LA NANOTECHNOLOGIE DE D.A.R.P.A. :
LA RÉALITÉ SUR LA TECHNOLOGIE ET LA NANOTECHNOLOGIE D.A.R.P.A. :
Le Dr. Bill Weld a publié des documents classifiés prouvant l'existence du projet de la D.A.R.P.A. (Defense Advanced Research Projects Agency, l’agence de développement hightech du Pentagone) Nano Domestic Quell lequel a démarré en 1995 et consiste un mettre dans le corps des gens des nano robots qui une fois activés, tue ces gens en 10 jours.
Ce document prouve que nous en sommes à la phase IV du projet et que la phase V était prévue en janvier 2014.
Actuellement 87% de la population américaine est déjà infectée, pas d'autres infos sur les autres pays mais il doit déjà y avoir beaucoup de contaminés en Europe et ailleurs puisque les nano-robots ont été diffusé dans l'eau, y compris l'eau en bouteille des firmes sous contrôle illuminati (Danone, Nestlé, Coca-Cola, Pepsi...) ainsi que dans les chemtrails !
Un drone pourra ainsi cible une personne unique, un quartier, une ville, un pays... selon la commande qui lui sera envoyée.
Cela explique aussi l'importance des drones pour le Nouvel Ordre Mondial car ces nano-robots tueurs sont prévus pour être activés par signal radio.
Un drone pourra ainsi cible une personne unique, un quartier, une ville, un pays... selon la commande qui lui sera envoyée.
Les symptômes de l'activation des nano-robots ressembleraient à une grippe. Une fois activé vous êtes mort en 10 jours.
Une grippe, cela ne vous rappelle rien ?
Leur plan serait : de tuer un maximum de personnes et laisser des survivants mais tout en les forçant à s'injecter leur fameuse micro puce électronique pour des raisons de contrôle sanitaire...
Une fois micro implanté les illuminati auraient eu le pouvoir de vie et de mort sur les survivants.
Avant internet, il y eu 'Arpanet', un réseau décentralisé dévoilé par la DARPA en 1969.
Le but originel du projet, rappelle le New Scientist, était de mettre en place un système de communication résistant pour l'armée américaine.
Un réseau qui pouvait continuer de fonctionner même si une partie de celui-ci était hors service.
L'une des applications les plus utilisées fonctionnant avec un GPS (géolocalisation par triangulation), c'est certainement Google Maps.
Justement, les vues aériennes et la capacité de voir le jardin de votre voisin, c'est aussi la Darpa qui l'utilisa parmi les premiers, afin d'espionner l'U.R.S.S., en 1960.
Toujours dans la géolocalisation, même le célèbre Google Street Map, qui permet de passer d'une vue aérienne à une vue réelle, prise en photo par des voitures Google et ballon sonde, a été inventé par la DARPA.
Plus exactement par des chercheurs du M.I.T. financés par l'agence américaine, en 1979.
Activist Post a été récemment contacté par un dénonciateur anonyme qui a travaillé sur un projet de contrôle mental continue secret mené par la DARPA.
L'objectif du programme est de perturber à distance la dissidence politique et l'extrémisme en employant la 'Stimulation Magnétique Transcrânienne" (T.M.S.) en tandem avec la propagande sophistiquée basée sur cette technologie.
T.M.S. stimule le lobe temporal du cerveau à des champs électromagnétiques.
Le programme, réalisé par le Centre pour la communication stratégique, est basé à l'Arizona State University.
Le chef du projet, Steve Corman, a beaucoup travaillé dans le domaine de la communication stratégique, tel qu'il s'applique au terrorisme et à l'extrémisme.
Le dernier projet de Corman, raconter la sortie de l'Afghanistan et ses nombreuses présentations, rendent tout à fait évident que la mission consiste à façonner le récit, l'esprit et littéralement changer l'esprit des gens.
Et croire qu'il sera contenue aux extrémistes d'outre-mer, nous devons garder à l'esprit que le mot extrémiste est de plus en plus utilisé.
Les dissidents d'hier pourraient facilement devenir les sympathisants et partisans de la violence politique de demain.
Cette recherche menée par la DARPA entraîne de nombreuses questions et dilemmes éthiques.
Principalement, cette recherche vise à induire ou perturber littéralement le fonctionnement des récits dans le cerveau.
En d'autres termes, cette recherche vise à empêcher les individus de penser à certaines pensées et faire croire aux autres des choses qu'ils ne croiraient pas normalement.
Cette recherche a des possibilités d'interrogation énorme et pourrait être utilisé pour diffuser la propagande avec plus de succès ou d'arrêter bouleversement politique sur un public non averti.
En 2002, The Economist a noté que les neurosciences seraient l'avenir du contrôle de l'esprit.
Ce domaine d'étude (Human Brain Project) a reçu 100 millions de dollars en financement par le biais d'Obama ainsi qu'un engagement de 1,3 milliard de dollars de l'europe.
Le cerveau humain est considéré comme la dernière frontière, et est explorée sous tous les angles possibles et imaginables.
PUCE DARPA IMPLANTÉE AU CERVEAU :
L'agence pour les projets de recherche avancées (DARPA) développe des puces cérébrales qui ajoutent ou suppriment de la mémoire spécifique d'un sujet.
Les neuroscientifiques prévoient un nouveau monde où les esprits pourront être programmés à l'aide de lasers, de médicaments et de micropuces afin de créer de faux souvenirs. Cette technologie a déjà été utilisée sur des souris. DARPA semble aller à toute vitesse sur ce type de technologie.
Il marche à 8 km/h sur surface plate, court à 11 km/h, et peut transporter jusqu'à 180 kilos de matériel.
Alpha Dog (ou LS3, pour legged squad support systems) a séduit l'armée américaine, aux côtés de qui il a été testé sur le terrain pendant deux ans.
Ce robot successeur de Big Dog, capable de parcourir 32 km et de patienter 24h avant de nécessiter une recharge, a de fait spécialement été conçu pour remplir des missions militaires, notamment en portant les équipements des hommes sur le terrain.
L’ancienne directrice du DARPA et maintenant directrice exécutif Regina Dugan pousse pour une micro-puce d’identification ingérable ainsi qu’un tatouage électronique qui permettrait de lire votre pensée.
Dugan, qui est la patronne d’Advanced Technology à Motorola (propriété de Google), a dit devant une audience de la conférence All Things D11 que l’entreprise travaillait sur une micro-puce qui serait intégrée dans une pilule que les utilisateurs pourraient avaler quotidiennement afin de pouvoir obtenir le super-pouvoir d’avoir leur corps entier agissant comme un système d’authentification biologique pur leurs téléphones cellulaires, leurs voitures, leurs portes de maison et autres ustensiles.
"Cette pilule a une toute petite puce intégrée avec un interrupteur" : a dit Dugan. "Elle contient aussi ce qui s’apparente à une pile pomme-de-terre retournée.
Lorsque vous l’avalez, l’acide de votre estomac sert d’électrolyte et cela l’allume et l’interrupteur s’allume et s’éteint pour créer un signal ECG de 18 bit dans votre corps, ainsi votre corps entier devient en fait un faisceau d’identification."
Regina Dugan a ajouté que la puce a déjà été approuvée par la F.D.A. (Food and Drugs Administration) et peut-être prise environ 30 fois par jour durant la vie de quelqu’un sans affecter la santé de la personne, ce qui paraît franchement douteux.
Les avocats de la vie privée bondiront à l’idée, spécifiquement considérant le rôle de Dugan au DARPA, cette agence du pentagone que beaucoup voient comme le sommet de la pyramide lorsqu’il s’agit de la pyramide du Grand-Frère technocrate.
En fait, lorsque l’hôte de la conférence Walt Mossberg a demandé à Dugan : "Est-ce que Google sait maintenant tout de ce que je fais et où je vais parce qu’il faut bien le dire… Vous êtes de Google." Elle répondit en riant et en disant que Mossberg devrait juste avaler la pilule.
En plus de cette micro-puce mangeable, Motorola travaille aussi sur un tatouage électronique ou E-tattoo qui pourrait lire la pensée de l’utilisateur en détectant les mots non vocalisés dans leur gorge.
"Il est connu depuis des décennies que lorsque vous vous parlez à vous-même avec votre voix intérieure, votre cerveau envoie des impulsions nerveuses à votre appareil vocal, de la même manière que lorsque vous parlez à haute voix." : explique John Hewitt d’Extreme Tech, notant que l’appareil pourrait permettre une activation de la voix et tout aussi bien être utilisé pour détecter le stress et l’émotion.
Pendant la conférence D11, Dugan a prédit que si le E-tattoo était fait de manière artistique pour être facilement porté, les jeunes voudraient sûrement l’avoir fusionné dans leur peau, peut-être même pour emmerder leurs parents.
La DARPA réfléchit très sérieusement à hacker le cerveau de ses soldats depuis plusieurs années, comme l’explique longuement le site The Atlantic.
Officiellement, les recherches en neurotechnologie de cette agence du département de la Défense se concentrent sur le maintien et la restauration physique des soldats.
Mais elle poursuit aussi une mission beaucoup plus vaste et de longue haleine : libérer notre cerveau des limitations de notre corps en fusionnant l’homme et la machine.
Mais certains chercheurs vont encore plus loin, en toute discrétion.
Le bureau des technologies biologiques, créé en 2014, a lancé le programme Restoring Active Memory qui vise à développer des neuroprothèses, de minuscules composants électroniques que l’on implanterait dans le cerveau pour lutter contre les lésions cérébrales.
Le programme finance les expérimentations des Universités de Wake Forest, de Californie du Sud et de Pennsylvanie. Une première étude a été conduite sur des animaux.
La mémoire d'un groupe de rats entraîné à rechercher des gouttes d'eau avait pu être en quelque sorte transférée, en reproduisant des signaux électriques, dans le cerveau d’un autre groupe de rats novices.
Avec succès puisque cela avait réduit leur période d'apprentissage.
Les cinq scientifiques spécifient que des simplifications faciles suffiraient pour générer une nouvelle classe d’armes biologiques, armes qui seraient extrêmement transmissibles à des espèces agricoles sensibles, en répandant des insectes comme moyens de transport.
Le scénario d’une attaque des cultures alimentaires en Russie, Chine et autres pays, conduite par le Pentagone avec des essaims d’insectes qui transportent les virus infectieux génétiquement modifiés, n’appartient pas à la science-fiction.
Le programme de la DARPA n’est pas le seul à utiliser des insectes dans un but guerrier.
Le Laboratoire de recherche de l’U.S. Navy a commandité à la Washington University de St Louis une recherche pour transformer les sauterelles en drones biologiques.
À travers une électrode implantée dans le cerveau et un minuscule transmetteur sur le dos de l’insecte, l’opérateur à terre peut comprendre ce que les antennes de la sauterelle sont en train de capter.
Ces insectes ont une capacité olfactive capable de percevoir instantanément divers types de substances chimiques dans l’air : ce qui permet d’identifier les dépôts d’explosifs et autres sites à frapper par une attaque aérienne ou de missiles.
Des scénarios plus inquiétants encore émergent de l’éditorial des cinq scientifiques sur Science.
Le programme de la Darpa, soulignent-ils, est le premier programme sur le développement de virus génétiquement modifiés pour être diffusés dans l’environnement, lesquels pourraient infecter d’autres organismes pas seulement dans l’agriculture.
En d’autres termes, parmi les organismes cible des virus infectieux transportés par des insectes il pourrait aussi y avoir celui de l’homme.