SECRET INTELLIGENCE SERVICE :

LES AGENTS DU MI6 ET LES RITUELS PÉDOPHILES :

Le Secret Service bureau fut fondé en 1909.
Par la même occasion, on fonda les services de renseignement militaires, les bureaux MI (Military Intelligence).
Les plus célèbres, et les plus importants, sont le MI5, chargé du contre-espionnage, et le MI6 (ou Secret Intelligence Service), chargé de l’espionnage.
Le renseignement militaire comptait jusqu’à 19 organismes, mais pas tous en même temps. La plupart ont été repliés en MI5, MI6 ou GCHQ après la guerre.

LES ORGANISMES DU MI6 :

Special Operations Executive (SOE, 1940-1946)
• Direction du renseignement militaire (DMI)
• MI1 (secrétariat)
• MI2 (information géographique)
• MI3 (information géographique)
• MI4 (cartographie)
• MI7 (propagande)
• MI8 (renseignement radio)
• MI9 (aide à l'évasion et débriefing d'évadés)
• MI10 (analyse technique)
• MI11 (sécurité militaire)
• MI12 (censure)
• MI14 (bureau allemand)
• MI15 (photographie aérienne)
• MI16 (renseignement scientifique)
• MI17 (secrétariat)
• MI19 (interrogation)
• Information Research Department (IRD, 1948-1977)

MI6 service secret MI5 Windsor

Le magazine britannique The Kernel a reçu un email l'informant qu'une radio clandestine, gérée par les services secrets britanniques de 1976 à 2008, continuait d'émettre via un numéro de téléphone secret destiné aux agents du MI6 au Moyen-Orient.
D'après cette source anonyme, la station de radio, surnommée Lincolnshire Poacher, émettait à la base depuis Chypre et a été déplacée vers un numéro de téléphone britannique après avoir été officiellement fermée il y a 5 ans.

The Kernel explique le fonctionnement de cette radio : c'est une station de nombres, qui permet aux espions de recevoir des messages codés à des moments spécifiques, impossibles à décoder pour les non-initiés.
Dans les années 80, on a entendu parler d’un réseau pédophile installé par le MI6 au Kincora Boys Home, à Belfast.
Peu après, ce sont les orphelinats du Pays de Galles qui ont fait parler d’eux. Puis ceux de Londres, d‘Ecosse, et finalement c’est Jimmy Savile qui est tombé.
Aujourd’hui, les grandes manœuvres continuent afin d’étouffer le plus gros du scandale : l’implication de la famille royale dans ce réseau pédophile.

orphelinat Jersey The Kernel service de renseignement militaire Military Intelligence

En 2012, un certain Chris Jones affirme que ses deux frères, Adrian et Leander, ont été assassinés parce qu’ils s’apprêtaient à exposer le réseau pédophile d’élite, et notamment Margaret Thatcher.
Chris Jones a expliqué qu’encore enfant, il a été forcé à des relations sexuelles avec un juge de la Haute Cour, ou encore par un flic.
Jones dénonçait aussi John Allen, qui gérait un orphelinat dans le Nord du pays de Galles, où nombre de scandales ont été révélés récemment.
Adrian Johns avait été pensionnaire à Bryn Alyn, et en 1992 il avait menacé John Allen de le balancer s’il ne lui payait pas une compensation financière. Il a été tué le 17 avril 1992 dans l’incendie criminel de sa maison.

En 1995, Chris et Leander ont témoigné contre Allen lors d’un procès. Peu après, Leander est mort d’une overdose.
Allen a été condamné à 6 ans de prison en 1995 pour des agressions commises entre 1972 et 1983. Puis, lors de l’enquête Waterhouse sur les viols commis dans les orphelinats du Pays de Galles, il a de nouveau été inquiété en 2003 mais a finalement échappé à 36 chefs d’accusation pour des abus dans les homes dont il était responsable.
Il était arrivé dans le business des orphelinats au milieu des années 60, après avoir commencé dans l’hôtellerie, et en 1969 il a ouvert la Bryn Alyn Community residential schools, une chaîne d’orphelinats et de foyers pour enfants. Le premier home a fonctionné avec 11 personnes non formées à s’occuper d’enfants.
A un moment, Allen gérait une cinquantaine d’orphelinats dans le Nord du Pays de Galles et ailleurs, comme Londres et Brighton, et environ 500 enfants y seraient passés.

Chris Jones John Allen Adrian Johns Gary Cooke

Le business était très rentable puisque dans les années 80, l’état versait 15 000 £ par an pour un enfant placé.
Au milieu des années 80, le chiffre d’affaires était d’environ 2,8 millions £ par an pour un bénéfice de 80 à 90 000 £, mais Allen touchait en 1988 pas moins de 204 800 £ par an, possédant un yacht et diverses propriétés, notamment sur la Côte d’Azur.
Où il possédait une villa revendue en urgence à 200 000 £.

En 1992, Allen a perdu ses agréments et les écoles ont fermé en 1997, suite à une gestion calamiteuse et à des dettes importantes.
172 personnes avaient déclaré avoir été victimes dans les orphelinats d’Allen. Evidemment, certains (28 ont été finalement retenus) ont aussi dénoncé Allen comme étant un pédophile.
Leander Jones était l’une de ses victimes. Il est devenu prostitué à Londres juste après avoir quitté le home. A 17 ans, il s’est ensuite rendu à Amsterdam.
Il a témoigné lors de la procédure contre Allen, mais il est mort d’une overdose avant le début du procès, en février 1995.
Comme par hasard, Allen a disparu de la circulation entre les déclarations de Leander et son décès, pour revenir comme une fleur nier en bloc à son procès.

Finalement, on n’a retenu contre Allen que des agressions sexuelles, pas de viols malgré les nombreux témoignages concordants.
Déjà en 1982, Allen avait été entendu par des flics au sujet d’abus commis sur des enfants dans ses homes, mais cela n’a rien donné.
Déjà à l’époque, une victime avait dit qu’Allen lui donnait de l’argent pour qu’il se taise. Logiquement, on peut se demander si les difficultés économiques d’Allen n’étaient pas directement liées aux chantages de ses victimes.
Le rapport Lost in care considérait quant à lui que les abus commis par Allen étaient extensifs et répétés. Il estime qu’Allen entraînait un comportement pédophile du personnel des homes.
Des enfants étaient envoyés dans des orgies, prostitués dans des hôtels, menacés. Certaines victimes étaient violées par les éducateurs, par les responsables des orphelinats, mais aussi par les amis de ceux-ci.

Evidemment, aucun signalement ni aucune plainte n’a abouti dès que des pédophiles puissants, flics ou magistrats étaient impliqués.
Derrière toute cette histoire, l’ombre de la Franc-Maçonnerie planait. Même si comme toujours, on n’a officiellement rien trouvé, nombre de protagonistes essentiels de l’enquête étaient FM.
A tel point que des victimes ont demandé au tribunal qu’on dresse une liste des magistrats, flics et autres intervenants appartenant à la franc-maçonnerie. Pourquoi ?
Parce qu’on craignait un étouffement dans les règles, ce qui a d’ailleurs été le cas. Il faut dire qu’avec un Gerard Elias, membre de la loge Dinas Llandaff à Cardiff, juge à la haute cour qui dirigeait le tribunal, il pouvait difficilement en être autrement.
Quant au chef de la police du nord du pays de Galles à l’époque des abus, Lord Kenyon, il était Grand Maître provincial et a été pris plus d’une fois à protéger ses camarades.



rituels sataniques

Les enfants étaient envoyés dans des hôtels ou des villas pour y être violés par des pédophiles ayant un pouvoir d’achat certain.
On sait aussi que divers pédophiles, comme un certain Gary Cooke, alias Reginald Cooke, avaient leurs entrées dans les homes d’Allen.
Cooke, qui avait quitté l’armée en 1974, introduisait ensuite les enfants auprès d’autres pédophiles. Un autre pédophile qui avait ses entrées chez Allen, Graham Stephens, avait même emmené un jeune au Danemark fin 1972.

On a aussi l’affaire du massacre de Dunblane en mars 1996, où un tueur fou et pédophile notoire est entré dans une école pour massacrer 16 gamins et leur institutrice avant de se suicider, a été armé grâce à un permis d’armes signé par un franc-maçon devenu ensuite le secrétaire général de l’O.T.A.N., Lord Robertson.
C’est d’ailleurs un franc-maçon, Lord Burton, grand maître local, qui a dénoncé les protections incroyables dans cette histoire et a qualifié l’enquête de cover-up, de couverture.
Burton dénonçait surtout l’appartenance de Lord Cullen, le haut magistrat qui a mené une pseudo enquête sur ledit massacre, à la Speculative Society, liée à la FM, et dont certains membres violaient des enfants de l’école Queen Victoria (pour les enfants de militaires, présidée par le Duc d’Edimbourg c’est-à-dire le prince Philip), école où le tueur fou a justement trainé à une époque.
Il n’empêche, Cullen a été nommé baron en 2003, probablement en récompense pour avoir protégé ses camarades.

L’affaire Elm Guest house, ce bordel pour pédophiles puissants installé au cœur de Londres, en est un autre.
Pourquoi ces étouffements systématiques ? Parce que des noms de députés, de juges, de ministres, de premiers ministres, memebres du MI6 et même la famille royale sont cités par diverses victimes.

Duc d’Edimbourg Edward Heath Harold Wilson Buckingham Palace

On sait par exemple que deux anciens premiers ministres, Harold Wilson et Edward Heath, pratiquaient les sacrifices d’enfants, qui sont incontournables pour un bon sataniste.
Heath, qui appréciait beaucoup les virées à Jersey, aurait ainsi tué plusieurs enfants. On le retrouve aussi du côté de Belfast, au Kicora Boys Home, directement lié au groupuscule satanique le Hellfire Club, et aussi du côté d'Elm Guest house.

En 2008, c’est un majordome de Buckingham Palace et ancien marine, Paul Kidd, qui s’est fait coincer pour des viols commis sur des mineurs durant 30 ans, alors qu’il travaillait pour la famille royale.
Bien sûr, aucun lien n’a été fait entre le réseau pédophile mis en place par Kidd et la famille royale. Une de ses victimes a expliqué que quand il avait 14 ans, Kidd l’a invité à prendre le thé en compagnie de la reine à la fin des années 70.

En 1999, une enquête internationale appelée operation Ore a mené à des arrestations aux Pays Bas et en Angleterre notamment, où les flics ont pu établir des liens entre des pédophiles du Labour présents au gouvernement et du trafic d’enfants dans un but de prostitution en Belgique et au Portugal. Blair a eu tellement peur qu’il a imposé aux médias de ne citer aucun nom.

Quant à Jimmy Savile, il ne fait désormais plus aucun doute qu’il s’adonnait à des cérémonies satanistes.
On sait qu’il fournissait des enfants au gouvernement, notamment à Jersey où un témoin l’a vu faire monter un enfant sur le yacht d’Edward Heath, alors 1er ministre.
Ce n’est pas pour rien que le député Tom Watson a demandé une enquête sérieuse au sujet d’un réseau pédophile puissant lié au Parlement et à Downing Street.

Jimmy Savile : la star de la BBC était le fournisseur d’enfants pour les cercles fermés de la famille royale et du gouvernement. Il avait accès à de nombreux orphelinats (comme celui de Jersey par exemple), mais aussi à des pensionnats de jeunes filles, à des hôpitaux psychiatriques (dont il avait toutes les clés et où il était même hébergé, et pouvait se fournir en enfants n’importe où et n’importe quand."

Savile, qui cumule aujourd’hui plus de 450 plaintes, a été introduit auprès du Prince Charles par Lord Mountbatten au début des années 70, soit une dizaine d’années après les premières plaintes d’abus sexuels contre Savile (en 1964).
Ensuite, Savile est carrément devenu un proche conseiller de Charles, donnant son avis sur la nomination d’un assistant, ou même sur l’organisation de son mariage. Au palais, Savile se comportait normalement, c’est-à-dire comme un camionneur en rut.
Certains considèrent aussi que l’émission de Savile, Jim’ll fix it de 1975 à 1994, n’avait pour but que de faciliter l’accès du prédateur aux enfants.

Jimmy Savile Prince Charles Windsor Lord Mountbatten

Ajoutons qu’en plus d’être pédophile, Savile se livrait à des pratiques nécrophiles ainsi qu’à des pratiques satanistes, ce qui est décrit dans plusieurs témoignages de victimes.
Ce n’est probablement pas pour rien que le corps d’une jeune femme a été retrouvé juste devant chez lui le matin du 5 février 1977.
Le neveu de Savile, Guy Mardsen, a expliquéil y a quelques mois comment son oncle l’emmenait dans des partouzes avec des types puissants, et comment il lui demandait de trouver d’autres enfants plus jeunes pour amuser la clique.

Trois survivants de ces orphelinats ont déclaré avoir été témoins de l’enlèvement d’une dizaine d’enfants par la Reine d’Angleterre.
Lors d’une visite royale dans l’un de ces orphelinats à Kamloops, en Colombie Britannique en octobre 1964, on a présenté les enfants à la reine et au prince Philip qui l’accompagnait. Le premier de ces témoins est mort rapidement après avoir parlé, et le dernier survivant, William Combes, est mort en février 2011 avant d’avoir pu témoigner au procès qui a valu une condamnation à 25 ans de prison pour le pape et la reine d’Angleterre, notamment.
Au passage, le décès de Combes ressemble beaucoup à un assassinat, d’après certains comme Kevin Annett qui a enquêté sur le sujet.

L’école était tenue par l’église catholique, et les enfants y étaient systématiquement torturés, certains étaient même tués, comme c’était le cas dans une bonne partie de ces residential schools.
Le jour de la visite royale, certains enfants ont eu le privilège de pique niquer avec la reine et Philip, ainsi que quelques prêtres.
Combes, qui avait 12 ans à l’époque, se souvient : "Je me rappelle que c’était bizarre parce qu’on a tous du baiser les pieds de la reine, qui avec des chaussures blanches à lacets."
Après un moment, la reine a quitté le pique nique avec dix enfants de l’école, sept garçons et trois filles âgés de 6 à 14 ans, "et ces enfants ne sont jamais revenus" : dit encore le témoin dans sa déposition officielle le 3 février 2010, "on n’a plus jamais entendu parler d’eux et on ne les a jamais revus, même quand nous étions plus âgés."

La condamnation récente de la Reine d’Angleterre (de même que du pape) par un tribunal canadien pour crimes contre l’humanité.
On parle du massacre des indiens du Canada, envoyés dans des orphelinats tenus par l’Église qui étaient transformés en véritables bordels.
On estime avoir totalement perdu la trace de 50 000 enfants, en plus de ceux dont on sait qu’ils y sont morts.
Ce verdict est intervenu le 25 février 2013 après un mois de délibération par plus de trente jurés qui ont examiné 150 cas d’abus sexuels et maltraitances dans ces orphelinats.
Benoît 16 a été condamné à 25 ans de prison, mais comme il a démissionné pile au bon moment et qu’il est vieux, il pourrait passer entre les mailles du filet.
La reine d’Angleterre va-t-elle aussi démissionner, comme la Reine Beatrix qui vient de le faire, ou le roi des Belges Albert II qui a lui aussi le feu aux fesses avec des dossiers de pédocriminalité et s’apprête à faire de même ?
Ces condamnations sont le fruit d’une centaine d’années de combat des indiens du Canada pour faire reconnaitre le massacre dont ils ont été victimes.
La parole s’est libérée récemment, au cours des années 90, et des centaines de personnes se sont mobilisées pour accumuler des preuves de ces ignominies sans nom.

En 2001 dans le sud de la France, très probablement dans les Alpes Maritimes, et très probablement entre la mi mai et la mi août, la France a connu une affaire qui a fait jaser dans les services secrets, mais que le bon peuple ignore totalement, hélas.
Chaque année, une grande cérémonie satanique est organisée dans un château templier près de Cagnes sur Mer, par et pour la famille royale anglaise.
Le gratin sataniste anglais se doit d’y être présent, y compris de nombreux membres du MI5 et du MI6 surtout.

Le programme, c’est des orgies, des tortures, des meurtres d’enfants et d’adultes en quantité.
Pour cela, il faut de nombreuses proies, qui étaient enfermée dans les sous-sols, où avaient également lieu les rituels.
Précisons que tout le monde est complètement défoncé, voire à moitié hypnotisé, et que des jeux de rôle mélangeaient encore les choses davantage.

En 2001, de nombreuses victimes se sont échappées. Ce qui a entrainé une véritable panique dans la campagne environnante et l’intervention de la gendarmerie française.
Celle-ci a ensuite a fait venir l’armée anglaise, afin d’exfiltrer des membres de la famille royale, au moins William et Philip, en les cachant avec des sacs de pommes de terre qui les couvraient jusqu’à la taille.
De cette manière, ni les flics français ni les militaires anglais présents ne savaient qui avait été sorti discrètement du château et mis à l’arrière d’un van.

Tout aurait été pour le mieux si des services étrangers n’avaient pas mis la main sur des vidéos réalisées lors des rituels dans le château.
La CIA, le Mossad, ont ainsi leurs exemplaires, et il semble que des copies soient en vente un peu partout dans le monde.
Apparemment, plusieurs satanistes anglais sont sous le coup de chantages qui leur coûtent très cher depuis cette affaire.

agent secret contre-espionnage espionnage espion

Le Daily Mail rapporte en effet le témoignage d’une victime présumée. L’homme, âgé aujourd’hui d’une quarantaine d’années, accuse Peter Hayman, décédé en 1992, de s’être livré à des actes pédophiles, notamment sur de jeunes garçons. Dans son cas, il précise avoir été abusé à partir de ses 11 ans, sur une période de trois ans entre 1979 et 1982.
Pourquoi le peuple n'a-t-il pas le droit de savoir que cela est arrivé, et pourquoi ne peut-on pas en connaître les conséquences, notamment au niveau géopolitique ?
Car, il semble que 12 ans après, on en subit encore les conséquences. Enfin, il est clair que ça continue, puisque l'impunité règne et que les satanistes sous emprise de cocaïnes dirigent le monde.
Combien d'enfants et d'adultes, surtout des femmes sont-ils massacrés lors des rituels de cette illuminés ?
Et jusqu'à quand cela doit-il durer ?