égyptiens ont été contraints de cesser toute activité.
Fin janvier, c'est une grande partie de Madagascar qui a été privée d'Internet après l'endommagement d'un câble sous-marin reliant l'île à l'Afrique du Sud et au Soudan.
Cette gigantesque coupure de réseau a, au final, duré douze jours. Un séisme qui a eu lieu peu avant l'accident pourrait être, selon l'opérateur malgache Telma, à l'origine de la rupture du câble.
Sachant qu'en matière d'accidents, les ancres des navires demeurent l'ennemi numéro un de ces pipelines de l'information, loin devant les avalanches sous-marines, voire des morsures de requins.
Aujourd'hui, le marché des câbles sous-marins est principalement soutenu par les opérateurs télécoms, qui ont besoin de ces artères pour connecter leurs clients.
Comme ces infrastructures coûtent des fortunes - jusqu'à plusieurs centaines de millions d'euros - ils s'y mettent généralement à plusieurs.
Par le biais de consortiums, les opérateurs financent de concert ces tuyaux, et partagent ensuite leur capacité. En France, Orange investit régulièrement dans les câbles sous-marins.
L'opérateur historique participe à leur installation : grâce aux navires câbliers de sa division Orange Marine, il déploie et assure la maintenance de ces infrastructures à travers le monde.
L'année dernière, il a notamment participé à l'installation du Sea-Me-We 5 (South East Asia-Middle East-Western Europe 5). Ce câble de 20 00 0km, pour lequel Orange et ses partenaires ont déboursé plus de 300 millions d'euros, relie depuis peu le sud de la France à Singapour, en passant par la Turquie, l'Égypte ou encore l'Arabie Saoudite.
Directeur des réseaux internationaux de l'opérateur historique, Jean-Luc Vuillemin explique que les câbles sous-marins permettent d'abord de : "garantir la disponibilité au meilleur prix des capacités dont on a besoin entre certaines destinations stratégiques."
Parmi elles, il y a la liaison entre l'Europe et les États-Unis. "C'est un axe majeur" : insiste-t-il.
De fait, énormément de Français utilisent les applications des géants américains du Net (Google, Facebook, Amazon ou Netflix), dont les grands data centers sont basés en Amérique.
D'autres liaisons sont essentielles pour Orange, notamment vers l'Afrique où l'opérateur dispose de nombreuses filiales. Pour améliorer la connectivité de ses abonnés au Maroc, au Sénégal, au Mali, au Cameroun ou encore au Niger, le géant français des télécoms a besoin des câbles sous-marins.
Mais depuis quelques années, les opérateurs télécoms ne sont plus les seuls à investir dans les câbles sous-marins.
Grands utilisateurs de ces infrastructures, certains géants américains du Net veulent désormais disposer de leurs propres tuyaux sous les mers.
Président d'Alcatel Submarine Networks (A.S.N., basé en France), un des leaders mondiaux de la construction, de la pose, de la modernisation et de la réparation des câbles sous-marins, Philippe Piron est formel : "Les géants américains du Net représentent aujourd'hui 40% des commandes du marché, contre à peine 10 % en 2013."
D'ici peu, Facebook et Microsoft vont notamment mettre en service Marea, un câble de 6 600 km entre les États-Unis et l'Europe.
L'ouvrage offrira une capacité absolument monstrueuse de 160 térabits par seconde.
Google, de son côté, n'est pas en reste. Grand dévoreur de bande passante, le géant de Mountain View a notamment investi dans Faster, qui relie la côte Ouest des États-Unis au Japon.
Long de près de 12 000 km, ce câble présente également une capacité impressionnante de 60 térabits par seconde.
Aux yeux des gouvernements aussi, les câbles sous-marins sont perçus comme des actifs éminemment stratégiques.
Et pour cause : "La carte des câbles sous-marins, c'est la carte des influences dans le monde" : affirme Pascal Griset, professeur d'histoire contemporaine à La Sorbonne.
Cette constatation est d'après lui valable depuis plus de 150 ans. Il faut dire que le premier câble sous-marin transatlantique a vu le jour en 1858 entre l'Irlande et Terre-Neuve au Canada.
Depuis, ces infrastructures qui servaient au début à n'envoyer que des messages télégraphiques, n'ont cessé de se développer.
"Ce fut d'abord un monopole britannique, car les câbles sous-marins ont permis à la Grande-Bretagne de gérer son empire colonial" : explique Pascal Griset.
La France a également vite investi dans ces précieuses liaisons de cuivre pour communiquer avec ses colonies.
Quant aux États-Unis, ils en sont aussi devenus un acteur de premier plan, voyant d'abord dans les câbles sous-marins un moyen d'échapper à la domination britannique.
Historiquement, plusieurs technologies, comme la radio et les antennes, ont rivalisé et parfois supplanté les câbles sous-marins. À partir des années 1920, par exemple, les câbles sous-marins "entrent dans une première longue éclipse" : rappelle Pascal Griset. "Avec l'adoption des ondes courtes, elles proposent même à leur clientèle les premières liaisons téléphoniques intercontinentales. Alors que les câbles, eux, ne peuvent toujours acheminer que de simples télégrammes."
Pourtant : "les compagnies câblières seront sauvées de la faillite par les gouvernements britannique, américain, allemand et français, qui souhaitent préserver ces réseaux pour des raisons à la fois politiques et stratégiques."
LA SUPERCHERIE DE LA STATION ISS :
Les anomalies quand on observe les photos prisent par la NASA : au décollage, les astronautes subissent plusieurs accélérations pouvant aller jusqu'à 4G.
Leur corps pèse alors 4 fois plus lourds - Ainsi un astronaute pesant 80 kg sur le sol, sentira son corps peser 320 kg pendant le décollage.
Le bras d'un astronaute pesant environ 5 kg avec son équipement, celui-ci pèsera plus de 20 kg lorsque la fusée s'élève.
Mettez-vous 20 kg de plomb autour du bras et essayez de le déplacer, d'effectuer des mouvements de précision, comme le font les astronautes sur cette photo ci-dessous.
Pourtant on les voit activer des interrupteurs, étudier leur manuel de vol, faire un signe à la caméra, sans aucune gêne, alors qu'ils devraient être collés à leur fauteuil : ils pèsent plus de 240 kg au décollage.
Des gouttes d'ammoniac (voir photo ci-dessous) s'échappent dans le vide depuis un radiateur extérieur en mai 2013.
C'est impossible puisqu'un liquide dans le vide se met immédiatement à bouillir, se transforme en gaz et s'évapore.
Ce sont des notions élémentaires de physique : si la pression diminue, le liquide se transforme en vapeur.
L'astronaute Oleg Artemiev lance à la main le satellite péruvien 'Chasqui-1'.
C'est un tout petit satellite puisqu'il fait 10 cm de côté. Le satellite prendra des photos dans le visible et l'infrarouge, ainsi que des données télémétriques.
L'astronaute le lance en le faisant tournoyer sur lui-même, comme un jouet.
Mais dans l'espace puisqu'il n'y a pas d'air, ce satellite continuera de tourner sur lui-même indéfiniment.
Comment pourra-t'il prendre des photos en tournant ainsi ?
H.A.P.S. LES SATELLITES COMPLÉMENTAIRES :
A l’échelle française, les industriels Airbus Defense and Space et Thales Alenia Space ont développé des concepts différents : les drones solaires Zephyr pour le premier et les ballons Stratobus pour le second.
Les projets de H.A.P.S., régulièrement évoqués depuis 20 ans mais qui sont restés jusqu’alors à l’état de concept, pourraient ainsi bientôt déboucher sur des réalisations concrètes.
Le ballon Stratobus offre une très grande autonomie, environ 1 an, utilisant l’énergie solaire pour alimenter aussi bien la plateforme que la charge utile de communication.
Cet engin peut être utilisé indifféremment pour les communications civiles ou militaires, pour la sécurité ou encore pour des activités scientifiques telles que l’exploration de la terre ou la météorologie.
Les H.A.P.S. (High-Altitude Platform Stations) sont des stations situées sur une plateforme en haute altitude, évoluant autour d’une position fixe à une altitude comprise entre 20 km et 50 km.
En pratique, cette altitude se situe autour de 20 km et permet d’obtenir avec une seule station HAPS, reliée à une ou plusieurs stations au sol, une zone de couverture dont le rayon peut atteindre plusieurs centaines de kilomètres.
Les H.A.P.S. peuvent compléter les offres de connectivité existantes dans les zones à faible densité de population, permettant d’éviter les déploiements onéreux des réseaux terrestres grâce à leur très grande couverture, tout en s’affranchissant, du fait de leur proximité par rapport au sol, de la forte latence des satellites géostationnaires.
Les H.A.P.S. peuvent aussi conduire des missions d’observation en complément des satellites d’observation de la Terre.
Ils peuvent enfin être déployés rapidement pour des opérations de sécurité ou dans des situations d’urgence pour les services de secours et pour pallier d’éventuelles défaillances des communications terrestres.
LE TÉLÉPHONE PORTABLE EN AVION :
Tous les appareils électroniques doivent être éteints pendant les périodes de décollage et d’atterrissage.
Mais passer des appels en plein vol représente-t-il vraiment un risque ?
Jusqu’à présent, aucun crash d’avion causé par l’utilisation d’un appareil électronique n’a jamais été signalé.
Et naïfs seraient ceux qui pensent que si cela ne s’est jamais produit, c’est justement parce personne n’a jamais laissé son portable allumé en plein vol.
Selon Christophe Bongars, responsable du pôle Particuliers de l’Association Française des Utilisateurs de Télécommunications (AFUTT), si les compagnies aériennes sont autant à cheval sur cette règle, c’est surtout par principe de précaution.
Rien ne prouve qu’un appel passé en plein vol aurait une incidence quelconque sur l’équipement électronique de l’avion. En ce qui concerne le décollage et l’atterrissage, c’est un petit peu différent. Les pilotes craignent surtout les interférences que pourraient provoquer l’utilisation d’un téléphone portable pendant ces deux phases.
Cependant, l’équipement des avions est blindé et ce ne sont pas quelques SMS qui devraient menacer le système.
Pour mieux illustrer ce propos, comparons les avions aux hôpitaux :
On vous refusera sûrement d’utiliser un téléphone en salle d’opération, mais le portable est de plus en plus toléré dans les chambres d’hôpital.
C’est pareil à bord des avions. Nous ne sommes pas prêts à l’autoriser au décollage et à l’atterrissage, mais pendant un vol, cela se fait de plus en plus.
Pourquoi l'Union Européenne a donc donné son feu vert ?
Il y a des nouvelles générations d'avions chez Airbus ou les Boeing 777 qui fonctionnent un peu comme des ordinateurs.
Leurs câbles ont été adaptés. Ce sont des câbles gainés, protégés, armés et qui sont beaucoup plus résistants aux ondes électromagnétiques de l'extérieur.
Cela permet de garantir la fiabilité du message qui passe à l'intérieur.
Je pense qu'ils ont équipé les avons de câbles permettant de se connecter.
Et si les compagnies avaient tout simplement l'ordre de nous cacher la vérité au sujet de la non existence de satellites en orbite ?
Alors qu'on est capable de zoomer la lune et qu'il devrait prétendument y avoir des milliers de satellites dans l'espace, jamais le moindre satellite n'a été photographié depuis la Terre.
Par ailleurs, il n'existe aucune image satellite qui montre la rotation de la Terre pendant 24 h.
Enfin, alors que des milliers d'avions volent perpétuellement dans le ciel, aucun avion de ligne ne figure sur les soi-disant images satellites.