LA CRÉATION DES ABEILLES :
LA DIVISION DU TRAVAIL ET L’ORDRE DANS LA RUCHE :
Certains considèrent que le fait de suivre le cours de leurs vies quotidiennes soit suffisant, sans jamais dédier une pensée aux questions vitales comme celle de la raison derrière leur présence dans ce monde.
Ils n’examinent jamais les caractéristiques des êtres vivants qui les entourent et ne se demandent pas comment il se fait qu’ils aient été créés si parfaits et dans une si grande variété.
Ils ne sont donc pas conscients que tous ces êtres, leurs propres corps, l’équilibre dans le ciel, sont créés par Dieu.
Ils ne deviennent jamais conscients de la raison de leur propre création et le fait qu’ils ont des obligations envers Dieu.
Le fait est que, cependant, beaucoup de versets insistent sur l’importance de penser et sur le fait que seules les personnes réfléchies tiendront compte du conseil.
Dieu met en évidence les abeilles faisant leurs propres maisons, se nourrissant de toute sorte de fleurs et produisant du miel.
Comme vous le verrez dans les chapitres suivants, toutes ces activités de la ruche sont exécutées par les ouvrières.
Une ruche est composée des abeilles ouvrières, d’une abeille reine et des abeilles mâles (ou faux-bourdons).
Les ouvrières exécutent presque toutes les tâches dans la ruche. De plus, la reine a la fonction extrêmement importante d’assurer la continuité de la ruche.
La seule fonction des mâles de la ruche est de féconder leur reine. Ils remplissent cette fonction pendant la courte durée de leurs vies, puis ils meurent.
- - Nettoyer la ruche
- - S’occuper des larves et des jeunes
- - Nourrir la reine et les faux-bourdons
- - Faire le miel
- - Construire et entretenir les rayons
- - Ventiler la ruche
- - Assurer la sécurité de la ruche
- - Récolter et emmagasiner des substances comme le nectar, le pollen, l’eau et la résine.
En plus d’examiner les caractéristiques des abeilles, plusieurs autres questions, à savoir comment des dizaines de milliers d’abeilles sont capables de vivre ensemble dans la ruche sans difficulté, comment elles suivent les instructions et comment elles produisent le miel.
Nous verrons encore une fois qu’il n’existe pas de 'lutte pour la survie' arbitraire et aléatoire, ni dans la nature, ni dans la vie des abeilles, au contraire de ce que la théorie de l’évolution voudrait nous faire croire.
Bien que chaque abeille ait ses responsabilités spécifiques, en cas d’urgence, les abeilles peuvent aussi modifier leurs fonctions instantanément.
Cela est un énorme avantage dans une société aussi peuplée que la ruche.
Si la distribution du travail entre les abeilles était contrainte par des règles fixes alors, dans le cas d’un événement imprévu, la colonie pourrait faire face à de graves difficultés.
Par exemple, dans le cas d’une attaque d’une importance majeure, si seules les abeilles sentinelles participaient au combat et que les autres continuaient à exécuter leurs propres tâches, cela représenterait un sérieux danger pour la ruche.
Cependant, ce qui se produit en réalité est qu’une grande partie de la colonie prend part à la défense et la sécurité devient une priorité immédiate.
Il est stupéfiant que la température dans les ruches des abeilles demeurent constantes à 35° Celsius.
Bien que les abeilles soient incapables de régulariser la température dans la ruche par leur propre chaleur corporelle interne, elles règlent la température dans la ruche avec la chaleur créée par leur propre mouvement.
Une des responsabilités les plus importantes des abeilles ouvrières est la stabilisation de la température de la ruche.
Peu importe la température de l’environnement (tronc d’arbre, espace rocheux...), les abeilles conservent toujours sous strict contrôle la température dans la ruche.
A partir de la fin du printemps jusqu’à l’automne, elles maintiennent une température constante de 34,5° C à 35,5° C.
Les abeilles sont fortement affectées par les changements de température. Les procédés comme la production de la cire et du miel ont lieu à une température spécifique.
Ce que ton Seigneur révéla aux abeilles :
Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres, et les treillages que (les hommes) font.
Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous.
De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens.
Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent.
Coran sourate 16 verset 68 - 69
Les abeilles constituent un certain nombre de familles, avec quelques 20 000 espèces.
Elles possèdent la plus étonnante connaissance d’ingénierie et d’architecture du règne animal, elles se distinguent de plusieurs autres créatures sur le plan de leur vie sociale et stupéfient les scientifiques qui étudient leurs moyens de communication.
Les abeilles possèdent des propriétés assez différentes de celles des autres espèces d’insectes.
Elles vivent en colonies, en construisant leurs nids dans des troncs d’arbre ou d’autres espaces clos similaires.
Une colonie d’abeilles est composée d’une reine, de quelques centaines de mâles et de 10 000 à 80 000 ouvrières.
De ces trois genres d’abeilles à l’aspect très différent, deux sont des femelles, à savoir la reine et les ouvrières.
Il y a une reine pour chaque colonie et sa taille est beaucoup plus grande que celle des autres abeilles.
Sa principale tâche est de pondre des œufs. La reproduction peut avoir lieu seulement à travers la reine et aucune autre femelle n’est capable de s’accoupler avec les faux-bourdons.
En plus de pondre des œufs, la reine sécrète aussi des substances communicatives importantes qui maintiennent l’unité de la colonie et le bon fonctionnement de différents systèmes à l’intérieur de celle-ci.
Les faux-bourdons sont plus gros que les femelles ouvrières, mais ils n’ont pas d’aiguillon et d’organes nécessaires à récolter leur propre nourriture.
Leur unique fonction est de féconder la reine. Les abeilles ouvrières exécutent toutes les autres tâches que vous pouvez imaginer, y compris faire les rayons de cire de la ruche, récolter la nourriture, produire la gelée royale, régulariser la température dans la ruche, la nettoyer des débris et la défendre.
Il y a un ordre pour chaque phase de la vie de la ruche.
Chaque tâche, du soin des larves jusqu’à la satisfaction des besoins généraux du nid, est parfaitement exécutée.
Cela pourra être plus clairement compris lorsque nous détaillerons les soins et le comportement altruiste dont font preuve les autres abeilles face à leurs petits.
Les petits de certaines créatures exigent plus de soins que ceux des autres.
En particulier, les créatures qui atteignent l’âge adulte à travers différents stades tels l’œuf, la larve et la pupe d’une mite ou d’un papillon, exigent une différente forme de soins à chaque phase.
Les abeilles passent elles aussi à travers plusieurs stades de croissance.
Les jeunes abeilles atteignent l’âge adulte en complétant leurs stades larvaires et nymphaux.
Durant toute cette période, qui commence avec la ponte des œufs par la reine, les abeilles prennent grand soin de leurs petits en voie de développement.
Dans la ruche, toute la responsabilité de s’occuper des larves retombe sur les abeilles ouvrières, lesquelles préparent des cellules d’incubation dans une zone spécialement réservée dans les rayons où la reine peut pondre ses œufs.
La reine s’y rend et, après avoir contrôlé la propreté et la convenance de chaque cellule, y dépose un œuf et passe d’une cellule à une autre.
Une fois que les conditions essentielles au développement des œufs ont été remplies, beaucoup d'autres facteurs doivent être organisés, y compris satisfaire les besoins de nourriture des larves qui y écloront, stabiliser la température de la cellule et effectuer des inspections périodiques des cellules.
Les abeilles ouvrières prennent grand soin de la larve et emploient des méthodes complexes pour le faire.
Parmi Ses preuves est la création des cieux et de la Terre et des êtres vivants qu’Il y a disséminés.
Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il voudra.
Coran sourate 42 verset 29
Après une période d’environ trois jours, les œufs que la reine a placés dans les cellules avec une très grande sensitivité éclosent et des larves blanches, semblables à des asticots, émergent.
Ces larves n’ont pas des yeux, d’ailes ou de jambes. Elles ne ressemblent aucunement aux abeilles.
Les abeilles ouvrières nourrissent les larves nouvellement écloses avec grand soin et altruisme.
En fait, il a été établi que les abeilles ouvrières visiteront chacune des larves environ 10 000 fois durant la période de leur croissance.
Pendant les premiers trois jours après leur éclosion, les larves sont nourries avec de la gelée royale.
Durant cette phase larvaire, les jeunes abeilles sont constamment nourries et subissent le développement corporel plus important.
Suite à leur alimentation régulière pendant cette phase, le poids des larves augmente à peu près de 1 500 fois en seulement six jours.
Dans la ruche, il y a des milliers de larves, et autant d’abeilles ouvrières qui veillent sur elles.
Ces abeilles nourricières sont constamment en mouvement et surveillent aisément les œufs et les larves.
Bien que les besoins de nourriture de ces milliers de larves changent de jour en jour, il n’y a jamais de confusion.
Les abeilles ouvrières ne sont jamais désorientées à propos de détails comme l’âge des larves ou les besoins nutritionnels de chacune.
Cela est stupéfiant parce que dans la ruche, il y a un très grand nombre de larves de différentes tailles et des œufs pondus par la reine à différents moments.
Les ouvrières adoptent un programme de nutrition pour les jeunes abeilles durant la phase larvaire qui se base sur le nombre de jours dont elles disposent.
Néanmoins, les abeilles nourricières n’éprouvent aucun problème à alimenter les larves.
Les larves à l’intérieur de la ruche continuent de croître dans des rayons spécialement préparés et, le septième jour, un phénomène surprenant se produit.
Chaque larve cesse de manger et les abeilles ouvrières bouchent l’entrée de sa cellule avec un opercule légèrement bombé.
Les larves d’abeille passent ainsi à leur stade nymphal.
Avant d’examiner davantage les détails, un point particulier, à savoir la nature de la substance avec laquelle elles tissent leur cocon, produite par deux glandes séricigènes situées sur la tête des larves, demande une attention spéciale.
Celui à qui appartient la royauté des cieux et de la Terre,
qui ne S’est point attribué d’enfant, qui n’a point d’associé en Sa royauté
et qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions.
Coran sourate 25 verset 2
Une des caractéristiques de cette substance est, qu’après être entrée en contact avec l’air, elle durcit très rapidement.
La protéine qu’elle contient, connue sous le nom de fibroïne, est un puissant bactéricide et prévient l’infection.
Les scientifiques qui étudient les abeilles estiment que les cocons qu’elles tissent protègent les nymphes contre les germes.
Le matériau utilisé pour le tissage du cocon consiste en une combinaison de différentes substances chimiques, dans des proportions spécifiques :
- La protéine élastique, fibroïne, qui constitue 53,67%, est un composé de glycol (66,5%), d’alanine (21%), de leucine (1,5%), d’arginine (1%) et de tyrosine (10%).
- La séricine, une protéine ressemblant à la gélatine, est composée de 29% de sérine, 46% d’alanine et 25% de leucine, et constitue 20,36%.
- D’autres protéines constituent un autre 24,43%.
- 1,39% est de la cire.
- Le gras et la résine constituent 0,10%.
- Un matériau colorant ajoute un élément trace, à 0,05%.
La formule pour ce fil avec lequel les larves filent leurs cocons est produite exactement de la même façon par chaque abeille.
Pendant des milliers d’années, les larves d’abeilles ont tissé leurs cocons en utilisant un fil ayant cette formule précise.
De plus, les larves d’abeilles produisent cette complexe substance seulement lorsqu’elles en ont besoin, juste avant leur stade nymphal.
En tenant compte de ces faits, un certain nombre de questions se présentent.
Par exemple, comment cette substance est-elle soudainement produite dans le corps de la larve ?
Une larve peut-elle, sans yeux, ailes ou pattes, sans n’avoir jamais vu le monde et sans connaissance du genre de vie qu’elle mènera, décider de façon autonome de produire une telle substance ?
La larve a-t-elle trouvé la formule de la substance chimique protective d’elle-même ?
A-t-elle réussi à la produire d’elle-même ?
Qui a placé des agents chimiques nécessaires dans le corps de la larve ?
Il est évidemment impossible pour la larve, qui est même incapable de remuer de façon autonome, dont les soins sont prodigués par d’autres adultes, qui est incapable de voir ou d’entendre et qui possède seulement les fonctions de base les plus vitales, de former d’elle-même le fil utilisé dans le cocon.
Même affirmer qu’une telle aptitude est possible voudrait dire s’éloigner de la science et de la raison, parce qu’une telle affirmation équivaudrait à accepter qu’une larve d’abeille posséderait l’information dont elle aurait besoin pour fabriquer la formule chimique et qu’elle serait capable de faire des calculs mathématiques.
Cela serait une fantaisie très peu scientifique.
Cependant, il faut souligner ici un point important.
Même si la créature en question possédait vraiment ce savoir conscient, cela ne changerait rien, parce qu’il est hors de question qu’un être vivant développe, de manière autonome, un système qui n’existe pas déjà dans son corps.
Les êtres humains, par exemple, sont les seuls êtres vivants dans la nature qui possèdent logique et raison.
Toutefois, malgré cela, il est impossible pour les humains de développer des systèmes à l’intérieur de leurs propres corps pour permettre la production ne serait-ce que d’une formule chimique très simple.
Cela étant, il serait illogique et irrationnel de soutenir qu’un insecte pourrait faire quelque chose que les êtres humains, avec leur raison et conscience, ne pourraient pas faire.
Comment le fil utilisé par la larve pour le filage du cocon est-il produit ?
Pour répondre à cette question, énumérons premièrement les substances qui le composent.
Une de celles-ci, la fibroïne, est une combinaison de glycol, d’alanine, de leucine, d’arginine et de tyrosine, dans des proportions spécifiques.
Un autre de ses composants, la séricine, est un composé de proportions très exactes de sérine, d’alanine et de leucine.
Le fil utilisé par les larves dans le filage de leurs cocons contient également des substances telles la cire, le gras et la résine.
Un grand nombre de substances chimiques doivent être mis ensemble, dans des proportions très exactes, pour former le fil.
Supposons que nous conduisions maintenant une expérience et attendions que la plus simple substance parmi ces dernières apparaisse d’elle-même.
Peu importe combien de temps nous attendrions, peu importe le procédé que nous effectuerons, le résultat sera toujours le même.
Que nous attendions des jours, des mois, voire des milliers d’années, pas un des atomes qui composent ces substances, sans parler de ces substances elles-mêmes, ne pourrons jamais naître par hasard.
Cela étant, il est complètement illogique et irrationnel de prétendre que chaque substance dans le fil que les larves utilisent pour filer leurs cocons apparaît par hasard, et que plus tard, encore par hasard, ils s’unissent pour former la substance elle-même.
La formation de ce fil n’est qu’un de plusieurs procédés nécessaires pour qu’une abeille éclose de sa chambre et devienne capable de voler.
Tous ces mécanismes doivent être présents pour que, exactement au même moment, la larve se développe en une abeille adulte.
La plus minime défectuosité, et la larve abeille fera défaut de se développer, ce qui mènera à sa mort.
Cela, à son tour, mènera à l’extinction graduelle de l’espèce.
Contrairement à ce que les évolutionnistes voudraient nous faire croire, les abeilles ne sont pas apparues de leur propre chef avec le passage du temps, mais furent créées dans un seul instant, avec tous leurs systèmes en état de fonctionnement.
Ceci démontre que les abeilles sont l’œuvre d’un Créateur. Ce Créateur est Dieu, qui règne sur la Terre et qui possède une Sagesse supérieure.
C’est Dieu qui établit la sorte de caractéristiques que les abeilles devraient posséder, qui crée toutes ces dernières dans une forme parfaite, qui inspire la larve à filer son cocon et qui, en bref, dirige chacune des actions que font les abeilles.
Et les bestiaux, Il les a créés pour vous ;
vous en retirez des (vêtements) chauds ainsi que d’autres profits. Et vous en mangez aussi.
Coran sourate 16 verset 5
Après que les abeilles ouvrières ont obturé la cellule de la larve, celle-ci entre dans le stade nymphal et demeure dans sa cellule pendant 12 jours.
Durant ce temps, aucun échange avec l’extérieur ne peut être observé dans la cellule.
Cependant, à l’intérieur, la pupe (état intermédiaire) se développe constamment. Trois semaines après que la reine a pondu l’œuf dans l’alvéole, l’opercule de cire est déchirée et une abeille en sort, prête à voler.
L’enveloppe extérieure de la pupe reste dans la cellule comme une coquille morte dont on se défait.
L'abeille qui éclot de l’alvéole commence sa vie d’une durée d’environ six semaines, suite aux étapes de développement qu’elle a subis.
L’abeille qui sort de sa cellule est une créature totalement nouvelle, qui ne ressemble ni à une larve, ni à une pupe.
Avec l’achèvement de sa phase final de développement, l’abeille éclot de la pupe avec tous les systèmes parfaits dont elle aura besoin pour survivre, un phénomène qui mérite d’être pris en considération.
Toute structure et attribut que l’abeille possède ont été formés à l'intérieur d'une petite zone complètement close.
Ses ailes, spécialement structurées, qu’elle utilisera pour parcourir de grandes distances, ses yeux composés créés pour toutes les fonctions qu’elle remplira, son aiguillon qu’elle utilisera contre ses ennemis, ses glandes, le système qui permet la production de la cire, son système reproducteur, ses poils des pattes qui permettent de récolter le pollen, en d’autres mots, tous les systèmes physiques se sont développés durant le stade nymphal.
Comment la pupe est-elle devenue une abeille ?
Comment les stades de croissance de l’abeille sont-ils premièrement apparus ?
Qui ou quoi a défini ce processus ?
Est-ce que c’était l’abeille elle-même, ou par hasard, comme les évolutionnistes voudraient nous le faire croire, ou une plus grande force encore que ces deux dernières ?
Il est absurde de prétendre que l’insecte à l’intérieur du cocon effectuerait tous les changements nécessaires à l’intérieur de lui-même, en pleine connaissance de ce dont il aura besoin dans le monde extérieur.
Il est totalement hors de question que l’œil ou le système digestif, ou les substances telles que les enzymes et les hormones, se forment à l’intérieur d’une pupe qui se développe comme résultat de changements fortuits en elle.
Durant le stade nymphal, ni la chance, ni non plus l'abeille elle-même, ne permettent le parfait achèvement de chacun des organes de l’abeille avec toutes les fonctions dont elle aura besoin.
Un si parfait développement ne peut qu’être fait par un Créateur tout-puissant, supérieur et qui est aussi sans égal dans sa création.
L’ordre à l’intérieur de la ruche est particulièrement stupéfiant.
Pour cette raison, les scientifiques ont effectué des études très détaillées des abeilles, en commençant par la façon dont l’ordre est établi à l’intérieur de la ruche, les critères en vertu desquels les tâches sont divisées et comment de si énormes communautés sont capables de coopérer si confortablement.
Les résultats qu’ils ont obtenus ont donné beaucoup à réfléchir aux chercheurs eux-mêmes.
En particulier, les évolutionnistes, qui maintiennent que les êtres vivants sont apparus par hasard, ont été forcés d’examiner ces contradictions auxquelles ils faisaient maintenant face.
Le concept de la lutte pour la survie, un des principes fondamentaux de la théorie de l’évolution, est seulement une des inconsistances en question maintenant.
Selon eux, chaque être vivant dans la nature combat pour protéger ses propres intérêts.
De plus, selon cette fausse perception, la raison pour laquelle un être vivant prend soin de ses petits n’est autre que le désir de la survie de ses propres gènes, en d’autres mots, rien de plus qu'un instinct.
L’instinct est, dans tous les cas, l’explication que les évolutionnistes offrent pour justifier tout comportement qu’ils ne peuvent pas expliquer autrement.
Jusqu’à présent, ils sont incapables de donner une explication logique sur la façon dont ces instincts seraient, en premier lieu, apparus.
... Et le bonheur d'Israël durerait toujours ; Je le nourrirais du meilleur froment,
Et je le rassasierais du miel du rocher.
Bible Psaumes 81 verset 16 - 17
Les évolutionnistes maintiennent que l’instinct est une caractéristique acquise à travers un mécanisme de sélection naturelle.
La sélection naturelle comporte que toutes les formes de changement bénéfique à un être vivant devraient être sélectionnées et rendues permanentes dans cet être vivant et, par conséquent, transmises aux générations successives.
Lors d’une vérification soignée, cependant, il est clair que la conscience et un certain mécanisme de prise de décision sont nécessaires pour qu’une telle sélection soit faite.
En d’autres mots, un être vivant doit premièrement s’engager dans une forme de comportement donné, puis déterminer que ce comportement lui donnera des avantages à long terme, et ensuite, comme résultat d’une décision consciente, rendre ce comportement instinctif et permanent.
Jusqu’à présent, il n’y aucun mécanisme de prise de décision qui puisse appartenir à un des êtres vivants, quel qu’il soit, dans la nature.
Non seulement ils ne sont pas capables de sélectionner et propager toute forme de comportement qui pourrait s’avérer avantageuse, mais ils n’ont même pas conscience de leur propre situation.
Prenez par exemple la larve fileuse de cocon examinée dans la section précédente.
A un moment déterminé, comme nous l’avons vu, les abeilles ouvrières bouchent l’ouverture de l’alvéole du rayon et la larve s’enveloppe dans son cocon.
De plus, toutes les abeilles, qu’elles vivent en Afrique ou en Australie... ont effectué ces mêmes procédés pendant des milliers d’années.
En d’autres mots, cet instinct est commun à toutes les abeilles.
Alors, comment les abeilles ouvrières et larves établissent-elles que le milieu le plus convenable à son développement est à l’intérieur du cocon ?
Est-il possible pour elles de calculer cela et de prendre les décisions nécessaires ?
A ce point, ils se trouvent dans une grave inconsistance.
Les séries de sélections qu’ils affirment avoir eu lieu ne peuvent qu’être faites par une puissance supérieure.
Seulement une entité consciente peut donner à ces créatures les caractéristiques et le comportement instinctif dont elles ont besoin.
Cependant, le fait d’accepter cette prémisse signifie accepter l’existence d’un Créateur.
Autrement dit, le dessin parfait dans la nature appartient à Dieu, et toutes les formes de comportement définies comme instinctives sont inspirées par Lui.
Les évolutionnistes sont actuellement bien conscients de cela.
Ils savent qu’une créature aussi petite et inconsciente que l’abeille ne peut jamais posséder ces extraordinaires aptitudes par sa seule volonté.
Pourtant, même si les évolutionnistes voient la puissance supérieure de Dieu et se rendent compte de l’impossibilité de leurs affirmations, ils refusent toujours d’abandonner leur théorie.
Aucune lutte pour la survie du genre de celle qu'ils proposent n’a jamais été observée dans les ruches d’abeilles.
Au contraire, les abeilles se comportent de manière très altruiste à l’égard l’une de l’autre et font preuve d’une très grande coopération.
Une comparaison de l’ordre général à l’intérieur de la ruche sera suffisante à démontrer que le comportement intelligent, altruiste et discipliné des abeilles ne provient pas de ces créatures elles-mêmes et ne peut pas surgir par hasard.