ILS ONT TUÉ LA PRINCESSE DIANA !
LES JOURS COMPTÉS DE LA PRINCESSE DIANA :
Divorcé du prince Charles depuis le mois d’août 1996, Diana Spencer avait déjà refait sa vie en toute discrétion avec le docteur Hasnat Khan jusqu’à leur séparation en juin 1997.
La princesse se laisse alors séduire par Dodi al-Fayed, riche héritier égyptien, avec qui elle prolonge ses vacances estivales jusqu’à Paris.
Le couple réside en toute discrétion à l’hôtel Ritz, place Vendôme, mais les paparazzis sont vite mis au courant de leur présence dans les murs du palace.
Le 31 août 1997, le couple sort aux alentours de minuit pour rejoindre le domicile parisien du milliardaire.
Lady Di et Dodi al-Fayed sont accompagnés de Trevor Rees-Jones, le garde du corps et ils prennent tous les trois places dans la Mercedes conduite par le chauffeur Henri Paul.
Suivie par des paparazzis à moto qui espèrent décrocher la photo d’un baiser entre les deux amoureux, la voiture accélère.
À l’arrivée des secours, le chauffeur et Dodi al-Fayed sont déjà morts.
Il faudra selon eux presque une heure pour désencastrer le corps de la princesse Diana, toujours vivante à ce moment.
Très grièvement blessée, elle est conduite d’urgence à l’hôpital de la Salpêtrière.
Malheureusement, après une thoracotomie et un massage cardiaque interne puis externe, les médecins la déclarent morte, à 36 ans, à 4 heures du matin le 31 août 1997.
Poursuivis pour homicide involontaire et non-assistance à personne en danger, ils ont finalement tous bénéficié d’un non-lieu à l’issu de leur procès en 1997.
10 jours après l’accident, l’enquête à conclut que l’état d’ivresse du chauffeur, Henri Paul et la vitesse du véhicule étaient responsables de l’accident.
Pourtant un photographe rappelle les 1,8 grammes retrouvés dans le sang du conducteur de la berline, Henri Paul, alors que ce dernier suivait un traitement médicamenteux ?
un ancien agent du Mossad adresse un témoignage capital à l’équipe de Wikistrike : "…J’ai été un de ses agents de renseignements, j’y ai perdu mon âme, et depuis pas mal d’années maintenant j’essaie de la regagner…
Un jour, je fus mêlé au destin tragique de Diana, la princesse de Galles, et de son amant, Dodi al-Fayed, playboy et fils du riche propriétaire du Ritz, Mohammed al-Fayed. Le Mossad, à l’époque, avait décidé de recruter des informateurs permanents au Ritz. C’était une équipe de professionnels dont je faisais partie. On saisissait au vol les propos de ses hôtes, on observait leurs attitudes, notant leurs allées et venues, relevant l’identité des personnes qu’ils fréquentaient. Souvent, les paparazzis agglutinés en permanence devant le Ritz pour mitrailler les prestigieux clients de l’établissement posaient problème. Une armée d’appareils photographiques est toujours un sérieux problème…
L’homme en question était fragile, on le harcelait, il noyait son angoisse dans l’alcool. On lui mettait la pression, il arriva un moment où il ne pouvait plus reculer, sinon on balançait à la direction de l’hôtel les informations confidentielles qu’il donnait aux paparazzis pour de belles petites rémunérations de fouine. On le tenait par les couilles, les dossiers qu’on avait sur sa vie étaient une chose qui suffisait à rappeler à cette merde, chef adjoint de la sécurité de l’hôtel, ce qu’on exigeait de lui.
Le dimanche 31 août 1997, à 1 heure du matin environ, un accident de voiture se produisit dans le tunnel de l’Alma : une Mercedes roulant à grande vitesse percuta un pilier de béton armé. Les morts, au nombre de trois, n’étaient autres que la princesse Diana, mère du futur roi d’Angleterre ; Dodi al-Fayed, fils de Mohammed al-Fayed, le propriétaire égyptien des magasins Harrod’s et du Ritz ; et le chauffeur de la Mercedes, notre informateur, Henri Paul. Quant au garde du corps, il était grièvement blessé.
Très peu de gens, hors des services secrets israéliens, ont une idée du rôle joué par le Mossad dans la fin tragique de la femme la plus célèbre du monde, ainsi que dans les agences de notation à travers le monde. La méthode est la même : vanité, arrogance, pouvoir, manipulations, secrets. Les humains sont si stupides, personne ne se pose jamais de questions, l’opinion publique a accepté la version officielle de l’accident sans relever les incohérences monstrueuses du dossier.
Seul un homme, Mohammed al-Fayed, père de la victime, a quant à lui échapper à cette règle ; cet homme tenace, dont le fils a été lâchement assassiné, possède un cerveau et posa à l’époque les bonnes questions qui bien sûr restèrent sans réponse" :
- Pourquoi a-t-il fallu 1 heure 40 pour conduire la princesse Diana à l’hôpital ?
- Pourquoi certains photographes n’ont-ils pas restitué les photos prises sur place ?
- Pourquoi y a-t-il eu un cambriolage cette nuit-là au domicile londonien d’un des paparazzi ?
- Pourquoi les caméras de télévision en circuit fermé de ce quartier de Paris n’ont-elles pas produit une seule image ?
- Pourquoi les caméras de contrôle de la circulation n’étaient-elles pas branchées ?
- Pourquoi le théâtre de l’accident, au lieu d’être isolé, a-t-il été rouvert à la circulation au bout de quelques heures ?
- Pourquoi, parmi les paparazzis massés à l’extérieur du Ritz, y en avait-il un dont l’équipement était celui d’un photographe d’actualités ?
- Et qui sont les deux hommes non identifiés qui, après s’être mêlés à la foule des badauds, se sont retrouvés plus tard au bar du Ritz ?
- Ils ont passé commande en anglais, sans cesser d’observer et d’écouter ce qui se passait, avec une attention soutenue.
"La vérité est que c’est moi qui ait pris le contrôle à distance du système électronique de la Mercedes. Ensuite, cela fut un véritable jeu d’enfants, comme diriger une voiture téléguidée, de faire en sorte que…d’un seul coup…"
L’assassinat de Lady Diana a été commandité par la Couronne d’Angleterre, et plus particulièrement par le prince Philip, duc d’Edimbourg, et le contrat a été donné au MI6, service de renseignement extérieur du Royaume-Uni et au Mossad.
Tout cela a été confirmé par Thomas Gordon, journaliste d’investigation gallois, spécialiste des services secrets du monde entier, il a publié une quarantaine de livres dans ce domaine, ainsi que par beaucoup d’autres journalistes spécialisés, et aussi par un membre de la gendarmerie nationale travaillant pour le Mossad.
Diana n'aurait jamais dû se trouver au Ritz ce soir-là. Le programme initial prévoyait d'ailleurs qu'ils aillent dîner chez Benoit (un restaurant dans le Marais).
Mais Dodi a changé d'avis. Diana n'aurait jamais dû se trouver dans cette voiture. C'est encore Dodi qui choisit, une demi-heure avant le départ, de changer de voiture.
Véhicule choisi alors complètement par hasard.
Enfin, Diana n'aurait jamais dû être conduite par ce chauffeur (Henri Paul, le chef de la sécurité adjoint du Ritz).
Dodi appelle M. Paul alors qu'il est en congés ce jour-là, et qu'il arrive dans un état d'exaltation assez prononcé (les analyses révèleront le taux de 1,74 g d'alcool éthylique dans son sang, ainsi que plusieurs substances médicamenteuses).
On sait qu'un complot se prépare en amont, un complot se structure.
Mohamed Al-Fayed est le propriétaire du Ritz. Certes, c'est un homme responsable et intelligent, connu pour être un obsédé de la sécurité.
Le 30 août 1997, veille de l'accident, le cortège de Diana et Dodi depuis le Bourget jusqu'à Paris avait d'ailleurs été parfaitement organisé par ses soins.
C'est Dodi, en changeant tous les plans de son père à la dernière minute, le lieu du dîner, la voiture, le chauffeur, qui a enrayé la machine.
Les auteurs de l’enquête, l’agence Tony Comiti et les journalistes de Paris Match auteurs du livre Qui a tué Lady Di ?, ne se sont pas contentés de retracer la nuit tragique et les pistes suivies à l’époque à grand renfort de témoignages. Outre les reconstitutions grandeur nature, leurs recherches se sont focalisées sur un élément jusqu’alors négligé : l’état de la Mercedes dans laquelle roulait Diana lors de son accident. Les journalistes ont découvert qu’elle avait été plusieurs fois volée et accidentée.
"On considérait que c’était une voiture dangereuse. Elle était foutue..." : avance Eric Bousquet, le premier propriétaire à qui le véhicule avait été dérobé avant que son voleur ne fasse des tonneaux sur une route de campagne en 1994.
L’épave avait pourtant été réparée et revendue au patron d’une agence de location.
La voiture a été contrôlée à distance, téléguidée, mais avant, il fallait que le chauffeur du Ritz boive pour ne pas éveiller les soupçons.
Ce que nous découvrons aujourd’hui va dans ce sens :
- La voiture a été déviée volontairement par un agent du Mossad
- Un agent des service secret est parti vérifier l'état de santé de Diana pour terminer le travail.
Sa mort serait donc le résultat d'une entente israélo-anglaise dont le seul but était d'empêcher le mariage de Diana avec Dodi Al-Fayed.
L'ex-épouse d'un sniper du Special Air Service (S.A.S.), une unité militaire d'élite en Grande-Bretagne, vient de faire des déclarations pour le moins sensationnelles au journal The Daily Mail.
La femme assure avoir reçu une enveloppe de la part d'un officier du S.A.S. en échange de son silence sur l'affaire Diana.
Elle a révélé que des détectives de Scotland Yard ayant participé au complot feraient l'objet d'une investigation de la part de l'Unité de mauvaise conduite sévère de la police métropolitaine (Serious Misconduct Investigation Unit).
Ils seraient notamment accusés d'avoir intercepté un mail dénonçant le meurtre de Diana.
Au drenier jours de sa vie, l'ancien agent du MI5 John Hopkins qui a passé 38 ans sur ce service, affirme avoir assassiné entre juin 1973 et décembre 1999, en tout 23 personnes, dont la princesse Diana.
C'était une femme magnifique avec un bon cœur qui ne méritait certainement pas qu'on lui inflige une telle fin de vie.
Mais à côté de ça, elle présentait un risque réel pour la Couronne.
"La famille royale savait que Diana voulait divorcer du Prince Charles.
Diana connaissait TROP DE SECRETS (scandale, orgie satanique et pédophilie) SUR LA FAMILLE ROYALE.
Elle avait beaucoup de rancune et exposait sur la place publique toutes sortes de revendications sauvages.
Ma hiérarchie m'avait dit qu'il fallait s'en débarrasser.
Elle avait reçu cet ordre directement du Prince Philip (époux de la reine Elizabeth II). Nous devions simuler un accident..."
Mohamed Al-Fayed nous révèle que son fils et sa compagne étaient placés sur écoute par le MI6 et que la couronne était informée de leurs moindres faits et gestes.
La famille royale "ne pouvait accepter qu'un musulman égyptien devienne le beau-père du futur roi d'Angleterre" : dévoile l'homme d'affaires, cité par Le Figaro.
Diana était enceinte de Dodi et ce dernier venait d'acheter une bague de fiançailles chez un joaillier parisien.
Les deux tourtereaux comptaient officialiser leur union le 1er septembre : assure-t-il, mais sont morts juste avant.
Le photo du journaliste français, James Jean-Paul Andanson, qui serait en fait un membre des services secrets britanniques.
En 2000, Andanson est retrouvé mort dans une BMW incendiée à Nant, dans l'Aveyron. Les enquêteurs concluent à un suicide.
Mais pour Al-Fayed, Andanson était un témoin trop gênant qui a été exécuté...