
LES EXPLOSIONS D'USINES CHIMIQUES OU RADIOACTIVES :
LA DÉPOPULATION MONDIALE S'ACCENTUE ENCORE PLUS :
Une usine chimique à explosé à Yancheng, dans l'Est de la Chine.
La direction de Mitsui Chemicals a fait état d’une explosion dans son usine chimique située dans la préfecture de Yamaguchi, dans le Sud-Ouest du Japon.
Environ 3 400 conteneurs de déchets nucléaires étaient stockés sur le site.
Plus de deux ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011, la situation est restée explosive et l’Autorité de Régulation Nucléaire japonaise (NRA) avait décrété une situation d’urgence.
La raison de cette décision, de l’eau hautement radioactive qui se déverse dans l’océan Pacifique et qui dépasse les limites légales d’écoulement.
Tepco, l’opérateur de la centrale endommagée n’est pas en mesure d’en trouver la source et l’on ne connaît pas les conséquences de son écoulement sur la biodiversité marine.
Toutefois, les poissons et autres formes de vie pourraient rapidement être affectées suivis des hommes qui consommeront leur chair.
Tepco a estimé dimanche que vingt à quarante mille milliards de becquerels se sont déversés dans l’océan depuis mai 2011.
L’opérateur n’a admis qu’au lendemain d’élections sénatoriales en juillet dernier que de l’eau chargée de tritium, de strontium, de césium et d’autres éléments radioactifs se déversait dans l’océan.
L’opérateur tentait alors de rassurer la population en déclarant que l’analyse de l’eau de mer "ne montrait pas d’augmentation anormale des taux de radioactivité" bien que le niveau de radioactivité dépassait de plusieurs dizaines de milliers de fois la dose limite admise pour l’eau de mer.
Tepco tente de colmater les fuites en injectant un produit chimique sous terre afin de solidifier les sols, mais qui ne serait pas efficace au niveau des nappes phréatiques selon le quotidien japonais Asahi.
L'explosion a eu lieu dans l'usine Kristall à Dzerzhinsk, une ville située à environ 400 km à l'est de Moscou.
Un bilan précédent faisait état de 42 blessés. L'explosion a eu lieu dans l'usine Kristall à Dzerjinsk, une ville située à environ 400 kilomètres à l'Est de Moscou, dans la région de Nijni Novgorod.
5 bâtiments de l'usine et près de 180 bâtiments résidentiels ont été endommagés par l'explosion, selon les autorités municipales.
79 personnes ont demandé une assistance médicale après l'explosion à Kristall : 38 ouvriers de l'usine et 41 habitants de la ville.
Une partie du bâtiment, où les explosions ont retenti, a été partiellement détruite et un incendie a éclaté dans les infrastructures où sont stockées des substances explosives et des munitions.
L'explosion s'est produite dans une usine de silicone à Waukegan, à 65 kilomètres au nord de Chicago, tard dans la soirée.
Un bruit d'explosion très fort et un tremblement de terre ont été signalés dans la région, mobilisant police, personnel médical et pompiers qui ont réussi à éteindre l'incendie, ont indiqué sur Twitter les services du shérif du comté de Lake.
D'après Steve Lenzi, porte-parole des services d’incendie et de secours, cinq autres bâtiments ont été endommagés par l'explosion.
D'après NBC Chicago, l'explosion a été si violente qu'elle a été ressentie jusque dans le sud du Wisconsin, à une quinzaine de kilomètres de Waukegan.
21 janvier 2013 :un incident se produit à l'usine Lubrizol située à Rouen, la décomposition chimique d'un bac de DialkyldithioPhosphate de Zinc (ZDP) se traduit par l'émission d'un nuage de gaz composés d'un cocktail de mercaptans (probablement dominé par l'isopropylmercaptan), dont l'odeur était perceptible bien au-delà du site rouennais par plusieurs centaines de milliers de personnes, allant du Sud de Londres à la région parisienne, des plaintes de riverains invoquant de mauvaises odeurs, des maux de tête ou des nausées ont ainsi été recueillies par les centres antipoison et de toxicovigilance.
3 septembre 2019 :
un incendie s'est déclaré dans l'usine Lubrizol, à Oudalle, près du Havre. 50 pompiers et 12 engins ont été mobilisés.
26 septembre 2019 :
des explosions et un incendie se déclare dans les zones de stockage de l'usine de Rouen. Les autorités déclenchent le confinement de la population dans un rayon de 500 m autour de l'usine, ferment préventivement des établissements scolaires des communes environnantes, puis recommandent de ne pas avoir de contacts directs avec les suies, de ne pas manger les récoltes et les produits alimentaires exposés.
En raison des conditions météorologiques, une fumée toxique a formé un nuage noir et lourd qui est resté relativement concentré à basse altitude sur une vingtaine de kilomètres de long et d'environ 6 km, localement rabattu au sol par le vent et la pluie.
Après la catastrophe mortelle d'AZF à Toulouse, la loi 'Risques' de 2003 a permis d’instaurer à proximité de tout site Seveso de seuil haut, comme l'est l'usine Lubrizol de Rouen, des Plans de Prévention des Risques Technologiques (PPRT).
On estime à un millier le nombre d’expropriations en zone très à risque et de 20 000 à 30 000 le nombre de logements à renforcer ; renforcement des vitrages ou réalisation d'une pièce confinable.
Or, à ce jour, seuls 600 logements ont fait l’objet de tels travaux, selon l'Amaris, l’association nationale des collectivités pour la maîtrise des risques technologiques.
"C’est un travail de longue haleine car il repose sur des intérêts très différents entre riverains, entreprises et collectivités" : commente Ginette Vastel de France Nature environnement.
Après une série d'explosions encore indéterminées, un incendie s'est déclaré vers 2h45, à l'usine Lubrizol, qui fabrique des additifs pour lubrifiants.
Ce site chimique est classé Seveso, c'est-à-dire qu'il est sous surveillance particulière des autorités en raison de la présence de matières premières potentiellement dangereuses.
L'usine Lubrizol de Rouen avait déjà été impactée par un sérieux incident fin janvier 2013 avec un gaz nauséabond qui s'était échappé de l'usine chimique.
Le mercaptan, un gaz potentiellement toxique à forte concentration s'était formé dans un bac de cette usine classée Seveso.
Il s'est produit une réaction chimique inattendue, alors qu'un additif pour lubrifiants était en cours de fabrication dans ce bac.
Les émanations s'étaient fait sentir jusqu'à Paris et en Angleterre.
Des morceaux d'amiante retrouvés à 2,8 kms (Mont Saint-Aignan) de l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen.
Présence d'amiante du type Chrysotile, Amosite, Crocidolite.
Selon le site de l'inspection des installations classées du Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, l'usine de Lubrizol présente de nombreux polluants et substances nocifs et inquiétants : beaucoup d'hydrocarbures, de la soude ou potasse caustique mais aussi des sources radioactives...
Le site présente un risque important pour l'environnement et la santé comme en témoignent les mentions Toxicité aiguë catégorie 3 pour les voies d'exposition par inhalation, Dangereux pour l'environnement aquatique de catégorie aiguë 1 ou chronique 1 et Substances et mélanges dangereux.
Lors de sa conférence de presse, le préfet de Seine-Maritime a expliqué que : "les analyses réalisées par le SDIS n’ont pas impliqué de mesures de confinement et encore moins d’évacuation."
Mais dans la soirée, la préfecture conseillait, entre autres :
- Aux particuliers qui ont un jardin, de ne pas consommer de légumes/fruits qui ne pourraient être épluchés ou lavés
- Aux agriculteurs, de ne pas récolter leurs productions en l’attente de précisions ultérieures.
La présence de sources de radioactivité sur place n'est pas un secret : la fiche de l'usine dans la base des installations classées est accessible à tous en quelques clics, et la mention y figure noir sur blanc.
Le nuage ne s’est pas arrêté à la frontière française : la fumée dégagée par l’incendie a atteint la Belgique, a confirmé le centre de crise de Wallonie, le 28 septembre. "Le nuage aurait déjà atteint notre pays cinq à six heures après le début du dégagement des fumées, soit dans la matinée du 26 septembre" : précisent les autorités du sud de la Belgique.
L’usine appartient au groupe de chimie américain Lubrizol Corporation, lui-même propriété de Berkshire Hathaway, holding du milliardaire et célèbre investisseur américain Warren Buffett.
Panamza révélait les propos édifiants de Meyer Habib, parlementaire en France et agent officieux de Netanyahou qui s'est déclaré fou de rage contre Macron (pour sa critique des dernières exactions israéliennes) avant de curieusement prédire un prochain attentat dans l'Hexagone.
En août 2019, Donald Trump s'envole pour le G7 et menace la France de représailles sur le vin, en menaçant d'imposer des droits de douane supplémentaires sur les vins français.
Lors d’un entretien téléphonique, Benjamin Netanyahu a dit à Emmanuel Macron que le moment était mal choisi pour les négociations avec l’Iran.
Des milliardaires qui ont assisté au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté de joindre leur force pour vaincre les obstacles politiques et religieux qui s’opposent au changement concernant la surpopulation mondiale.
Ce club discute de dépopulation mondiale. Sous le titre Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique, le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.
La rencontre, qui s’est tenue à New York, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David Rockefeller.
Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire :
Julian Robertson, patron du fond Tiger Management John Morgridge, ancien pdg de Cisco Systems Eli Broad, spéculateur immobilier David Rockefeller Jr, fils du premier Ted Turner, fondateur de CNN et Oprah Winfrey, célèbre animatrice de la télé américaine.
La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la surpopulation, comme la cause supérieure qui englobe les autres.
Un autre participant a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en place une stratégie dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle.
Les participants ont souligné leur "besoin d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir."
De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie.
Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996 : "Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal."
Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies.
Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation, sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des organisations charitables qui servent réellement à promouvoir le mouvement eugénique.
Turner a même reçu un prix de l’O.N.U. pour son travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour la réduction de la population.
La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta ; la Fondation Rockefeller, ce groupe privé qui a créé la révolution génétique, avec plus de 100 millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970 ; le CGIAR, réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture, travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.
Le Projet est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par génie génétique.
Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres Aryens.
L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une réserve de semences du jugement dernier afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre Terre.
A présent, ceci devient vraiment intrigant. La même Fondation Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie humaine à la définition d’une séquence génique qui, espéraient-ils, pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les caractéristiques humaines à volonté.
Les scientifiques de l’eugénisme d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au sein du 3ème Reich par les généreuses bourses de la Fondation Rockefeller.
Comme Henry Kissinger l’a déclaré dans les années 1970 : "Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population."
De 1932 à 1972, le Tuskegee Study Group a délibérément infecté des pauvres de communautés noires en Alabama avec la syphilis sans leur consentement et ils ont même refusé de les soigner alors que les malades faisaient des dégâts à travers la ville tuant des familles.
Des expériences sur des sujets humains non-consentants et à leur insu, par des autorités qui disaient vouloir observer ce qu’il adviendrait de ces gens.

