LA CRÉATION DE L'ARAIGNÉE :

LES TECHNIQUES ET TROMPERIES DE L'ARAIGNÉE :

Tout comme le moucheron, l'araignée n’a aucune considération au regard de l’homme ; mais un peuple qui réfléchit peut voir le miracle que Dieu a révélé.
Chacun de ces petits animaux peut être vu comme une clé, et peut ouvrir la porte de la perfection de la création divine.
Il est important que le mot 'conception' soit compris correctement.
Le fait que Dieu a réalisé une conception parfaite ne signifie pas qu'Il a d'abord fait un plan et l'a ensuite suivi.
Dieu, Seigneur des cieux et de la terre, n'a aucunement besoin de conception ni de plan pour créer. Il est au-dessus de tels défauts et imperfections.
Sa conception et Sa création ont lieu au même instant.

Les toiles d’araignées sont des pièges mortels pour beaucoup de choses vivantes.
Mais il y a quelques créatures qui peuvent survivre à ce piège mortel.
Par exemple, un papillon normal est insensible aux toiles d’araignées.
Parce que la poudre qui se trouve sur le corps du papillon rend les bouts collants de la toile inefficaces.
Grâce à cette propriété le papillon est capable de s'échapper facilement.

Mais les papillons peuvent toujours être attrapés dans des toiles d'une construction qui est différente de celle des toiles normales.
La toile de l'araignée de Scoloderus, qui vit dans les zones tropicales, est différente de la plupart des toiles, et ressemble de près au papier tue-mouches.
De cette façon la Scoloderus peut attraper facilement des papillons. L'araignée de Scoloderus construit une toile d’un mètre de haut et de 15/20 cm de large, ressemblant à une échelle.
Les papillons qui y sont attrapés tombent au fond de la toile.
Pendant la longue chute, ils perdent une bonne partie de la couverture protectrice qui les empêche de coller aux toiles normales, et donc sont attrapés dans le piège de Scoloderus

Donc cette araignée a une technique de chasse très différente de celle des autres espèces.
Le point à retenir dans cette méthode de chasse est que l'araignée produit une toile avec des caractéristiques qui la rendent capable d'attraper l'insecte qu'elle chasse.
Cette espèce d'araignée, avec sa construction de toile différente, est une des nombreuses preuves qui témoignent de l'art de la création infinie de Dieu.

araignée insecte arachnide scoloderus

Ceux qui ont pris des protecteurs en dehors de Dieu ressemblent à l’araignée qui s’est donnée maison.
Or la maison la plus fragile est celle de l’araignée. Si seulement ils savaient !
Coran sourate 29 verset 41


Il y a des centaines d'espèces d'araignées dans le monde.
Ces petits animaux peuvent nous apparaître parfois comme des ingénieurs en construction capables de réaliser des calculs pour construire leur nid, parfois comme un décorateur d'intérieur faisant des plans compliqués, parfois comme un chimiste fabriquant des fils incroyablement résistants et souples, des venins mortels, des solvants acides, et parfois comme un chasseur utilisant les tactiques les plus astucieuses.
Malgré leurs nombreuses caractéristiques supérieures, personne, dans la vie de tous les jours, ne se préoccupe de penser à quel point les araignées sont des créatures spéciales.
Selon cette attitude, il n'y a rien de surprenant dans l'existence des araignées, ni dans celle de toute autre chose. Mais c’est là une approche tout à fait erronée.
Parce que lorsque nous commençons à en apprendre plus sur les araignées, ou sur le comportement des autres créatures, en examinant par exemple leurs méthodes de chasse, de reproduction et de défense, nous nous trouvons en face de caractéristiques frappantes.
Dans la nature, toutes les créatures vivantes adoptent des comportements d’une intelligence extraordinaire.
Ces comportements, fondés sur des qualifications, des compétences et des possibilités supérieures de planification, ont une chose en commun. Chacun exige nécessairement des capacités.

Les qualifications qu'un être humain peut maîtriser seulement par l'étude, et en acquérant la compétence et l'expérience, existent déjà chez ces créatures vivantes au moment de leur naissance - d’où ces capacités sont-elles venues ?
Et comment les créatures vivantes les ont-elles apprises ?
Ces êtres vivants, faisant preuve de tels comportements hautement intelligents, chassant avec un tel calcul, et si nécessaire, se comportant comme des ingénieurs chimistes, sachant quel matériel produire dans une situation particulière, ont vraiment dérouté les scientifiques qui les étudient.
A tel point que même les scientifiques évolutionnistes admettent que les créatures vivantes les plus rusées ont des caractéristiques qui nécessitent de l'intelligence.
Le scientifique Richard Dawkins, malgré le fait qu'il soit un évolutionniste, décrit le comportement des araignées de cette façon dans son livre Climbing Mount Improbable : "Dans notre cheminement nous aurons l'occasion d'examiner des toiles d'araignée à l'ingéniosité ahurissante, bien qu'inconsciente, avec laquelle elles sont faites et comment elles fonctionnent."
En fait, en disant ceci, Dawkins se heurte à des questions telles que Comment le comportement conscient et intelligent des animaux a émergé, et quelle était sa source ? ce qui ne peut en aucun cas être expliqué par la théorie de l'évolution.
A vrai dire, des questions comme Comment se fait-il que les créatures vivantes possèdent cette intelligence, et comment apprennent-elles où l'appliquer ? sont celles auxquelles les défenseurs de la théorie de l'évolution sont incapables de fournir des réponses satisfaisantes et définitives.

instinct scorpion venin théorie de l'évolution

Ainsi arrive-t-il à tous ceux qui oublient Dieu, Et l'espérance de l'impie périra.
Son assurance est brisée, Son soutien est une toile d'araignée. Il s'appuie sur sa maison, et elle n'est pas ferme ; Il s'y cramponne, et elle ne résiste pas.
Bible Job 8 verset 13 à 15


A ce niveau, un examen des arguments que les évolutionnistes emploient pour essayer de répondre à la question du comportement conscient et intelligent chez les animaux s’avère nécessaire.
A cet effet nous allons expliquer la vraie signification d'un terme que les évolutionnistes utilisent dans leur théorie.
Les évolutionnistes, cherchant une réponse à la question comment les créatures vivantes arrivent à avoir un comportement résolu, utilisent le terme d’instinct pour tenter de clarifier ce sujet.
Mais ils n’y sont pas arrivés. Ceci peut être clairement vu par un examen plus profond du concept de l'instinct.
Les évolutionnistes disent que les animaux pratiquent des choses telles que la dévotion, la planification, la tactique ou bien adoptent des comportements qui exigent des capacités spéciales (telles que la conscience et l'intelligence) grâce à l'instinct.
Mais, naturellement, avancer un tel argument sans le démontrer n’est pas suffisant.

En plus de cette affirmation, ils doivent également fournir des réponses à des questions qui consistent à savoir, par exemple, comment ce comportement est survenu la première fois, comment il est passé de génération en génération, et comment le concept de l'instinct, pris en absolu, est parvenu à donner aux créatures vivantes la conscience et l'intelligence.
On constatent alors que les évolutionnistes n'ont absolument aucune réponse à de telles questions.
Gordon Rattray Taylor, évolutionniste expert en génétique, a ceci à dire au sujet des instincts : "Quand nous nous demandons comment un mode de comportement instinctif a surgi en premier lieu et est devenu héréditaire, nous n'avons aucune réponse."
D'autres évolutionnistes indiquent que le comportement de toutes les créatures vivantes n'est pas fondé sur l'instinct, mais sur leur programmation génétique.

Mais dans ce cas ils doivent expliquer qui, à l’instar d’un logiciel d’ordinateur, a écrit le programme et l'a installé dans les créatures vivantes.
Encore une fois, les évolutionnistes ne peuvent pas apporter de réponse.
En dépit d'être à l'origine de la théorie, Charles Darwin admet leur dilemme dans les mots suivants : De nombreux instincts sont si extraordinaires que leur développement apparaîtra probablement aux nombreux lecteurs comme une difficulté suffisante pour réfuter toute ma théorie.
Comme on le voit clairement ci-dessus, un concept tel que l'instinct est absolument insuffisant pour jeter la lumière sur le comportement conscient des créatures vivantes.
Naturellement, il y a une puissance qui programme les créatures pour qu’elles agissent instinctivement.
Mais il ne s’agit pas de mère nature comme on dit, ni de la créature vivante elle-même, qui défendra ses petits au coût de sa propre vie, ou qui reviendra sur ses pas pour tromper l'ennemi avec diverses tactiques afin de sauver la vie d'un autre membre de son propre groupe.

évolutionniste espèce fil de soie toile d'araignée

Dieu dit : que la Terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce.
Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la Terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la Terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.
Bible Genèse 1 verset 24 - 25


La puissance qui leur donne toutes ces caractéristiques à ces individus, qui crée leur comportement intelligent et leurs mouvements résolus, c’est Dieu.
Dieu est le l’Unique Auteur de cette intelligence chez les créatures vivantes. C'est Lui qui les leur inspire dans toutes ses manifestations.
Il est impossible d'expliquer le comportement de n'importe quelle créature vivante par des coïncidences ou par n'importe quel autre mécanisme ou concept.
Une telle affirmation ne peut être qu'une tromperie.


Dis : "Voyez-vous vos associés que vous invoquez en dehors de Dieu ?"
Montrez-moi ce qu’ils ont créé de la Terre. Ont-ils été associés à la création des cieux ?
Ou leur avons-Nous apporté un Livre qui contienne des preuves ? Non !
Mais ce n’est qu’en tromperie que les injustes se font des promesses les uns aux autres.
Coran sourate 35 verset 40


L'araignée, avec son comportement et les mécanismes impeccables qu'elle possède, est l'une de celles qui apportent un démenti à la théorie de l'évolution ou qui, pour le dire d'une manière plus ferme, détruisent la théorie de l'évolution.
La plupart des gens pensent que l'araignée est une créature qui ne fait que tisser des toiles pour attraper sa proie.
En fait, ce n'est là qu'une partie de l'histoire, parce que les toiles, ces merveilles d'architecture et de technologie, ne sont pas les seuls moyens de chasse chez l’araignée. En plus de tisser des toiles, les araignées utilisent certaines tactiques de chasse étonnantes.

Parmi les nombreuses espèces d'araignées, une des plus intéressantes, en raison de ses techniques de chasse, est l'araignée bolas.
L'arachnologiste américain Willis John Gertsch, expert en araignées, a fait des recherches sur cette créature et a établi qu'elle emploie un noeud coulant pour attraper sa proie.
L’araignée bolas chasse sa proie selon une stratégie en deux étapes.

  • Dans la première étape l'araignée déroule un fil avec une extrémité collante et prépare l'embuscade. (Plus tard elle emploiera ce fil collant comme un lasso.)
  • Dans la deuxième, elle émet un produit chimique très spécial appelé 'phéromone' pour attirer sa proie (la même que les mites femelles emploient pour attirer les mâles.)

Voici le déroulement de la chasse : L’araignée, à la vue très faible, perçoit les vibrations provoquées par le vol d’une toute petite créature telle que la mite et donc, elle sent la proie s'approcher.
Ce qui est intéressant c’est que, bien qu’elle soit presque aveugle, elle peut attraper une créature vivante qui vole avec un fil qu'elle fait elle-même et qu'elle tient dans l’air.
La deuxième étape commence quand la victime, trompée par l’odeur de la phéromone émise, s'approche de la source émettrice.
Ramenant ses pattes en arrière, l'araignée se met dans une position d'attaque et lance le lasso plus vite que l'œil humain ne peut voir.
La mite est attrapée par la boule collante à l'extrémité du fil. L'araignée embobine sa proie et la paralyse avec son venin.
Après elle enveloppe la mite avec un fil spécial, qui permet de conserver la nourriture fraîche pendant longtemps.
Ainsi, l'araignée conserve-t-elle sa nourriture pour une consommation ultérieure.

Le livre, Strange Things Animals Do compare la technique de la chasse de l’araignée à un cow-boy jetant un lasso :
"L'araignée file une corde soyeuse, puis met un poids sur une extrémité - un bout de gomme assez lourd. Ainsi, l'arme rappelle-t-elle le lasso d'un cowboy. Ensuite, elle emmène la corde vers le haut dans ses deux pattes avant qui agissent maintenant comme des bras. Quand une mite vole près d'elle, l'araignée jette le lasso. L'extrémité collante et pesante frappe le corps de l'insecte volant et se colle à lui. La mite est alors attachée et l'araignée bolas l'enveloppe."
Dans le même livre, l'auteur évalue les mouvements planifiés des araignées en ces termes : "Les scientifiques appellent l'araignée bolas une créature de moindre importance."

Le Dr. Gertsch n'est pas sûr que ce soit une description correcte pour elle.
Puisque ce qu'une otarie entraînée, un chien ou un tigre ne peut pas faire, ce que même un grand singe ne peut pas faire - cette prétendue créature de moindre importance le fait.

Il est donc clair que la technique de chasse de l'araignée bolas exige une compétence spéciale, et est même basée sur l'acquisition de l'expérience par la pratique.
Si nous examinons le processus étape par étape, la difficulté de ce que l'araignée fait devient plus évidente.
Examinons la réponse à la question : Que doit faire l'araignée bolas quand elle chasse ?

  • elle prépare une boule collante sur l'extrémité d'un fil.
  • elle produit dans son corps et libère une odeur qui est dégagée par des femelles d'une autre espèce d'insectes pour attirer des mâles.
  • elle lance le lasso à sa proie plus rapidement que l'œil humain ne peut voir.
  • elle vise sa proie avec le lasso et la touche.
  • enfin, elle doit produire un fil spécial qui maintiendra la proie fraîche, et permettra de l'envelopper.

Alors, comment l'araignée bolas peut-elle élaborer un plan aussi intelligent ?
Normalement, la fabrication des plans est un dispositif des créatures qui possèdent la puissance du raisonnement, c'est à dire les êtres humains.
En outre, le cerveau de l'araignée n'a pas la capacité de concevoir tout ceci et de le réaliser.
Mais, dans ce cas, comment se fait-il qu'elle possède une technique de chasse ayant des caractéristiques aussi saisissantes ?

araignée bolas argyronète aranéides amblypyges

Certes, Dieu ne se gêne point de citer en exemple n’importe quoi : un moustique ou quoi que ce soit au-dessus ;
quant aux croyants, ils savent bien qu’il s’agit de la vérité venant de la part de leur Seigneur ; quant aux infidèles, ils se demandent "Qu’a voulu dire Dieu par un tel exemple ?"
Par cela, nombreux sont ceux qu’Il égare et nombreux sont ceux qu’Il guide ; mais Il n’égare par cela que les pervers.
Coran sourate 2 verset 26


Selon les évolutionnistes, les araignées doivent toutes leurs caractéristiques à des coïncidences.
Ainsi, l'araignée a décidé de faire un lasso, a su qu'elle doit attirer la mite vers elle, a effectué à cet effet la production chimique de la phéromone d’attraction et est devenue assez habile pour atteindre infailliblement la cible avec le lasso. Tout cela par coïncidence !

Toutes les qualités qu'elle possède pour chasser avec un lasso lui seraient venues presque entièrement par coïncidence.
Il est évident que les explications basées sur les coïncidences sont fantaisistes, sans fondement scientifique ou logique.
Afin de voir clairement à quel point leurs élucubrations sont éloignées de la réalité scientifique, imaginons un petit scénario, en dépit de toutes les impossibilités.

Scénario :
Il y a longtemps, une araignée qui s’est rendu compte qu'elle ne pouvait pas fabriquer des toiles comme d'autres araignées, a commencé à regarder soigneusement autour d'elle.
Un jour elle a noté que les mites femelles avaient l'habitude d'utiliser un produit chimique pour attirer les mâles.
Elle a pensé qu'afin d'attraper les mites elle devrait produire le même produit chimique et pour ce faire, construire à l'intérieur de son propre corps un laboratoire de chimie et commencer à en fabriquer—bien qu’en réalité, elle doit d’abord examiner les composants de cette substance chimique pour être en mesure de la reproduire…
Cependant ses problèmes ne sont pas encore terminés. Parce qu’à moins de pouvoir les attraper, elle n'avait aucune raison de les attirer.
A ce point elle a eu une autre idée, et elle a fait une arme à partir du fil qu'elle produit, arme qui rassemble les caractéristiques d’un lasso et d’une massue—il fallait y penser quand même...


Or la seule fabrication de l'arme n'était pas suffisante.
La première fois qu'elle est allée chasser, si elle ne pouvait pas toucher la cible, tous ses efforts seraient gaspillés, et plus grave encore, elle pourrait mourir de faim.
Mais ce n'est pas ce qui s'est passé ; le fait est qu’elle a attrapé sa proie et, par la suite, elle a réussi à développer une technique parfaite de chasse.
En outre, elle a pensé à enseigner la technique, dans ses moindres détails, aux autres araignées et a trouvé un moyen de communiquer cette connaissance aux générations suivantes...
A cet effet nous allons envisager quelques alternatives imaginaires à l'intérieur du scénario imaginaire.

  • Alternative imaginaire 1 :
    Celle-ci comprend ce que les évolutionnistes appellent "mère nature," c'est à dire les arbres, les fleurs, le ciel, l'eau, la pluie, le soleil... Alors il y a toutes les forces de la nature, agissant en harmonie pour établir un système fonctionnant parfaitement. Dans le processus, l'araignée bolas n'est pas oubliée : cette nature la dote d'une bonne technique de chasse.

  • Alternative imaginaire 2 :
    La coïncidence pure, de nouveau décrite par les évolutionnistes comme une force active, vient à l'aide de l'araignée bolas, ainsi qu'à tous les autres chasseurs, et lui permet de posséder des qualités de prédateur.

Naturellement, ce ne sont rien d'autre que des théories fantaisistes, fruit d'une imagination active.
Ceux qui possèdent cette imagination active sont les scientifiques évolutionnistes. Nous allons maintenant examiner la logique, la validité et le fondement de ces scénarios.
Evidemment, l'araignée bolas n'est pas un ingénieur chimique !
Il n'est pas possible qu'elle étudie les produits chimiques libérés par les mites et qu’elle les analyse, puis qu’elle commence à créer sciemment le même produit chimique dans son propre corps.
Prétendre ceci est diamétralement opposé à l'intelligence, à la logique et à la science.

L'araignée n'a aucune autre utilisation que la chasse pour le produit chimique dégagé par les mites.
Même si elle l'avait reproduit par coïncidence, elle devrait comprendre la similitude entre le parfum dégagé par les mites et son propre parfum.
Puis, analysant cette ressemblance, elle devrait avoir l'intelligence de s'en servir dans son propre intérêt.

Même si nous admettons que l'araignée, d'une manière quelconque, s'était renseignée sur la nature du parfum dégagé par les mites et avait été assez intelligente pour le reproduire et l'employer pour ses propres besoins, alors elle aurait dû être capable de faire les changements physiques nécessaires pour le produire.
Il n'est possible à aucune créature vivante, de sa propre volonté, d'ajouter un organe supplémentaire ou un système de production chimique à son propre corps.
Même penser qu'une araignée pourrait être capable de faire une telle chose, sans aller jusqu'à le présenter comme un fait, signifie s'éloigner du domaine de la logique.
solifuges palpigrades opilions
Malgré son impossibilité, imaginons un instant que l'araignée ait pu avoir réellement, et par pur coïncidence, toutes les caractéristiques dont nous venons de démontrer l’impossibilité.
Dans ce cas, il est nécessaire que l'araignée ait pensé à employer un lasso pour attraper les mites ou les fourmis, et après l'avoir conçu être en mesure, par sa propre volonté, de le créer.

A partir de là, il est clair que lorsqu’on on examine soigneusement les caractéristiques de l'araignée bolas, on comprend mieux à quel point l'explication de la théorie de l'évolution, complètement basée sur des coïncidences, est pour le moins comique.
On se rend compte que les coïncidences ne pourraient pas doter l'araignée des dispositifs que nous avons discutés ci-dessus, c'est à dire, intelligence, planification, tactiques et organe supplémentaire de production chimique.
En outre, même avec le temps, il est clair que l'araignée ne pourrait pas avoir toutes ces caractéristiques par elle-même.
Les climats désertiques peuvent être d'une chaleur mortelle pour beaucoup de créatures vivantes.

Néanmoins, quelques créatures ont des caractéristiques qui leur permettent de survivre dans le désert en dépit de la chaleur.
Soit leurs techniques de chasse, soit la constitution de leurs corps, ou leurs modes de comportement leur permettent de vivre confortablement dans un environnement désertique.
L'araignée, possède les caractéristiques nécessaires pour vivre dans le désert. Cette créature vivante, connue sous le nom de araignée au terrier à opercule, utilise un refuge isolant dans le sol du désert à la fois pour la protéger contre la chaleur et comme piège pour attraper sa proie.
Cribellatae
D'abord l'araignée creuse un terrier dans le sol. Elle colle de minuscules bouts de terre avec un fluide spécial qu'elle produit et en recouvre l'intérieur du tunnel. Ce processus renforce les parois contre le danger d'effondrement.
Plus tard elle couvre les parois avec un fil qu'elle fabrique. Cette technique de plâtrage est semblable à la technique d'isolation thermique que nous employons aujourd'hui.
De cette façon l'intérieur du nid est rendu résistant aux températures extérieures élevées du désert.

Nous avons mentionné comment le deuxième dispositif du nid était utilisé comme piège.
L'araignée fabrique une couverture pour le nid à partir de sa propre soie.
Un côté de celle-ci est attaché au nid par une charnière faite de fil solide, la transformant en une véritable porte.
Cette porte aide également l'araignée à se cacher de sa proie.
Elle camoufle la couverture avec des brindilles, de la broussaille et de la terre.
Puis elle étire les fils tendus sous les feuilles de l'extérieur du nid vers l'intérieur.
Quand un insecte approche du nid et marche sur les feuilles ou la terre, les fils souterrains commencent à vibrer.
Grâce à ces vibrations l'araignée se rend compte que la proie est proche. Quand tout est en position, l'araignée entre dans son nid et attend sa proie.

L'araignée au terrier à opercule peut vivre jusqu'à 10 ans dans son terrier. Elle passe toute sa vie dans le tunnel sombre et n'émerge presque jamais.
Même lorsqu'elle ouvre l'opercule pour saisir sa proie, ses pattes arrière ne quittent pas le nid.
Si l'opercule est ouvert avec une brindille, l'araignée viendra à l'entrée et fera de grands efforts pour le refermer.
Les femelles ne quittent jamais le nid, alors que les mâles le font seulement pour trouver une compagne.
Quand il est temps pour la femelle de produire sa progéniture, elle ferme solidement l'entrée, collant l'opercule à l'entrée du terrier avec son propre fil.
De cette façon on a observé que la mère araignée pouvait passer une année dans le nid sans le quitter.
dysderidae
Les araignées au terrier à opercule chassent la nuit et gardent les opercules de leurs nids bien fermés le jour.
Lorsque la nuit commence à tomber, l'araignée pousse l'opercule en partie pour voir s'il fait déjà noir.
S'il fait noir, elle pousse l'opercule pour l'ouvrir encore un peu plus et pose ses pattes à l'extérieur.
Elle peut rester dans cette position pendant plusieurs heures.
Quand les fourmis en particulier approchent, l'araignée saute immédiatement sur elles à la vitesse de l'éclair et les entraîne vers l'intérieur de son terrier.

L'opercule se referme sous son propre poids.
Il n'y a aucun doute qu'afin d'apprendre à vivre de la façon décrite ci-dessus, des capacités exigeant de l'intelligence, par exemple les capacités de construction, seront nécessaires.
Il n'est pas possible que l'araignée fabrique l'isolation thermique ou se camoufle dans le sable par coïncidence ou après des essais et des échecs.
Même avant qu'elle ne commence à construire le tunnel, elle sait qu'elle emploiera sa soie pour le protéger contre la chaleur, qu'elle emploiera le même fil pour faire un opercule pour le nid, qu'elle utilisera son nid pour se cacher des ennemis et également comme piège incomparable, et qu'elle donnera naissance à ses petits en toute sécurité, dans ce nid capitonné de soie.
Si ce n'était pas ainsi, la première araignée à terrier à opercule à émerger serait morte de chaleur, de soif ou de faim au milieu du désert.
Cela aurait signifié la fin de l'espèce.

En outre, chaque araignée qui naît se comporte de cette façon.
Elle construit son nid de la même manière et se nourrit de la même manière.
Par conséquent il ne suffisait pas que la première araignée ait ces caractéristiques étonnantes, il a fallu également qu'elle puisse transmettre toute sa connaissance aux générations suivantes.
Ceci ne peut se produire que par l'inscription de cette connaissance dans les gènes de l'araignée.
Mais malgré tous ces faits, nous sommes confrontés à d’autres questions.
Par exemple, comment l'araignée au terrier à opercule a-t-elle été dotée de ces caractéristiques, et qui les a fixées dans ses gènes ?

Ce comportement intelligent, ces possibilités de planification, ce choix et exécution tactique et cette forme corporelle impeccable que les évolutionnistes essayent d'expliquer par des concepts tels que l’instinct, les mécanismes imaginaires, la coïncidence, ou la mère nature, ne peuvent réellement avoir qu’une seul explication.
C'est Dieu qui a donné à toutes les créatures vivantes les qualifications qu'elles ont, ou qui les a créées avec ces qualifications déjà en place.
Contrairement à la croyance commune, beaucoup de types d'araignée chassent sans construire de toiles.

Une de ces araignées, qui attrape sa proie sans toile, est l'araignée-crabe.
Elle se camoufle dans les fleurs et se nourrit des abeilles qui s'y posent.
uloboridae Oonopidae
L'araignée-crabe emploie le mimétisme, la capacité de changer de couleur pour épouser la couleur de l’environnement où elle se trouve.
Elle adopte à la perfection la couleur de la fleur à l'intérieur de laquelle où elle se cache.
Elle dissimule complètement ses pattes au milieu de la fleur et s'immobilise pour attendre sa proie.
C'est seulement par une inspection très minutieuse que l'araignée peut être distinguée de la fleur.

L'araignée entre en action quand une abeille se pose pour sucer le nectar de la fleur où elle s'est embusquée.
A ce moment précis, l'araignée enroule lentement ses pattes autour de l'abeille, puis, dans un mouvement éclair, elle la mord à la tête, injectant son venin directement dans son cerveau.
L'araignée peut se camoufler si adroitement dans la fleur, que parfois un papillon ou une abeille vient se poser directement sur elle sans le réaliser.

L'araignée aurait-elle décidé de sa capacité de faire le mimétisme toute seule, par hasard ?
A-t-elle étudié les fleurs et copié les mêmes tons et les mêmes ombres par elle-même ?
Il est clair que cela est impossible. A part quelques centres nerveux, elle ne possède pas même un cerveau capable de penser.
De plus, l'araignée est daltonienne. Elle ne peut percevoir ni le jaune ni le rose.
Même si nous acceptons pour un moment qu'elle pourrait prendre elle-même exactement les mêmes couleurs et les mêmes tons qu'elle a vus, il ne serait toujours pas possible qu'elle reproduise ceci dans son propre corps. C'est Dieu, possesseur du pouvoir suprême, qui rend l'araignée capable de distinguer et reproduire des couleurs.

Il est évident que c’est Dieu qui a créé les fleurs et l'araignée les unes avec leurs belles couleurs vivantes et l’autre avec la capacité de les imiter.
C'est comme si deux images avaient été faites sur le même canevas avec les mêmes peintures et la même brosse dans les mêmes couleurs et les mêmes tons, dans une imitation qui ne peut être expliquée par aucune coïncidence, pur hasard ou mère nature.
dictynidae Oecobiidae
Cette araignée à face d'ogre, ou Deinopis, pour l'appeler par son nom scientifique, emploie une technique de chasse très insolite et étonnante.
Au lieu de construire une toile statique et attendre sa proie, elle construit une toile avec quelques caractéristiques spéciales, et la lance par-dessus sa proie pour l’y emballer.
L'insecte pris au piège est condamné. Alors, l'araignée emballe sa proie dans de nouveaux fils, dans un paquet, pour garder sa nourriture fraîche pour plus tard.
Il est évident que l'araignée attrape sa proie dans le cadre d'un plan.
La planification et la production d'une toile de la taille, de la forme et de la force adéquates, qui convient exactement à cette méthode de chasse, et puis l'emballage de la proie, sont toutes des activités exigeant des capacités supérieures basées sur l'intelligence.

En outre, un examen des dispositifs de la construction de la toile de l'araignée révèle qu'ils sont sans défauts. La toile de Deinopis est une merveille de planification à tous les points de vue.
Le maquillage chimique de la soie qu'elle emploie est déjà un miracle en soi.
La technique que l'araignée applique pour utiliser sa toile est aussi particulièrement intéressante.
Pendant que l'araignée attend sa proie, la toile ressemble à une cage étroite construite à l'aide de pailles.
En fait, cet aspect inoffensif est une tromperie.
Quand l'araignée entre en action pour attraper sa proie, elle utilise ses pattes pour retourner la toile sens dessus dessous, la transformant en un piège mortel dont on ne peut s'échapper.

Mais comment l'araignée est-elle capable de construire une toile alliant une parfaite planification mécanique à une construction chimique ?
Ce n'est pas une chose facile que de faire des tâches qui exigent de la planification, même s'il s'agit d'un plan simple.
Chacun a besoin d'un plan et d'une expérience différents. Nous pouvons démontrer cela de la manière suivante.
En décrivant les toiles des araignées nous employons souvent l'expression comme de la dentelle.
Pour cette raison il ne sera pas incorrect de dire qu'avec leurs toiles les araignées font réellement de la dentelle.

Imaginons que l'on donne à l'homme de la rue les instruments utilisés pour faire de la dentelle (navette, aiguilles, fil...) et le coton.
Pouvons-nous nous attendre à ce que cette personne, qui n'a aucune expérience antérieure, fasse quelque chose en dentelle à la première tentative ?
Ou pouvons-nous imaginer une nappe de dentelle résulter des nœuds faits par coïncidence ?
Il est impossible qu'un plan apparaisse par lui-même, tout simplement parce que pour qu'un tel plan nécessite de l'intelligence, de la compétence, et les moyens de transmission de l'information.

Pour qu'une créature vivante fasse des plans, et si, en outre, elle réalise ces plans sans défauts dans leur exécution, cette créature doit être intelligente.
Cependant, il n'est pas possible d'accepter qu'un insecte puisse être intelligent, qu'il puisse penser, penser à des plans et les mettre en pratique—cela ne reflète pas la réalité.

Pour cette raison il doit y avoir une puissance qui a donné à l'insecte son intelligence, ou plutôt qui le dirige, qui lui a enseigné ce qu'il fait Cette puissance est le pouvoir incomparable de Dieu, le Créateur de l’insecte. Comme nous l'avons vu, c'est une vérité évidente que ces créatures vivantes ont été créées par Dieu.
Mais les évolutionnistes ne font aucun cas de ceci, et préfère plutôt se baser sur des possibilités, des probabilités, des suppositions sans fondement aucun.
La défense aveugle de leur théorie les rend incapables de comprendre, de voir ou d'entendre.
amaurobiidae lycosidae
Contrairement à la plupart des autres araignées, Portia fimbriata à la fois confectionne une toile et chasse loin de sa propre toile.
Un autre dispositif de Portia est qu'elle préfère comme nourriture les membres de sa propre espèce plutôt que des insectes.
Pour cette raison, le champ d'activité de Portia est généralement les toiles des autres araignées. Elle emploie des techniques de chasse extrêmement élaborées et avancées.

Généralement, Portia se posera sur une toile pendant que le vent souffle ou qu'un insecte lutte pour se libérer.
De vibrations aussi fortes masquent la secousse provoquée par une Portia qui rôde.
Quand on la voit, elle ressemble à un brin de végétation apporté par le vent dans la toile.

A la différence d'autres araignées, qui sautent avec enthousiasme sur leur proie quand elles la voient, Portia se déplace lentement.
Une fois qu'elle est installée sur la toile, elle manœuvre, se débat dans la soie de la toile avec ses pattes, simulant un insecte capturé. Quand le propriétaire de la toile s'approche, Portia est prête et attend embusquée.
Les araignées Portia trompent les membres de leur propre espèce en les imitant.
Par exemple, Portia imite le rituel nuptial de l'araignée d'Euryattus, qui vit dans une feuille enroulée suspendue par des fils de soie.
Posée sur la toile d'une araignée femelle, Portia bascule la feuille, dansant comme un Euryattus mâle.
Dupée pour le moment, l'araignée émerge de son trou et se fait prendre.
Comment Portia assortit-elle des signaux avec différents types d'araignées et pourquoi a-t-elle choisi une méthode si différente de chasse ?
Il n'est pas logique de suggérer qu'une araignée pourrait avoir une compétence imitative et pour cette raison choisir une technique si intéressante de chasse.
L'araignée chasse de cette façon parce que c'est comme ça qu'elle a été créée par Dieu.
araignée banane pholcidae
Certaines araignées chassent même dans les environnements les plus inattendus.
Par exemple, le champ de chasse des dolomèdes est la surface de l'eau. La plupart du temps on trouve cette araignée dans des endroits peu profonds tels que des marais et des fossés.
La dolomède, qui n'a pas une bonne vue, passe la majeure partie de son temps sur l'eau déroulant des fils et les éparpillant dans son environnement.
Ceux-ci remplissent simultanément deux fonctions : ils servent d’avertisseurs aux autres araignées, fixant les limites de son propre territoire, et ils forment également une voie de secours en cas de danger inattendu.
La méthode de chasse la plus fréquemment utilisée par l'araignée est de mettre quatre de ses pattes sur l'eau tandis que les quatre autres restent sur la terre ferme.
Tout en faisant ceci, elle utilise une technique très intelligente pour éviter de se noyer.
L'araignée couvre les pattes destinées à aller dans l'eau avec un enduit imperméable en les passant par ses crocs.
Elle s'approche alors du bord de l'eau. Abaissant son corps avec grand soin, elle se déplace sur la surface de l'eau.
Elle place ses crocs et palpeurs sous l'eau de manière à ne pas troubler la surface.
Elle attend qu'une créature vivante s'approche, avec ses yeux guettant les abords et ses pattes tâtant les vibrations de l'eau.
Pour s'alimenter, l'araignée doit trouver une proie au moins de la taille du poisson de golyan.

Quand l'araignée chasse, elle reste immobile jusqu'à ce que le poisson vienne à 1,5 centimètre de ses mâchoires.
Alors elle entre soudainement dans l'eau, attrape le poisson dans ses pattes, et le mord avec ses crocs venimeux.
Le venin agit rapidement. Non seulement il tue la proie, mais il dissout également ses organes internes, les transformant en un genre de liquide, les rendant ainsi faciles à digérer.
Quand la proie est morte, l'araignée la traîne vers le rivage et s'en nourrit.

A ce stade, diverses questions viennent à l'esprit. Comment l'araignée a-t-elle trouvé cette cire qui l'empêche de couler ?
Comment a-t-elle appris à en enduire ses pattes pour éviter de couler ?
Comment l'araignée a-t-elle trouvé la formule de la cire et comment l'a-t-elle fabriquée ?
L'araignée n'a certainement pas réalisé toutes ces choses de sa propre volonté – étant donné que chacune de ces activités est le résultat d’une Intelligence.
Comme toutes les autres créatures vivantes, cette espèce d'araignée n’agit d'une manière si intelligente et n’est capable de mettre au point et mettre en œuvre un tel plan que par l'inspiration de Dieu.

clubionidae liocranidae zodariidae anyphaenidae

Il n’y a point de bête sur terre dont la subsistance n’incombe à Dieu qui connaît son gîte et son dépôt ; tout est dans un Livre explicite.
Coran sourate 11 verset 6


Les araignées des régions chaudes de l'Asie et de l'Afrique passent beaucoup de leur temps sous l'eau, et ainsi font leurs nids dans l'eau.
Afin de construire son nid, l'araignée construit d'abord une plate-forme dans l'eau entre des tiges de plantes ou des feuilles.
Elle attache la plate-forme aux tiges avec des fils de soie. Ces fils indiquent à l'araignée la voie pour retourner à son gîte, stabilisent la plate-forme, et fonctionnent également comme un radar, avertissant de l'approche d'une proie.
Après la construction de la plateforme, l'araignée y apporte des bulles d'air avec ses pattes et son tronc.
De cette façon la toile se gonfle, et au fur et à mesure que de l’air y est ajouté, elle prend l'aspect d'une cloche. Cette cloche est le nid où vit l'araignée.

Pendant le jour, l'araignée attend dans son nid.
Si n'importe quel petit animal passe tout près, particulièrement un insecte ou une larve, elle se précipite dehors, le saisit, et le traîne vers le nid pour le consommer.
Un insecte tombant sur la surface de l'eau provoque des vibrations. L'araignée sent ces dernières, va jusqu'à la surface, saisit l'insecte et l'entraîne sous l'eau.
L'araignée emploie même une toile à la surface de l'eau. Elle ne fait aucune distinction entre un insecte qui tombe dans celle-ci et n'importe quelle autre victime.
Lorsque l'hiver approche, l'araignée doit prendre des précautions pour éviter de geler.
Pour cette raison, l'araignée d'eau descend encore plus profondément. Cette fois elle construit une cloche d'hiver et, de nouveau, en remplit l'intérieur d'air.
Elle ne se déplace jamais à l'intérieur de la cloche, et ne dépense presque pas d'énergie tout au long de l'hiver.
Ceci dans le but de conserver de l'énergie et ainsi réduire son besoin en oxygène.
Ces précautions signifient que les bulles d'air qu'elle apporte à la cloche peuvent la faire vivre pendant les 4/5 mois d'hiver.
loxoceles reclusa araignée atrax robustus
Les bulles d'air et les méthodes de chasse de l'araignée sont la manière idéale pour qu'une araignée puisse vivre sous l'eau.
Il est impossible qu'une créature vivante trouve une manière de vivre sous l'eau par hasard. Si une créature n'a pas les dispositifs nécessaires pour vivre sous l'eau, alors elle se noiera la première fois qu'elle entre dans l'eau.
Elle n'aura pas le temps d'attendre une éventuelle coïncidence ou tout autre événement comme le disent certains.

Par conséquent, une créature terrestre, qui peut vivre sous l'eau parce qu'elle a les bonnes qualifications pour le faire, doit son existence à l'apparition en elle de telles qualifications.
Et ceci nous prouve que l'araignée d'eau, avec ces caractéristiques et capacités distinctives, a été créée par Dieu d'une façon parfaite.

L’araignée Pasilobus, qu'on trouve seulement en Nouvelle-Guinée, est une grande experte dans la préparation des pièges.
Les toiles qu'elle file sont très collantes. La toile entière est lancée entre deux points fixes.
Le nœud à une extrémité est très serré, mais celui qui est à l'autre extrémité est laissé desserré.
Ce n'est pas une erreur, et ce n'est pas non plus le résultat d'un manque de concentration de l'araignée.
C'est lorsque la proie s'approche que l'on se rend compte que ceci est une stratégie de chasse. Quand une mite vole dans la toile, la boucle de l'extrémité desserrée se détache.
Puisque l'autre extrémité reste attachée, l'insecte demeure accroché comme un paquet dans le vide.
Plus tard l'araignée s'en approche et lui pulvérise une matière collante sur tout le corps, en commençant par la tête. De cette façon l'araignée attrape sa proie vivante.

Contrairement à beaucoup d'espèces d'araignées qui filent des toiles et attendent, l'araignée sauteuse préfère attaquer sa proie elle-même en sautant sur elle, comme le suggère son nom.
L'araignée est si experte à faire ceci qu'elle peut attraper un insecte volant à plus d'un demi mètre.
Elle peut employer cette étonnante technique grâce à la puissance de la pression hydraulique dans ses huit pattes.
A la fin de l'attaque, elle descend soudainement sur sa proie et lui enfonce ses crocs puissants.
La chasse a lieu habituellement entre des plantes dans des secteurs envahis par les herbes.
araignée des sables tarentule
Pour faire ceci avec succès l'araignée doit calculer l'angle approprié, ainsi que la vitesse et la direction de la victime.
Ce qui est encore plus intéressant, c'est la manière dont l'araignée parvient à éviter d'être tuée après avoir attrapé sa proie.
L'araignée risque la mort, parce qu'afin d'attraper sa proie, elle doit naturellement se lancer dans l'air.

Ainsi elle pourrait se briser en tombant sur le sol de cette distance (généralement à partir du sommet d'un arbre).
Mais l'araignée évite ce risque en s'attachant à un fil qu'elle fixe à la branche sur laquelle elle est perchée juste avant de sauter.
Ceci l'empêche de tomber et lui permet de s'accrocher dans l’air. Le fil est assez fort pour soutenir à la fois son propre poids et celui de la proie qu'elle a attrapée. Les autres caractéristiques physiques de cette espèce d'araignée experte dans les sauts sont également impeccables.
Les yeux médians antérieurs sont très mobiles, l'araignée pouvant suivre du regard une proie. Ces yeux ont une très grande acuité visuelle qui permet de voir un mouvement à deux mètres.
Grâce à leurs rétines de quatre rangées, qui sont sensibles aux longueurs d'onde vertes et ultraviolettes, les yeux de l'araignée lui donnent une excellente vision lointaine.
Les quatre autres yeux sur le côté de sa tête ne voient pas avec la même clarté, mais ils peuvent sentir n'importe quel mouvement autour d'eux.
De cette façon elle peut facilement percevoir une proie ou un ennemi derrière elle.

Pensons à ce que nous avons appris sur l'araignée sauteuse jusqu'ici.
Sa construction corporelle est telle qu'elle lui permet d'entreprendre des mouvements rapides, et d'attraper sa proie en un seul saut.
De la même manière ses yeux lui permettent de voir sa proie dans n'importe quelle direction.
Naturellement, l'araignée n'a pas pensé que ces yeux supplémentaires pourraient lui être utiles et puis les a minutieusement construits.

En outre, ces yeux ne lui sont pas venus par hasard.
L'animal a été créé, ainsi que ses caractéristiques, par Dieu.
La théorie de l'évolution, qui ne peut même pas expliquer comment un oeil existe, ne peut faire aucun commentaire au sujet des huit yeux de l'araignée sauteuse et la coordination parfaite entre eux.
Comment l'araignée sauteuse (Myrmarachne plataleoides) est-elle capable de tromper les fourmis ?
Elle fait cela non seulement en leur ressemblant dans l'apparence, mais aussi en imitant leur comportement.
oxyopidae salticidae
Par exemple, afin de cacher le nombre de ses pattes, l'araignée sauteuse relève la paire de pattes de devant pour simuler les antennes ondulantes de la fourmi.
De cette façon elles ressemblent aux antennes des fourmis.

Mais réfléchissons un peu :
avoir recours à cette tromperie signifie que l'araignée peut compter. L'araignée a d'abord compté le nombre de ses propres pattes et de celles des fourmis, et a comparé les deux. Se rendant compte qu’elle a deux pattes de plus que les fourmis, elle a compris qu'elle devrait s’en débarrasser.
Alors, de manière la plus consciente qui soit, elle relève ses pattes supplémentaires pour les faire ressembler à des antennes. L'araignée utilise des méthodes d'imitation, ce qui exige réflexion, la mise en pratique d’un plan d’action, ainsi que la réalisation des transformations physiques nécessaires. Ceci n’est pas du tout un problème pour l’araignée.

Pourtant, toute personne douée de bon sens n'aura aucune difficulté à voir que l'araignée ne peut pas faire un tel travail.
En premier lieu, le cerveau de l'araignée n'est pas capable de ce genre de pensée.
Alors quelle est la source des capacités de l'araignée ?
Avant de tirer une quelconque conclusion, il serait utile d'examiner quelques autres qualités qui sont nécessaires pour que le déguisement soit complet.
Le déguisement de l'araignée ne consiste pas seulement en ce que nous avons vu ci-dessus.
Afin de rassembler à une fourmi elle a besoin de cacher ses yeux, qui ne sont pas de simples gros points, comme ceux des fourmis.

Mais une caractéristique de l'araignée a résolu ce problème. Deux taches sombres sur ses côtés imitent les grands yeux composés de la fourmi - Arrêtons-nous un instant et réfléchissons.
L'araignée ne peut pas savoir qu'elle a deux taches sur les deux côtés de sa tête.
Il ne serait pas intelligent de parler d'une situation où une araignée soit au courant de quelque chose et à partir de cela développe consciemment une stratégie.
Alors, comment se fait-il que l'araignée, qui vit de fourmis et les imite, obtienne de faux yeux sur le côté de sa tête ?
Comment l'araignée a su apprendre, compter et imiter ?
Que serait-il arrivé si elle n'avait pas eu ces faux yeux?

Dans ce cas, quelles que soient ses qualités d'imitation, les fourmis l'auraient identifiée.
Si les fourmis se rendent compte du danger et réagissent avant l'araignée, ce sera la fin de l'araignée : Les fourmis tueraient l'araignée avec leurs mâchoires puissantes.
Même en faisant abstraction de la mystérieuse faculté qu’a l’araignée de compter et d’imiter, il est évident qu'il ne suffit pas que l'araignée imite les fourmis - elle doit aussi porter ces faux yeux depuis la naissance pour que le déguisement réussisse.
Ce sont là quelques-unes des caractéristiques dont l'araignée a besoin pour survivre.
Qu'une seule manque, et l'araignée sauteuse ne pourrait vivre longtemps.
En définitive, peut-on vraiment dire que l'araignée a obtenu ses caractéristiques par coïncidence et par étape ?
Bien sûr que non !

LE MIRACLE DE LA SOIE ET SA RÉSISTANCE :

Tout le monde sait que les araignées utilisent des fils de soie, produits dans leur propre corps, afin de filer leurs toiles.
Mais les étapes de production du fil et ses caractéristiques générales ne sont pas bien connues.
Le fil produit par les araignées, d'un diamètre de moins d'un millième de millimètre, est 5 fois plus solide qu'un fil d'acier de même dimension.
Il peut, de plus, s'allonger jusqu'à quatre fois sa propre longueur. Une autre caractéristique frappante de la soie d’araignée est qu'elle est très légère.
philodromidae
En effet, un fil de soie faisant le tour du monde ne pèserait que 320,20 g.
Il serait utile de jeter un autre regard sur les détails techniques que nous avons décrits ci-dessus.
Nous ne pouvons pas passer superficiellement sur le fait que la soie soit cinq fois plus solide que l'acier.
Celui-ci est connu pour être un des matériaux les plus solides, mais c’est un alliage produit dans de grandes usines par une série de procédés.
La soie des araignées, quant à elle, bien que cinq fois plus solide que l'acier, n'est pas produite dans de grandes usines : elle est faite par un arachnide.
A peu près n'importe quelle araignée que nous pouvons voir n'importe où, peut la produire.
L'acier est un matériel lourd, et, pour cette raison, difficile à utiliser.
Il est produit dans de grandes fournaises à des températures très élevées et est préparé à l'usage par refroidissement dans des moules.

Par contre, le fil de l’araignée est très léger et est produit dans le tout petit corps de cet insecte, pas dans des fournaises et des moules gigantesques.
L’autre aspect miraculeux du fil d'araignée est son élasticité. Il est très difficile de trouver un matériau à la fois solide et élastique.
Par exemple, les câbles d'acier sont un des matériaux les plus solides qu'on trouve.
Mais parce qu'ils ne sont pas élastiques comme le caoutchouc, ils perdent lentement leur forme.
Et bien que les câbles de caoutchouc ne perdent pas leur forme, ils ne sont pas assez solides pour soulever des poids lourds.

Par ailleurs, comme décrit ci-dessus, la soie de l'araignée est cinq fois plus solide qu'un fil d'acier de même épaisseur, et 30% plus élastique qu'un caoutchouc de même épaisseur.
Pour le dire en termes techniques, le fil d'araignée, du point de vue de sa résistance à la rupture et du point de vue de la longueur qu'il peut atteindre avant de se rompre, est un matériau sans aucun équivalent.
Les recherches sur les araignées menées au cours des dernières décennies, et les informations qui en ont résultées, ont soulevé plusieurs questions.
Par exemple, si les êtres humains fabriquent des câbles d'acier et de caoutchouc à la suite des connaissances accumulées sur des centaines d'années, alors quelles connaissances ont mené à la fabrication du fil d'araignée qui est tellement supérieur ?
Comment se fait-il que l'être humain ne puisse pas comprendre pleinement la formule de l’araignée et la mettre en œuvre ?
Qu'est ce qui rend la soie de l'araignée si supérieure ?
La réponse est cachée dans la structure de la soie. Les recherches faites par les sociétés internationales de fabrication chimique n'ont que partiellement déterminé la composition du fil d'araignée.

La soie que les araignées fabriquent est beaucoup plus résistante que toutes les fibres connues, qu'elles soient naturelles ou synthétiques.
Quand les scientifiques s’en sont rendus compte, ils ont commencé à faire des expériences pour comprendre comment les araignées s'y prennent pour la faire.
Les premiers ont pensé que ce serait aussi simple que d'obtenir de la soie des vers à soie, mais plus tard ils se sont rendu compte qu'ils avaient tort.

araigée sauteuse araignée loup araignée Goliath Cheiracanthium mildei

Et Il vous a assujetti tout ce qui est dans les cieux et sur la Terre, le tout venant de Lui.
Il y a là des signes pour des gens qui réfléchissent.
Coran sourate 45 verset 13


Le zoologiste évolutionniste Fritz Vollrath, de l'université d'Aarhus au Danemark, s'est rendu compte, à la suite de ses recherches, qu'il ne serait pas possible de faire la soie d’araignée en la prenant directement des araignées. Aussi les scientifiques ont-ils proposé l'idée de la production d'une soie d'araignée artificielle comme alternative.
Mais avant cela, il était nécessaire pour les chercheurs de découvrir comment l'araignée produisait la soie.
Ceci a pris plusieurs années. Le zoologiste Vollrath a découvert une partie importante de la méthode de l’araignée dans son travail ultérieur.
La méthode de l’araignée est remarquablement similaire au procédé de fabrication des fibres synthétiques telles que le nylon : les araignées durcissent leur soie en l'acidifiant.

Vollrath a concentré son travail sur l'épeire diadème, (Araneus diadematus reconnaissable au dessin en forme de croix, de couleur claire, que l'on trouve sur son abdomen) et a examiné un canal par lequel la soie coule avant de sortir. Avant d'entrer dans le canal, la soie est constituée de protéines liquides. Dans le canal, des cellules spécialisées extraient l'eau des protéines de soie.
Les atomes d'hydrogène pris de l'eau sont pompés dans une autre partie du canal, créant un bain acide.
Quand les protéines de soie entrent en contact avec l'acide, elles se plient pour former des pontages les unes avec les autres, durcissant ainsi la soie.
Mais bien sûr le processus de fabrication de la soie n'est pas aussi simple qu’il est décrit ici.
Pour que la soie apparaisse, d'autres matériaux et des quantités d'autres propriétés sont nécessaires.
épeire
La matière dont la soie d'araignée est composée est la kératine, une protéine qui apparaît comme des fibres hélicoïdales tressées de chaînes d'acides aminés. Cette matière se retrouve aussi dans les cheveux, la corne et les plumes.
L'araignée obtient toutes les matières brutes pour sa soie à partir d'une synthèse des acides aminés qu'elle se procure en digérant sa proie.
Les araignées mangent aussi et digèrent leurs propres toiles, produisant ainsi dans leur propre corps la matière pour une nouvelle production de toile.

Dans un endroit à la base de l'abdomen de l'araignée se trouvent les glandes séricigènes qui produisent la soie.
Chaque glande produit des éléments différents. Des types différents de fils de soie sont produits suivant les différentes combinaisons des éléments de ces glandes.
Il y a une grande harmonie entre les différentes glandes.
Pendant le processus de production de la soie, des pompes et des systèmes de pression spécialement bien développés dans le corps de l'araignée sont utilisés.
La soie brute produite est éjectée sous forme de fibres par des tubules qui fonctionnent comme des robinets.
L'araignée peut altérer la pression de pulvérisation dans ces tubules comme elle le souhaite.
C’est là une caractéristique particulièrement importante. Parce que de cette façon le façonnage des molécules qui forment la kératine brute est changé.
En utilisant ce mécanisme de contrôle des soupapes, le diamètre, la résistance et l'élasticité du fil peuvent être altérés pendant sa production.

Ainsi le fil peut prendre les caractéristiques physiques désirées sans qu'il soit nécessaire de changer sa composition chimique.
Si on désire apporter un changement plus important au fil, une autre glande doit entrer en action.
Les fils de soie fins qui en résultent avec leurs nombreuses caractéristiques sont alors placés dans la position désirée grâce à une utilisation judicieuse des pattes arrières.
Les proportions dans lesquelles les produits de six glandes différentes sont mélangés sont de la plus haute importance.
Par exemple, le fil collant produit perdra la capacité d'attraper des insectes si la matière qui donne la qualité collante n'est pas utilisée en quantités suffisantes.
Si elle est utilisée en trop grandes quantités, l'utilité de la toile sera réduite.
Pour que le fil serve le but pour lequel il est fabriqué, les produits des autres glandes doivent être nécessairement appliqués dans les bonnes proportions.
La réussite de ces procédés signifie que la soie de l'araignée, avec ses propriétés toutes différentes les unes des autres, est capable de remplir des fonctions différentes.
La soie de l'araignée est si solide que le zoologiste Vollrath, la décrit dans ces mots : "la soie de l'araignée est plus robuste et plus élastique que le kevlar, et le kevlar est la fibre la plus résistante fabriquée par l'homme."
Et ce ne sont pas les seules qualités spéciales des soies de l'araignée.
Contrairement au kevlar, sorte de matière plastique utilisée dans la production de gilets pare-balles à cause de sa résistance, la soie de l'araignée peut être recyclée et utilisée maintes et maintes fois.
spider
Le point le plus important est que ce produit, le plus parfait au monde, plus solide que l'acier et plus élastique que le caoutchouc, est fabriqué dans le corps de l'araignée, ce tout petit insecte !
Même les plus grandes usines de textile, les établissements de tissage les plus développés et les laboratoires chimiques les plus sophistiqués technologiquement ont été incapables de fabriquer quelque chose qui ressemble à la soie de l'araignée.

Comment alors une araignée a-t-elle pu planifier ce procédé, de la conception des différents matériaux à leur fusion chimique incomparable ?
Après l'avoir planifié, comment a-t-elle pu identifier la source des matières premières nécessaires pour la production et comment a-t-elle décidé du choix des six ingrédients fondamentaux ?
Quel instrument de mesure a-t-elle utilisé pour établir les proportions entre elles ?

Aucune des caractéristiques que l'araignée possède n’est apparue par étapes comme le veut la théorie de l'évolution de Charles Darwin.
Depuis le temps de la toute première araignée sur terre, toutes les araignées ont existé dans une forme complète.
Tous ces faits sont des preuves que les araignées sont apparues à un moment donné bien précis avec toutes leurs caractéristiques complètes et concomitantes.
veuve noire mygale
En d'autres termes, qu'elles ont été créées par Dieu. Au moyen de ce miracle de la création de l'araignée, Dieu nous montre Son pouvoir et Sa connaissance sans limites. La soie de l'araignée est une scléroprotéine qui sort des tubules du corps de l’araignée comme un liquide.
La scléroprotéine est un type de protéine qui durcit au contact de l'air et devient une structure élastique dure.
Grâce à cette protéine la soie est extrêmement solide.
La soie de l'araignée s'est révélée tellement solide et élastique, qu'à l'échelle humaine, une toile ressemblant à un filet de pêche pourrait attraper un avion de ligne.

L'élasticité de la soie est équilibrée par sa solidité. Parce que c'est une matière composite, comme les fibres de verre fixées dans de la résine, la soie est robuste.
Ses cristaux et sa matrice résistent à la rupture. Un fil tendu claque d'habitude parce qu'une fissure se produit à sa surface.
Les forces agissant le long de la fibre se concentrent sur la fissure et provoquent sa déchirure avec une vitesse de plus en plus grande et en s'enfonçant encore plus dans la matière.
De telles fissures, cependant, ne peuvent se propager que si elles ne rencontrent pas de résistance.
Les cristaux dans la matrice de la soie de l'araignée fournissent des obstacles qui détournent et affaiblissent la force de déchirement.