LES MISSIONS APOLLO :

LA SUPERCHERIE DE LA NASA SUR LES MISSIONS APOLLO :

"Un petit pas pour l'homme, un bond de géant pour l'Humanité."
C’est par ces mots devenus historiques que l’astronaute américain Neil Armstrong commenta son arrivée sur la Lune le 21 juillet 1969.
Sur cette carte Illuminati, il est inscrit : Les gens rient mais les platistes savent quelque chose."
Oui, nous savons quelque chose mais sûrement pas tout encore…


Quelques questions qui nous interpellent :

L'absence d'étoiles sur les photos, étrange ?
Il n'y a pas de cratère sous le module du LEM durant l'alunissage, ni de poussières lunaires sur les pieds du LEM ?
Durant le soi-disant décollage du LEM, on voit une caméra filmer ce décollage, mais qui filme ?
Pourquoi le drapeau américain flotte-t-il, pourtant il n'y a pas d'air ?
Pourquoi les ombres ont plusieurs directions ?
Pourquoi nous n'avons pas une date de commémoration (juillet 1969) de cet évènement mondial,
l'armistice a fêté son cinquantenaire voire son centenaire mais malgré cela, elle a sa propre date de commémoration dans le calendrier ?
Et au sujet des radiations sur la caméra, la combinaison... ?

La Nasa ainsi que Kodak, la société qui a remporté le marché concernant la fourniture des pellicules argentiques qui ont été soit disant utilisées pour documenter cet évènement, déclarent tous deux la même chose :

  1. - aucune source extérieure de lumière artificielle ni aucun flash n'a été apporté sur la lune.
  2. - l'appareil photo avait un réticule de visé inamovible montrant une croix au centre de chaque photo.

Comment ont elles survécu au chaud et au froid extrêmes ? Mystère !
La lumière naturelle (émise par le soleil) envois toujours les ombres dans la même direction (parallèles entres elles).

Buzz Aldrin Neil Armstrong sortie extravéhiculaire Michael Collins

Hors dans les photos de la NASA, les ombres sont soit de tailles différentes soit partent dans des directions différentes, cela ne peut avoir qu'une seule et unique explication scientifique : l'utilisation de lumière artificielle (spot) ou de plusieurs sources de lumières.
Encore plus flagrant, sur certains clichés, la croix du viseur de l'appareil photo, passe derrière l'image au premier plan.
Sans parler des décors de montagnes en arrière plans qui se retrouvent être les mêmes dans des prises de vues censées être totalement différentes...
Parlons maintenant de l'apesanteur.

Sur la lune, l’apesanteur est 6 fois moins grande que sur terre.
Ce qui veut dire qu'un astronaute de 80 kg avec 40 kg d’équipement soit 120 kg aurait un poids de 20 kg sur la lune.
Selon les calculs de scientifiques, un homme sur la lune qui fait un bond vertical peut atteindre sans aucune difficulté les 2 mètres de haut (même avec un scaphandre).
Hors sur les films de la NASA, le plus grand bond réalisé est de 30 centimètres, soit à peine le double de ce qu'ils auraient pu faire sur Terre !

L’idée de faire croire que l’Homme pouvait marcher sur la surface de la lune a envoyé les esprits critiques de l’époque sur cette réalité soit disant indéniable, que plus grand monde n’était en mesure de contredire, et a presque donc anéanti toutes les autres théories concernant la forme de notre monde et des astres qui nous entourent… ou plutôt qui se trouvent au-dessus de nos têtes !
La théorie de la Terre plane, qui n’est en plus une, est ressortie ces dernières années grâce à Internet qui permet le partage facile entre les individus décortiquant les versions officielles, grâce aux appareils photographiques performants et abordables disponibles par tous, grâce à notre propre matériel informatique qui nous permet de vérifier plus de choses comme l’authenticité des photos qui nous proposent.
Il y a 50 ou 60 ans pour ne pas dire plus, les humains devaient se contenter des versions officielles, de ce qu’annonçaient les journaux ou la télévision.
L’envers du décor était camouflé, il était très difficile de trouver des éléments contradictoires.

21 juillet 1969 programme Surveyor programme Gemini module lunaire

Vous avez compris que nous n’avons jamais posé les pieds sur la lune, que vous savez déjà que les missions lunaires sont des enregistrements dans des studios. Vous avez déjà de nombreux sites, vidéos YouTube qui se sont penchés sur cette question et qui vous apportent les preuves que ces missions lunaires ne sont qu’une vaste tromperie.
En effet, ceux qui pensent encore que 12 hommes ont foulé le sol lunaire avec neuf allers retours dont 6 qui se sont posé dessus, n’ont aucune chance d’accrocher le modèle géocentrique, ce qui est tout à fait logique. Ce chercheur de vérité réalise donc ses conclusions avec une sphère déjà implantée en lui.

Analysons ensuite, la photo ci-dessus d'Apollo 15 : AS15-85-11435, une tentative de camouflage de deux traces différentes du soi-disant véhicule lunaire.
La Jeep Willys ne peut rouler sur la lune, car son carburateur a besoin d'air pour fonctionner et sur la lune, l'air y est absent !
Que peut-on alors dire sur cette nouvelle affaire, de 2 traces différentes de jeeps, avec celle du rover lunaire et de la jeep Willys qui n'est, elle, jamais montée sur la Lune ?
Il y a aussi les deux traces qui diffèrent dans la photo d'Apollo 15 n° AS15-87-11818.

Ce que les adeptes du globe débunkent dans leurs vidéos ne sont que des erreurs des platistes peu informés ou des fausses preuves, faciles à réaliser, ou de la géométrie qui peut être appliquées aux 2 modèles ; créées de toutes pièces car ils veulent discréditer notre mouvement qui prend de l’ampleur chaque année.
Une fois que celles-ci se retrouvent largement diffusées sur les réseaux sociaux, elles deviennent vérité pour certains chercheurs de vérité peu regardants ou qui se sont donnés la liste de ces pseudos preuves issues de l’opposition contrôlée…

véhicule lunaire Apollo 15 Roch Sauquere Bill Kaysing

Certains accordent crédit à la station ISS et à ses marionnettes, l’envoi des pseudos satellites par les fusées mais réfutent les missions Apollo - Où est leur logique ?
Nous avons tous vu des dizaines de photographies de la Terre depuis (selon eux) l’espace, malheureusement, on peut prouver que ces photographies officielles sont fausses.
Je vais vous demander de regarder attentivement les erreurs des photos officielles de notre Terre exposées ici, vous allez vous rendre compte qu’il y a plein de problèmes.
Les photos de la Terre les plus connues datent de 1972 et ont évolué à la mesure de l’évolution des technologies graphiques.
Ce sont celles-ci qui sont dans nos manuels scolaires, ce sont les photos qui ont été prises, soit disant, par les missions Apollo.

Si vous prenez ces photos sur le site de la NASA et que vous les uploadez sur votre logiciel de retouche photo comme Photoshop ou Lightroom, vous allez voir que, la plupart du temps, la Terre est détourée et mise sur un fond noir.
En augmentant la luminosité, en baissant le contraste, vous allez vous rendre compte du montage absolu de ces images.
Cela va tellement loin qu’il existe des photos de la Terre dites officielles comme la Blue Marble qui contiennent des nuages copiés collés grossièrement. Les formes des nuages sont dupliquées, doublés. Nous voyons vraiment qu’il s’agit de montages.

le célèbre Roch Sauquere disait : "Il y a clairement quelque chose qu’ils ne veulent pas nous montrer, il y a vraiment quelque chose qu’on nous cache sur la structure de la Terre et dire à quoi représente la terre aujourd’hui me semble impossible."
La rareté les photos de la Terre est très suspecte alors qu’elles devraient être ce qu’il y a de plus fréquent vu le nombre de soi-disant satellites présents dans le ciel.

Dans un entretien avec l’Express, David Meade explique que la fusée utilisée pendant la mission Apollo 11 n’aurait pas pu protéger Neil Armstrong et Buzz Aldrin des zones de rayonnement dans l’espace appelé 'ceinture de radiation de Van Allen'.
Il affirme que sans protection nucléaire, aucune forme de vie biologique, dont l’être humain, n’aurait pu traverser la ceinture en question.
Il faudrait au moins six pieds de plomb pour se protéger du rayonnement.
Pourtant à l’époque, Apollo n’était pas équipé d’un tel blindage, il s’agit d’une preuve irréfutable des mensonges de la NASA
Les images de l'homme sur la lune auraient été réalisées dans la Zone 51, une base militaire secrète installée dans le désert du Nevada, avec des effets spéciaux d'Hollywood, comme ceux du film 2001, L'Odyssée de l'espace, de Stanley Kubrick, d'ailleurs soupçonné d'avoir collaboré avec la NASA.

En 1974, deux ans après la fin du programme lunaire américain, Bill Kaysing publie Nous ne sommes jamais allés sur la Lune, l'escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. Il y relève de nombreuses incohérences sur les images de la NASA, comme l'absence d'étoiles dans le ciel, le drapeau américain qui flotte dans le vent alors que la Lune n'a pas d'atmosphère, des engins spatiaux qui se posent sans former de cratères sur le sol...
Une somme d'observations simples qui le conduisent à prétendre que ces images ont été tournées sur Terre...
En outre, de nombreuses vidéos présumées de la rotation de la Terre en time-lapse ont échoué à montrer les mouvements des nuages tandis que la Terre tourne, ce qui est clairement impossible.
Toutefois, les techniques de CGI s’améliorant, des mouvements nuageux ont récemment été inclus par un satellite japonais présumé mais la vidéo semble encore contenir des erreurs manifestes.

Ils veulent que l’on continue d’argumenter en leur nom, à se battre pour eux…
Ils ne veulent pas que vous puissiez vous autoriser à penser que quelqu’un ait pu vous mentir.
Si la N.A.S.A. et les autres agences spatiales ne nous ont pas dit toute la vérité depuis les années 60, alors pourquoi devrions-nous les croire maintenant ?
Un mensonge en entraîne inévitablement d’autres toujours plus gros, surtout lorsque les premiers sont passés comme des lettres à La Poste !
La principale raison des missions sur la lune était donc de fausser l’image de ce globe inexistant.
Ils ne veulent vraiment pas nous montrer à quoi notre monde a l’air vu d’une hauteur assez suffisante pour avoir une vue panoramique.

En d’autres termes, nous avons été délibérément trompés.
Je pensais qu’il y avait des centaines de photographies légitimes de la Terre mais il s’avère qu’il n’y en a pas et celles qualifiées 'd’officielles' comportent des erreurs manifestes.
Nous avons des motifs répétitifs de nuages, des changements dans la taille des continents qui pourraient néanmoins s’expliquer, des nuages qui couvrent tout le diamètre de la Terre, des montages Photoshop évidents…

Stanley Kubrick Apollo 11 Cap Kennedy Saturn V

QUI EST DERRIERE TOUT CELA ?

De très nombreux sites maintenant, démontrent clairement cette imposture, mais on découvre que les spécialistes soviétiques de l'Espace, eux qui, ont dû découvrir ces falsifications dès Juillet 1969, lors du prétendu débarquement sur la lune, n'ont pourtant, absolument rien dit !
C'est donc, qu'ils étaient parfaitement complices de cette mascarade, et le concept de Guerre froide à l'époque, n'est qu'une autre supercherie mis au point par les soviétiques et les américains, pour duper l'humanité, et poursuivre en douce leur collaboration occulte avec les élites Illuminati.

De plus, les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison de pouvoir supérieur, à tout ce qui est économiquement et socialement et surtout militairement valable. S'ils ont gardé le silence, c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'une organisation occulte puissante, plus puissante que les américains et les soviétiques eux-mêmes et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se faire la guerre...


Voyons, aussi comment le Paris Match N°1028, nous présente l'étape du retour d'Apollo 8 vers la Terre :
"A 89 heures 19 minutes 30 secondes, les fusées qui doivent permettre à Apollo 8 de regagner la Terre sont allumées... Cap Kennedy peut annoncer que l'opération arrachement à l'attraction lunaire a réussi... 97 heures 20. La vitesse a encore augmenté pour dépasser maintenant 44 000 km/h... Apollo 8 est à 59 517 milles de la Terre et s'en rapproche à la vitesse de 8 029 pieds à la seconde."

On note que le vaisseau Apollo 8 est passé de la vitesse de 44 000 km/h (12,22 km/s), à celle de 8029 pieds/s (2,447 Km/s ) -
Une sacrée décélération, n'est-ce pas !

Avec des ordinateurs très primitifs de l'époque, comment fut-elle réalisée ?
A cette question, le silence total...
ARTivision, met en évidence une fois de plus, le fait, que ni Jonh Young d'Apollo 10, ni Michael Collins d'Apollo 11, ni Richard Cordon d'Apollo 12 ni Stuart Rossa d'Apollo 14, ni Alfred Worden d'Apolo 15, ni Thomas Mattingly d'Apollo 16, ni Ronald Evans d'Apollo 17 n'ont jamais pensé à photographier la Terre par les sas d'entrée.

Maintenant, il nous vient à l'idée, que la NASA, nous a jamais montré, pour aucune des missions Apollo, ce qui serait somme toute, tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de la lune, avec leur conjoint(e), qui leur fut privé.
Or ce dernier avait assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine, une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui... Pas de photos, ni de vidéos, étrange !

Et quelle joie ce serait en effet, pour eux, de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer également ces photos d'intense émotion, au monde entier ?
Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le L.E.M. a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave, et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l'époque mal connu.

Thomas Mattingly Rover lunaire Jan Lundbert LEM

Sur plusieurs photos, on voit le L.E.M., avec des montagnes dans le paysage, or, sur d’autres images ou le L.E.M. n’apparait pas, le paysage est identique.
Jan Lundbert a conçu les appareils Hasselblad, que les astronautes utilisaient pour prendre des photos sur la lune.
D’après lui, ces appareils posaient un problème de visée, car l’encombrant casque ne permettait pas de viser correctement.
Des lors, comment les milliers de photos, parfaitement cadrées ont-elles pu été prises ?

Dernier point, la fameuse empreinte de chaussure : les rainures de semelle sont parfaitement distinctes, comme s’il y avait eu de l’eau et une pression atmosphérique pour maintenir la cohésion des grains. Logiquement, un sol lunaire, fait de poussières aussi fines que la farine, ne pourrait pas laisser une empreinte si nette.

Pour aller sur la lune, les astronautes doivent traverser (selon eux) la ceinture de Van Allen, une zone à la sortie de l'atmosphère terrestre contenant une grande densité de particules énergétiques qui, en gros, auraient dû les brûler.
Il n'y a aucune flamme ni fumée lorsque le module décolle de la lune, enfin si on veut, elle décolle en ligne droite comme hélitreuillé !?

Dans le premier extrait, l'ingénieur de la NASA Kelly Smith nous indique qu'ils n'ont pas encore réussi à faire voyager des hommes au-delà de la ceinture de Van Allen.
En effet, il indique que la mission Orion doit d'abord répondre à certains défis liés aux fortes radiations au sein de cette partie de l'espace avant de pouvoir y envoyer des astronautes.
Comment ont-ils pu aller sur la Lune en 1969 sans répondre à ces problèmes ?
Terry Virts et Samantha Cristoforetti sont interviewés depuis l'ISS ; ce que dit Virts est sans équivoque.
Il indique que la capsule VLS permettrait d'envoyer des humains dans l'espace hors de l'orbite terrestre car pour le moment : "on ne peut voler que dans l'orbite terrestre, c'est le plus loin qu'on puisse atteindre."

Trois astronautes sont censés être interviewés depuis l'ISS sauf que Chris Cassidy fait une petite boulette répondant à une question.
Il évoque son adolescence ou : "il faisait beaucoup de sport dans la ville de York Maine à l'autre bout des État-Unis d'où nous vous parlons actuellement." Et là...un gros blanc. Cassidy se rend compte de son erreur et ne la corrige pas bien évidemment, le malaise est palpable...

  1. En 1969, comment la communication entre la Terre et la fusée a pu se faire à la vitesse de la lumière ?
  2. Comment la communication a-t-elle pu être établie ?
  3. Comment une fusée a-t-elle pu alunir sur une soi-disant planète qui se déplace à 1 023 mètres par seconde ?
  4. Pourquoi n'y a-t-il ni poussière sur les pieds du LEM, ni cratère en dessous du LEM ?
  5. Comment expliquer que le drapeau américain ait flotté au vent ?
  6. Comment le décollage de la lune a-t-il pu être filmé depuis la surface de la lune avec un objectif qui a suivi l'envol du LEM ?

Les principales composantes de la fusée Apollo 11 étaient les suivantes: alliage d’aluminium (point de fusion à 463° Celsius), acier inoxydable (1510° C), acier nickelé (1453° C) et verre thermorésistant (760° C).
Les deux dernières couches atmosphériques ayant une très forte radiation et des températures pouvant aller jusqu’à 2000° C, comment peut-on expliquer que la fusée Apollo 11 ne se soit pas désintégrée en traversant la thermosphère ?
Comment la fusée a-t-elle réalisé l’exploit de ne pas être endommagée suite aux nombreux changements climatiques et aux températures lunaires qui oscillent entre +125° C et -175° C?
Enfin, comment les acteurs de la NASA ont-ils fait pour ne pas être irradiés avec les combinaisons de l'époque?

Du fait de la rigidité de la combinaison pressurisée réaliser des mouvements très simples entrainait une importante dépense d'énergie qui épuisait rapidement un homme même en très bonne condition physique.

Ainsi au cours des sorties extra-véhiculaires du programme Gemini la combinaison spatiale à usage mixte (intra-véhiculaire et extra-véhiculaire) utilisée maintenait par défaut les membres de l'astronaute dans une position assise correspondant à son utilisation à l'intérieur du vaisseau.
L'astronaute devait faire un effort important et constant pour modifier la position de son bras, et était dans l'incapacité d'effectuer des taches longues nécessitant de lever un bras au-dessus du niveau de l'épaule ou de l'abaisser au-dessous de sa taille.

combinaison spatiale météorite astéroïde mission lunaire

Les combinaisons spatiales dédiées aux activités extra-véhiculaires sont utilisées exclusivement durant les sorties dans l'espace ou sur la lune. Leurs caractéristiques peuvent varier en fonction de la mission précise que l'astronaute doit remplir mais elles comprennent toutes un système de protection thermique efficace contre des températures pouvant aller de −121° C à +157° C, une protection contre les rayons cosmiques et les micrométéorites, un éclairage, des points d'accrochage pour les outils.
Ce type de combinaison doit permettre à l'astronaute de conserver une grande mobilité sans devoir exercer en permanence des forces trop importantes.
Pourtant malgré tout ces améliorations technologiques sur les combinaisons spatiales, à leur pseudo arrivé sur Terre on s'empresse de leur mettre une couverture thermique, plus le mensonge est gros plus ça passe...