BATACLAN, UN ATTENTAT OCCULTE ET SATANIQUE :

ATTENTAT AU STADE :

Pourquoi se sont-ils fait sauter à ces endroits-là ?
Tout le monde s’interroge. Personne ne comprend.
Enquêteurs et experts tentent de savoir pourquoi, alors qu'ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, les trois kamikazes du Stade de France se sont fait sauter vendredi 13 novembre dans des lieux isolés, ne tuant qu'une personne, et encore probablement par accident, là où ils auraient pu faire beaucoup plus de victimes. Rappelons ici la chronologie des faits :

  • 21h20 - Au niveau de la porte D, le premier djihadiste actionne le détonateur de sa ceinture explosive remplie de TATP (peroxyde d’acétone) et de boulons.
    Un passant, proche de lui, est tué.

  • 21h30 - Nouvelle détonation. Seule victime : le djihadiste, dont le corps coupé en deux gît sur le bitume.
    La vitrine du restaurant voisin est à peine fendue.

  • 22h00 - Dans une rue voisine, une dernière explosion ne tue que le porteur de la ceinture piégée, dans l'entrée d'une impasse, comme s'il s'était isolé avant d'appuyer sur le bouton mortel.

Bataclan Charlie Hebdo Nice Strasbourg

A la fin de la rencontre.
S'ils avaient attendu le coup de sifflet final, quand des milliers de personnes se pressent vers le métro, ils auraient là aussi fait de terribles dégâts, d'autant que Paris aurait déjà été sous le coup des attaques contre les restaurants et le Bataclan.
Cas du Bataclan :

  1. Ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande,
  2. Deuxièmement, il revendique son acte,
  3. Troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir.
  4. Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.

Le premier djihadiste se surprend lui-même à exploser, c’est pourquoi il y aura un mort… Car ce n’est pas lui qui déclenche le minuteur, secondement, les services secrets ne le préviennent pas, donc ces derniers ne pouvaient pas savoir qu’au moment même ou ils actionnaient le minuteur, le djihadiste frôlait une personne.
C’est pourquoi 10 minutes après, pour éviter un autre mort accidentel, ils arrivent à isoler l’autre djihadiste en le guidant, en lui parlant, lequel comme les deux autres devait porter une oreillette.
Vouloir créer la terreur avec le moins de victimes possibles pour faire passer le changement de constitution tant désiré.
Salah Abdeslam a été exfiltré en Belgique par ses deux amis Hamza Attou et Mohamed Amri.
Ils ont fait en voiture le trajet Molenbeek/Paris/Molenbeek - plus de 600 km et 6 heures de route – dans la nuit du vendredi au samedi matin.

WTC 2001 false flag état d'urgence plan Vigipirate

Il faut comprendre que Salah Abdeslam est protégé par les plus hautes autorités de Daech.
Mais lui et son frère Brahim qui organisaient les attentats de Paris ne devaient pas mourir, mais accompagner et gérer les martyrs. Ils se sont fait doubler par les services secrets français de peur qu’ils ne parlent. Car il est au courant des accords secrets entre la France et Daech. Pour Brahim cela a fonctionné, mais Salah, lui, sentant le coup fourré, a changé de vêtement, s’est débarrassé du dispositif G.P.S. ainsi que de la ceinture explosive. Et ensuite s’est enfui vers la Belgique pour rejoindre plus tard la Syrie.

Tous ces faits démontrent sans équivoque que l’État français a tout coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des marionnettes, et ceci pour changer la constitution, pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les Américains après les attentats du World trade Center, lui aussi notoirement sous faux drapeau, en utilisant Al-Qaïda comme couverture.
Rappelons quand même que l’état français a remis les frontières le jour des attentats, déployant ainsi 30 000 policiers, lesquels ont été mobilisés pour cette opération de contrôle aux frontières devant durer un mois dans le cadre de la conférence de Paris sur le climat (COP21). Après les attentats le même jour, cette fermeture des frontières se trouve prolongée avec l’Etat d’urgence décrété…

attentat sous faux drapeau Patriot Act terrorisme

Le jour même des attentats, vendredi 13 novembre 2015, toujours le même, non vous ne rêvez pas, est présenté le matin même le nouveau 'Plan Armes' du gouvernement visant à renforcer le contrôle des armes et des identités aux frontières sur le territoire national et européen.
Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, tiendra un discours pour présenter ce nouveau 'Plan armes' à Nanterre le matin du vendredi 13 novembre 2015, quelques heures avant les attentats.
Un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers, sous le contrôle des ministères de l’Intérieur et de la Défense. Une coïncidence que l’on avait déjà relevée lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres.

Brahim Abdeslam buvait de l’alcool et fumait du cannabis à outrance, c’était un délinquant de droit commun, il n’avait pas le profil d’un fanatique religieux prêt à mourir en martyr.
Continuons, il s’installe tranquillement à la terrasse d’un café et se fait sauter, sans crier 'Allah akbar', isolé des autres personnes sauf de la serveuse… Et ne tuant personne… Même pas la serveuse qui est à moins d’un mètre de lui ! Incroyable cette ceinture d’explosifs. Ce n’est pas très logique, un vrai kamikaze ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande, secondement, il revendique son acte, troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir.
Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.
Il n’a jamais voulu se faire sauter, il devait attendre et aller chercher les autres en voiture après leur fusillade.
Les services secrets ont déclenché à distance des micro-explosifs qu’ils ont dissimulés dans son blouson ou dans la ceinture de son pantalon, assez puissant pour le tuer lui et blesser des gens alentour sans grande gravité. Tout cela dans le but de faire croire à un attentat suicide. Non seulement il n’y a aucun mort sauf celui qui travaille pour les services secrets et dont il faut se débarrasser, comme dans l’affaire Merah, mais cela passe pour un attentat suicide et provoque quand même une peur terrible.

ATTENTAT AU BATACLAN :

Le père de l'une des victimes a adressé la copie d'une lettre qu'il a transmise au juge d'instruction, que je cite en résumant : "Sur les causes de la mort de mon fils A... à l'institut médico-légal de Paris, on m'a dit, et ce avec des réserves compte tenu du choc que cela représentait pour moi à cet instant-là, qu'on lui avait coupé les testicules, qu'on les lui avait mis dans la bouche, et qu'il avait été éventré... j'ai constaté qu'il n'avait plus d'oeil droit..."

Comment l'engin tranchant a-t-il pu dès lors disparaître de la scène du crime ?
Pourquoi avoir attendu 140 minutes avant d’intervenir au Bataclan ?
Pourquoi ne pas avoir autorisé le RAID et la BRI à intervenir immédiatement ?
Détail à souligner : le policier de la B.A.C. affirma, lors de son audition du 21 mars, ne pas exclure qu'un quatrième terroriste non identifié ait pu être présent et s'enfuir parmi les spectateurs.
La compagne du chanteur Jesse Hugues avait filmé ce soir-là une mystérieuse figure encapuchonnée de noir en train de dévaler les escaliers du Bataclan avant l'arrivée des tueurs.
Alors, des corps trainés au rez-de-chaussée pour former l'oeil d'Horus, des gens torturés horriblement à l'étage. Cela nécessite un temps que n'ont pas eu les terroristes de la version officielle et cela ressemble à une cérémonie rituelle talmudo-satanique.

Deux organes de presse rapportent des propos tenus par les frères Laloux (Pascal et Joël) et accordés à la seconde chaîne de télévision israélienne : ces deux hommes affirment avoir vendu le Bataclan le 11 septembre dernier (au groupe Lagardère qui a choisi de conserver ses gérants Jules Frutos et Olivier Poubelle) en raison de la récente émigration de l'un d'entre eux (Joël) en Israël.
Soit deux mois avant la prise d'otages du 13 novembre qui causa la mort de plus de 89 spectateurs (sur la centaine de victimes fauchées au total par les attentats).

Au même moment, ce vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris l'imminence d'une large attaque terroriste selon The Times of Israël. L'auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem, extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.

En 2016, le Canard enchaîné avait déjà accusé les autorités françaises d'avoir refusé l'intervention dès 22h de deux escadrons de gendarmes mobiles au Bataclan.
La responsabilité du ministère de l'intérieur, déjà largement mise en évidence par l'inaction des services anti terroristes en amont, est cette fois définitivement établie.
Rappelons que le ministre de l'Intérieur a également entravé l'enquête sur les attentats Hyper Cacher-Charlie Hebdo.
L'année dernière, L'indic Claude Hermant a d'ailleurs impliqué l'Etat dans cette affaire.
Le gouvernement Valls/Hollande est donc mouillé jusqu'au coup dans les attentats qui ont endeuillé la France depuis 2015.

Jonathan Simon-Sellem Meyer Habib Israel rituel satanique

Un officier de la B.A.C. du Val de Marne, dans un rapport d’enquêtes parlementaires sur les attentats du 13 novembre 2015, au Bataclan, à Paris, affirme : "J’ai demandé qu’une patrouille sentinelle, qui se trouvait à proximité, puisse intervenir afin de neutraliser un tireur terroriste embusqué derrière l’issue de secours, et voici la réponse que j’ai reçu de la préfecture de police de Paris : Négatif, vous n’engagez pas les militaires, ce n’est pas une zone de guerre."
Quant aux premiers témoignages faisant état de tueurs de type européen, ils ont étrangement disparu, comme le couteau !

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Il faut lire en entier cet article du Parisien du 7 juin 2018 : on y apprend que Georges Fenech, le député LR en charge de la commission d’enquête sur les attentats de 2015 en France, avait déterminé dans son travail minutieux (il proposait un minute par minute le soir du 15 novembre 2015) que : "clairement, un ordre a été donné aux soldats Sentinelle de ne pas engager le feu alors qu’ils avaient en ligne de mire des terroristes". "À la question : Qui a donné l’ordre aux soldats de ne pas intervenir ? On n’a jamais su", regrette Georges Fenech. "Avec les autres parlementaires, on était sidérés."